La tokenisation pourrait augmenter les risques systémiques, selon la Bank of England

https://journalducoin.com/economie/tokenisation-actifs-pourrait-augmenter-risques-systemiques-bank-england/

Les risques de la Tokenisation. Depuis quelques mois, la tokenisation est sur toutes les lèvres des acteurs de la finance traditionnelle. Un principe basé sur la technologie blockchain, dont l’intérêt est de créer une représentation numérique des actifs. Car cela pourrait permettre une plus grande rapidité, sans interruption et avec une liquidité plus simple à faire circuler. Pourtant, quelques voix s’élèvent afin d’alerter sur les risques potentiels liés à ce nouveau paradigme financier en cours de déploiement. C’est le cas de la Bank of England (BoE) qui parle de « risques systémiques importants ». Explication…

Avenir de la finance ou risque pour la stabilité financière ?

Rien ne semble pouvoir arrêter l’essor de la tokenisation auprès des principaux acteurs financiers traditionnels. Et cela peut se comprendre. Car la technologie blockchain est en train d’apporter à ce secteur poussiéreux les capacités numériques du secteur des cryptomonnaies. Et le changement pourrait bien être révolutionnaire.

Une dynamique présentée dans un récent rapport de la plateforme Coinbase, comme l’un des potentiels moteurs du nouveau cycle crypto en cours de démarrage. Car le fait est désormais indéniable, les prochaines années seront celles de l’arrivée massive des acteurs institutionnels dans cette économie du Web 3.

La tokenisation pourrait bien changer le visage de la finance traditionnelle

Pourtant, cette fête ne semble pas avoir que des adeptes enthousiastes. Comme par exemple le FMI qui encourage le principe de « numérisation », mais se refuse catégoriquement à parler de tokenisation. Car c’est bien connu, ignorer volontairement la réalité des faits permet de changer l’évolution des choses… ou pas !

En cause, des risques accrus pour la stabilité financière que de toute évidence la Bank of England (BoE) a également pris très au sérieux.

La tokenisation ne doit pas profiter au secteur des cryptomonnaies

En effet, la Bank of England vient de livrer son dernier rapport sur la stabilité financière. Un document au sein duquel est abordé plus précisément la question dorénavant centrale de la « tokenisation de l’argent et des actifs ». Une évolution, classée dans le domaine des « technologies de crypto-actifs », que la Banque centrale du Royaume-Uni s’inquiète de voir accueillie de manière désormais « plus positive » par les acteurs bancaires.

« Les applications actuelles [de la tokenisation] ont une portée très limitée et une part importante des projets se déroulent sur des registres autorisés qui n’impliquent pas l’utilisation de crypto-actifs. Cependant, certains projets se déroulent également sur des blockchains publiques. La croissance de la tokenisation des actifs sur les blockchains publiques pourrait contribuer à des risques systémiques plus importants liés aux pièces stables et aux crypto-actifs non garantis. »

Bank of England

Car la Banque centrale du Royaume-Uni fait une différence très nette entre les blockchains privées – souvent nommées registres autorisés – et publiques, comme par exemple Ethereum. Et plus précisément encore, entre les blockchains avec cryptomonnaies natives et les autres.

En effet, l’utilisation d’un réseau publique avec option crypto intégrée pourrait participer à une « augmentation de la taille de l’écosystème des crypto-actifs ». Un problème à ne surtout pas négliger, selon la Bank of England. Car cela pourrait entrainer un « accroissement de l’interconnectivité du marché des crypto-actifs avec les actifs financiers traditionnels (…) et créer des expositions directes pour les institutions systémiques ».

La Banque centrale du Royaume-Uni semble donc se rapprocher des conclusions plutôt alarmistes du FMI au sujet de la tokenisation. Car ce secteur émergent devrait, selon elle, se développer sans profiter au secteur des cryptomonnaies. Dans le même temps, la Société Générale (Forge) vient d’émettre une obligation verte tokenisée sur la blockchain (publique) Ethereum. À méditer…

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article La tokenisation pourrait augmenter les risques systémiques, selon la Bank of England est apparu en premier sur Journal du Coin.

Connecter CeFi et DeFi ? Cede.store se lance sur Product Hunt

https://journalducoin.com/?p=653512

Ce-DeFi. Le secteur des cryptomonnaies est en train de vivre une véritable mutation de son modèle initial de fonctionnement. Une dynamique axée sur l’adoption et la mise en place d’un environnement Web 3 accessible et sécurisé. Et son véritable point de rencontre se trouve à l’intersection de la CeFi et de la DeFi. Une connexion dont la clé de voute pourrait être le projet Cede.store. Ce dernier vient d’être officiellement référencé sur site de découverte des meilleurs projets innovants, Product Hunt.

Cet article contient des liens d’affiliation vous permettant de soutenir le travail quotidien des équipes du Journal Du Coin.

Combler le fossé entre CeFi et DeFi

La période actuelle est à l’adoption harmonisée dans le secteur des cryptomonnaies. Car les primo-utilisateurs sont déjà passés par là, avec les risques et problèmes techniques liés à ce statut d’explorateurs numériques. Le temps est maintenant venu pour entrer dans cette course avec les meilleurs assistants possibles.

Un objectif auquel souhaite répondre l’extension de navigateur Cede.store. Cela sous la forme d’une passerelle sécurisée entre la finance centralisée (CeFi) et sa version décentralisée (DeFi). Avec un accent tout particulier sur la facilité d’utilisation de ses services.

« Cede.store vise à combler le fossé entre les données et actifs CeFi et toutes les dApps. Il s’agit d’une extension de navigateur conçue pour se connecter à votre CEX comme Binance ou Coinbase et pour faciliter l’interaction avec vos actifs qui s’y trouvent (…), tout en conservant les valeurs DeFi : auto-garde (des clés d’accès CEX) et une DeFi UX via un portefeuille de navigateur. »

Cede.store

Accompagner Cede.store sur Product Hunt

Et afin de faire connaître son offre, la projet Cede.store a décidé de passer par la case Product Hunt. Un site de référence dans le domaine de l’innovation technologique, dont l’objectif est de faire remonter les projets avec le plus de votes en première place de sa home page.

Accompagner Cede.store sur Product Hunt
Cede.store se lance sur le site Product Hunt

L’occasion de participer à cette aventure, en allant visiter la page dédiée à Cede.store. Et pourquoi pas en « apportant un peu de soutien avec un vote positif et un commentaire ».

Le réveil actuel du secteur des cryptomonnaies pose la question essentielle de choisir les meilleurs outils afin de s’inscrire dans le prochain marché haussier. Un objectif au centre du développement de l’extension Cede.store, destinée à construire « un monde crypto transparent et plus interopérable » entre CeFi et DeFi.

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Connecter CeFi et DeFi ? Cede.store se lance sur Product Hunt est apparu en premier sur Journal du Coin.

Inspect (INSP) : listing sur les plateformes Bitget et KuCoin

https://journalducoin.com/?p=653234

INSP disponible. La période actuelle semble propice au lancement de nouveaux projets. Avec un marché en train de sortir pour de bon de sa léthargie imposée par un hiver crypto des plus rigoureux. L’occasion de s’intéresser à de nouvelles formules innovantes, comme l’application Inspect destinée à libérer la puissance du Web 3. Elle pourrait bien devenir votre principal assistant afin de ne pas se perdre dans les méandres de cette économie numérique. Afin d’accompagner son développement, le jeton INSP est désormais disponible sur les plateformes KuCoin et Bitget.

Cet article contient des liens d’affiliation vous permettant de soutenir le travail quotidien des équipes du Journal Du Coin.

KuCoin accueille le jeton INSP en « World Premiere »

Comme tout projet Web 3 qui se respecte, l’application Inspect a besoin d’un jeton utilitaire pour faire vivre son écosystème. En effet, elle offre de nombreuses fonctionnalités afin de toujours garder une longueur d’avance dans cette économie numérique en mutation permanente. Tout cela dans une dynamique SocialFi conçue comme une surcouche appliquée à des médias sociaux incontournables, tels que le réseau X.

Cela peut également se concrétiser avec un investissement dans sa cryptomonnaie INSP. Un jeton disponible depuis peu sur la plateforme KuCoin, dans le cadre de son service « World Premiere ». Avec des opérations de trading (INSP/USDT) ouvertes depuis le 6 décembre.

Le jeton INSP est désormais disponible sur la plateforme KuCoin

« Inspect transforme la façon dont les utilisateurs naviguent dans le secteur des cryptomonnaies et des NFT avec leurs écosystèmes de médias sociaux, en offrant des outils indispensables pour des échanges transparents, un suivi des tendances, un engagement financier intelligent, des informations Alpha et une interaction directe. »

KuCoin

Bitget propose l’achat de jetons INSP

Une démarche dans laquelle s’inscrit également l’exchange Bitget. Car le projet Inspect est finalement un complément presque parfait à sa plateforme d’exploration Web 3 récemment lancée sous le nom de Task2Get. Cela afin d’aider les utilisateurs de cette économie numérique à repérer les meilleures opportunités et la façon d’y accéder en toute sécurité.

Dans cette optique, Bitget propose depuis peu une option d’achat pour les jetons INSP. Avec plusieurs procédures disponibles, comme l’utilisation d’une carte de crédit ou l’échange à l’aide d’une option peer-to-peer (P2P).

Inspect (INSP) : listing sur les plateformes Bitget et KuCoin
Graphique du jeton INSP – Source : CoinMarketCap

Le jeton INSP est donc officiellement disponible sur plusieurs plateformes incontournables du secteur des cryptomonnaies. L’occasion de s’inscrire dès le départ dans la dynamique naissante du projet Inspect. Cela afin de pouvoir affronter le Web3 à l’aide des meilleurs outils possibles. Et bien évidemment, n’oubliez pas de faire vos propres recherches, et que chaque investissement recèle sa part de risque.

Le wallet Bitget n’est qu’une des facettes de l’exchange. Bitget c’est aussi du trading spot, et de très nombreuses fonctionnalités pour tous les types de profils. Soutenez le travail du JdC en cliquant sur ce lien

Lien commercial

L’article Inspect (INSP) : listing sur les plateformes Bitget et KuCoin est apparu en premier sur Journal du Coin.

Désastre Terra (LUNA) : Do Kwon devrait être extradé vers les États-Unis

https://journalducoin.com/?p=653480

Aller simple pour les États-Unis. Dans la liste des procès menés à l’encontre d’anciennes personnalités crypto populaires, le fondateur du défunt réseau Terra en est à l’étape de la demande d’extradition. Une affaire liée à l’effondrement dramatique du stablecoin UST, ayant entrainé avec lui un écosystème alors valorisé à hauteur de 40 milliards de dollars. C’est la raison pour laquelle deux juridictions distinctes souhaitent régler son compte judiciaire à cet ex-milliardaire en fuite. Et selon certaines révélations récentes, le Monténégro pourrait bien préférer les États-Unis à la Corée du Sud.

Extradition imminente ?

À quel pays la justice du Monténégro va-t-elle livrer ce colis encombrant. La question est débattue depuis plusieurs mois. Cela alors que Do Kwon vient de procéder à un nouvel appel il y a quelques jours. Son but : échapper à un aller simple vers les États-Unis en train de couper les têtes de la plupart des anciennes stars de l’écosystème crypto.

Do Kwon attend de savoir où il va être extradé par la justice du Monténégro

Car la destination de Do Kwon est au centre d’un véritable combat judiciaire entre les États-Unis et la Corée du Sud. Avec, dans les deux cas, un procès pour fraude et violations de la loi sur les titres financiers. Le tout en lien direct à l’effondrement du réseau Terra (LUNA, devenu LUNC pour « Classic »).

Toutefois, il semble important de rappeler que Do Kwon est un citoyen sud-coréen. De ce fait, son extradition devrait naturellement se faire vers sa juridiction natale. Mais c’était apparement sans compter sur la force de persuasion (pression ?) de la justice des États-Unis.

Do Kwon devra rendre des comptes devant la justice des États-Unis

L’information vient de tomber sous la forme d’une rumeur rapportée au Wall Street Journal par « des personnes proches du dossier ». Cela au sujet de la prochaine extradition de Do Kwon, dont la destination serait selon toute vraisemblance les États-Unis. Car le ministre de la Justice du Monténégro, Andrej Milović, semble avoir enfin arrêté sa décision.

Mais finalement, cela ne change pas grand-chose, car un tribunal avait déjà décidé d’envoyer Do Kwon aux États-Unis. Toutefois, la validation officielle de cette destination revenait en dernier lieu au ministre de la Justice, Andrej Milović. Et selon le Wall Street Journal, même si sa décision semble prise, « il est peu probable qu’il le fasse tant que les tribunaux du pays n’auront pas statué sur l’appel en dernière instance de Kwon ».

Même si Do Kwon tente de jouer sa dernière carte, tout laisse penser que son sort est déjà joué. En effet, c’est devant la justice des États-Unis que cet acteur déchu du secteur des cryptomonnaies devra de toute évidence rendre des comptes. Et si l’on en croit le dénouement du procès de Sam Bankman-Fried, la case (dizaine d’années de) prison est une option a envisager très sérieusement.

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Désastre Terra (LUNA) : Do Kwon devrait être extradé vers les États-Unis est apparu en premier sur Journal du Coin.

LUNA, UST et MIR dans le viseur de la SEC ? Terraform Labs veut éviter un procès

https://journalducoin.com/actualites/terraform-labs-tente-echapper-proces-faudra-jury/

Titres financiers, ou pas ? La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis souhaite voir des titres financiers dans (presque) toutes les cryptomonnaies. La raison est simple. Ce genre de produits financiers entre dans le cadre de sa juridiction réglementaire. Et autant dire que peu de projets crypto ont fait les démarches nécessaires pour s’enregistrer en tant que tel. D’autant plus si l’on considère que le cadre légal actuel ne permet pas de les intégrer de façon évidente. Un flou à l’origine d’une procédure en cours pour Terraform Labs, au sujet des cryptomonnaies UST, LUNA, wLUNA et MIR.

TerraForm Labs réclame des comptes à la SEC

L’affaire Terra est encore loin d’être close. Avec d’un côté son emblématique cofondateur, Do Kwon, en train de lutter contre une possible extradition vers les États-Unis. Cela depuis le Monténégro où il s’est réfugié après plusieurs mois d’une traque internationale. Et de toute évidence, il préférerait clairement se voir livré à la justice de la Corée du Sud.

Do Kwon est toujours réfugié au Monténégro, dans l’attente de son extradition

Dans le même temps, la structure Terraform Labs s’empêtre dans une procédure imposée par la SEC. Cela au sujet de la qualification réglementaire de ses cryptomonnaies natives comme le fameux stablecoin UST à l’origine du cataclysme Terra. Mais il est également question de LUNA, wLUNA et MIR.

En cause, le moyen choisi pour déterminer le statut de ces différentes cryptomonnaies. Et visiblement, la structure Terraform Labs souhaite jouer la carte du jury populaire. C’est en tout cas ce qu’elle explique dans une lettre adressée en début de semaine à l’instance de régulation. Le but : décider « si la SEC a ou non rempli sa charge de prouver » que les jetons impliqués dans cette procédure sont des titres financiers.

Échapper à un procès

Dans les faits, Terraform Labs tente d’échapper au procès. De ce fait, une demande de jugement sommaire a été déposée fin octobre auprès du juge Jed Rakoff, en charge de ce dossier. Et si toutefois cette procédure n’est pas acceptée, Terraform Labs demande alors de soumettre l’affaire à un jury.

« Après une période de deux années d’enquête, dont l’achèvement a abouti à l’enregistrement de plus de 20 dépositions et à l’échange de plus de deux millions de pages de documents et de données, la SEC n’est visiblement pas plus près de prouver que les accusés ont fait quoi que ce soit de mauvais. (…) Les lacunes du dossier de la SEC se sont aggravées, car il est désormais évident qu’il n’existe aucune preuve admissible pour étayer bon nombre de ses affirmations. »

Terraform Labs

Une exigence rejetée en bloc par la SEC. En effet, l’instance de régulation a répondu dans une lettre que ce n’est pas à un jury de déterminer si quelque chose est un contrat d’investissement ou non. Mais peut-être qu’un regard extérieur serait une bonne chose, histoire de faire le travail sans cesse reporté par Gary Gensler : éclaircir cette question en toute indépendance et une bonne fois pour toutes.

La décision dépend donc du juge en charge de cette affaire. Cela afin de déterminer si la structure Terraform Labs devra faire face à un véritable procès. Et, autant dire que le dernier épisode de cette affaire, largement parasité par l’affaire Ripple (XRP), ne permet pas de fonder de véritables espoirs dans le domaine. Une affaire à suivre…

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article LUNA, UST et MIR dans le viseur de la SEC ? Terraform Labs veut éviter un procès est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le PDG de JP Morgan veut « fermer » le Bitcoin et les cryptomonnaies

https://journalducoin.com/actualites/pdg-jpmorgan-veut-fermer-secteur-cryptomonnaies/

Sans commentaire. Déjà hier, il était question du retour en force des haters de la crypto comme signal encouragent pour un nouveau départ en marché haussier. Et comme pour confirmer cette tendance, le PDG de JP Morgan en personne vient de réactiver violemment cet indicateur. Un homme connu pour ses positions assez tranchées sur le sujet, alors même que sa banque tente de s’imposer comme un nouvel acteur de cette économie numérique. Et comme la mauvaise foi ne s’encombre pas d’essayer de comprendre, il annonce son souhait de « fermer » le secteur des cryptomonnaies. Bien sûr…

Cachez cette cryptomonnaie que je ne saurai voir

Comment est-il encore possible de sortir des affirmations pareilles en 2023 ? En particulier de la part du patron du groupe JP Morgan, en tête des expérimentations crypto à vocations bancaires avec, par exemple, le lancement de son stablecoin natif JPM Coin effectué depuis 2019.

En effet, Jamie Dimon s’est une nouvelle fois illustré dans le domaine. Cela lors d’une rencontre avec le comité sénatorial américain des banques, du logement et des affaires urbaines qui a visiblement mal tourné. Et, c’est suite à une question de la sénatrice Elizabeth Warren qu’il s’est emporté sur le sujet. Le contexte : son opinion sur la capacité des cryptomonnaies à attirer les mauvais acteurs.

Jamie Dimon, éternel ennemi des cryptomonnaies

« J’ai toujours été profondément opposé aux cryptomonnaies, au Bitcoin, etc. (…) Les seuls véritables cas d’utilisation sont ceux des criminels, des trafiquants de drogue, du blanchiment d’argent et de l’évasion fiscale. (…) Si j’étais le gouvernement, je fermerais tout ça. »

Jamie Dimon

Il y a plein de choses qu’il faudrait fermer, ou en tout cas réfléchir avant d’ouvrir. Et ce ne sera certainement pas le secteur des cryptomonnaies, basé sur un principe de décentralisation qui lui propose une existence propre hors de ce genre de considérations d’un autre temps.

D’autant plus que son utilisation pour des activités criminelles est régulièrement démontrée comme anecdotique – ou en tout cas largement exagérée – par les rapports successifs de Chainalysis. Mais visiblement, peu importe…

JP Morgan devrait s’occuper de ses casseroles

Une affirmation d’autant plus exaspérante que la banque JP Morgan est très (très) loin d’être irréprochable dans le domaine. En effet, les commentaires sur le réseau X n’ont pas manqué de souligner son implication dans de nombreux dossiers de fraudes avérées.

Un palmarès où elle figurerait d’ailleurs en seconde position, avec 39,3 milliards de dollars d’amendes payés depuis l’an 2000, pour 272 violations confirmées. Dont 38 milliards de dollars ont été réglés sous la direction de Jamie Dimon, en poste depuis 2005

« Tu parles d’un putain d’hypocrite ! Qui est le criminel Jamie Dimon ? Permettez-moi de vous poser une question : au cours des 5 dernières années, lorsque JP Morgan a été condamné à une AMENDE de plus de TRENTE-CINQ MILLIARDS DE DOLLARS (35 000 000 000 $) pour activités illicites et frauduleuses, l’un de vos employés a-t-il utilisé du Bitcoin ou des cryptomonnaies ? »

John E Deaton

À quoi peut bien jouer Jamie Dimon ? Car sa banque tente actuellement de se faire une place dans un écosystème crypto réputé hostile au système bancaire. Comme par exemple avec l’émergence du principe de tokenisation, en train de bouleverser son secteur. Il faudrait peut-être lui appliquer le même régime qu’à Changpeng Zhao (CZ), version finance traditionnelle…

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Le PDG de JP Morgan veut « fermer » le Bitcoin et les cryptomonnaies est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le PDG de JP Morgan déclare être « opposé aux cryptomonnaies, au Bitcoin »

https://journalducoin.com/?p=653155

Sans commentaire. Déjà hier, il était question du retour en force des haters de la crypto comme signal encouragent pour un nouveau départ en marché haussier. Et comme pour confirmer cette tendance, le PDG de JP Morgan en personne vient de réactiver violemment cet indicateur. Un homme connu pour ses positions assez tranchées sur le sujet, alors même que sa banque tente de s’imposer comme un nouvel acteur de cette économie numérique. Et comme la mauvaise foi ne s’encombre pas d’essayer de comprendre, il annonce son souhait de « fermer » le secteur des cryptomonnaies. Bien sûr…

Cachez cette cryptomonnaie que je ne saurai voir

Comment est-il encore possible de sortir des affirmations pareilles en 2023 ? En particulier de la part du patron du groupe JP Morgan, en tête des expérimentations crypto à vocations bancaires avec, par exemple, le lancement de son stablecoin natif JPM Coin effectué depuis 2019.

En effet, Jamie Dimon s’est une nouvelle fois illustré dans le domaine. Cela lors d’une rencontre avec le comité sénatorial américain des banques, du logement et des affaires urbaines qui a visiblement mal tourné. Et, c’est suite à une question de la sénatrice Elizabeth Warren qu’il s’est emporté sur le sujet. Le contexte : son opinion sur la capacité des cryptomonnaies à attirer les mauvais acteurs.

Jamie Dimon, éternel ennemi des cryptomonnaies

« J’ai toujours été profondément opposé aux cryptomonnaies, au Bitcoin, etc. (…) Les seuls véritables cas d’utilisation sont ceux des criminels, des trafiquants de drogue, du blanchiment d’argent et de l’évasion fiscale. (…) Si j’étais le gouvernement, je fermerais tout ça. »

Jamie Dimon

Il y a plein de choses qu’il faudrait fermer, ou en tout cas réfléchir avant d’ouvrir. Et ce ne sera certainement pas le secteur des cryptomonnaies, basé sur un principe de décentralisation qui lui propose une existence propre hors de ce genre de considérations d’un autre temps.

D’autant plus que son utilisation pour des activités criminelles est régulièrement démontrée comme anecdotique – ou en tout cas largement exagérée – par les rapports successifs de Chainalysis. Mais visiblement, peu importe…

JP Morgan devrait s’occuper de ses casseroles

Une affirmation d’autant plus exaspérante que la banque JP Morgan est très (très) loin d’être irréprochable dans le domaine. En effet, les commentaires sur le réseau X n’ont pas manqué de souligner son implication dans de nombreux dossiers de fraudes avérées.

Un palmarès où elle figurerait d’ailleurs en seconde position, avec 39,3 milliards de dollars d’amendes payés depuis l’an 2000, pour 272 violations confirmées. Dont 38 milliards de dollars ont été réglés sous la direction de Jamie Dimon, en poste depuis 2005

« Tu parles d’un putain d’hypocrite ! Qui est le criminel Jamie Dimon ? Permettez-moi de vous poser une question : au cours des 5 dernières années, lorsque JP Morgan a été condamné à une AMENDE de plus de TRENTE-CINQ MILLIARDS DE DOLLARS (35 000 000 000 $) pour activités illicites et frauduleuses, l’un de vos employés a-t-il utilisé du Bitcoin ou des cryptomonnaies ? »

John E Deaton

À quoi peut bien jouer Jamie Dimon ? Car sa banque tente actuellement de se faire une place dans un écosystème crypto réputé hostile au système bancaire. Comme par exemple avec l’émergence du principe de tokenisation, en train de bouleverser son secteur. Il faudrait peut-être lui appliquer le même régime qu’à Changpeng Zhao (CZ), version finance traditionnelle…

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Le PDG de JP Morgan déclare être « opposé aux cryptomonnaies, au Bitcoin » est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le Bitcoin Ordinals (ORDI) dépasse la capitalisation de 1 milliard de $

https://journalducoin.com/?p=652958

ORDI to the moon. Tout ce qui s’approche du Bitcoin semble actuellement attiser les convoitises. Au point de se demander si la hausse actuelle du BTC est un retour déjà effectif en période de bull run ou une simple hype portée par l’attente d’une approbation des ETF au comptant. Quoi qu’il en soit, le marché des cryptomonnaies s’emballe. Il suffit de voir la hausse opérée par le jeton BRC-20 Bitcoin Ordinals (ORDI) au cours des dernières semaines. Il devient de ce fait le premier du genre à dépasser une capitalisation de 1 milliard de dollars.

Bitcoin Ordinals (ORDI) : le plus populaire des BRC-20

Cet article a débuté par le fait de choisir la catégorie « Bitcoin » et de lui accoler ensuite la sous-catégorie « altcoins ». Une hérésie pour les maximalistes et autres bitcoiners. Mais un résumé assez simple et significatif de ce que peut représenter le jeton Bitcoin Ordinals (ORDI).

En effet, le modèle économique du réseau Ethereum appliqué à la blockchain du Bitcoin a récemment donné naissance aux jetons BRC-20. Des « shitcoins » nouvelle génération dont la part de marché a rapidement dépassée le milliard de dollars en mai dernier. Soit seulement deux mois après leur lancement officiel.

Le jeton Bitcoin Ordinals (ORDI) est le plus important BRC-20 actuel

Et parmi cette nouvelle classe de jetons implantés sur la blockchain du Bitcoin figure en bonne place le désormais emblématique Bitcoin Ordinals (ORDI). Un projet lancé en mars de cette année par le pseudonyme Domo. Le tout sans aucune espèce de feuille de route ou de fondamentaux dignes de soutenir son succès. Mais c’était sans compter sur l’aspect définitivement « shitcoin » de ces jetons BRC-20.

ORDI : le premier BRC-20 à 1 milliard de dollars

Les récents mouvements haussiers du Bitcoin semblent porter avec eux d’autres jetons associés malgré lui à cette dynamique. C’est tout particulièrement le cas du BRC-20 ORDI, à la tête d’une envolée assez spectaculaire de plus de 860 % au cours du dernier mois. Avec un prix passé sur cette période de 6,75 $, le 5 novembre dernier, à plus de 65 $ lors de son dernier sommet historique du 5 décembre.

Une hausse explosive qui a projeté la capitalisation du jeton ORDI au-dessus de la barre symbolique des 1 milliard de dollars. Une première historique pour le secteur des BRC-20. Mais une tendance visiblement de courte durée. En effet, après avoir dépassé brièvement les 1,36 milliard de dollars sur la journée d’hier, il pointe actuellement à 873,85 millions de dollars. Soit une baisse tout aussi rapide de 35 % sur les dernières 24 h.

ORDI : le premier BRC-20 à 1 milliard de dollars
Market Cap du jeton BRC-20 Bitcoin Ordinals (ORDI) – Source : CoinMarketCap

Cause possible de ce retour presque immédiat à la baisse, l’annonce du développeur de Bitcoin Core Luke Dashjr effectuée il y a quelques heures sur le réseau X. Cela au sujet d’une « vulnérabilité exploitée » par le processus d’inscription des Ordinals qui pourrait bien être prochainement corrigée. Et certains craignent – ou espèrent – déjà la mort programmée de ces NFT made in Bitcoin.

Cette récente baisse enregistrée par le jeton ORDI pourrait être une simple correction finalement assez logique, compte tenu de la hausse importante des dernières semaines. Mais le timing avec la publication de Luke Dashjr reste intéressant à observer. Car malgré une augmentation significative de leurs parts de marché, les Ordinals restent un sujet important de discorde dans les rangs de la communauté du Bitcoin. Et leur déploiement sur les blockchains EVM permet de penser qu’ils sont partis pour rester.

 

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Le Bitcoin Ordinals (ORDI) dépasse la capitalisation de 1 milliard de $ est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le nombre de dossiers « Bitcoin » déposés auprès de la SEC a explosé en novembre

https://journalducoin.com/bitcoin/nombre-dossiers-bitcoin-deposes-aupres-sec-explose-novembre/

Bitcoin sauce réglementaire. Depuis son franchissement confirmé du niveau des 42 000$, le mot « Bitcoin » est de retour sur toutes les lèvres. Cela au point de réveiller depuis quelques jours le désagréable, mais symptomatique indicateur shitpost. Un condensé de publications stériles – ou véritablement stupides – des principaux détracteurs de cette cryptomonnaie à l’inutilité éternellement vendue par ceux qui n’en font pas usage. Dans le même temps, cette fièvre semble également toucher le secteur réglementaire. Car un record historique de dépôt de dossiers vient d’être enregistré par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis.

Excitation palpable autour du Bitcoin

Sommes-nous en train de vivre les prémices du prochain bull run du Bitcoin ? La question anime les réseaux, alors que les éternels haters refont surface pour crier à la « monnaie du clic sur un ordinateur » purement spéculative. Au moins ont-ils évolué au point de désormais parler de monnaie…

Le Bitcoin enregistre un regain d’intérêt en cette fin d’année

Un échauffement des esprits qui semble s’associer à une excitation palpable du côté des acteurs financiers, historiques ou fraichement débarqués, de cette économie numérique. Il suffit de voir comment le leader mondial de la gestion d’actifs BlackRock se lance dans la course, avec des ETF Bitcoin et Ethereum au comptant en attente d’approbation.

Et de toute évidence, cette liste d’attente parait s’allonger comme jamais. En effet, les données récoltées auprès de l’instance de régulation US font état d’un nombre de dépôts de dossiers à son plus haut niveau historique. Un enthousiasme qui se propage désormais bien au-delà des frontières de la seule zone crypto.

Un nouveau plus haut historique version SEC

Cette étude a été menée par l’analyste de recherche pour le média The Block, Rebecca Stevens. Et le sujet traite plus particulièrement des dossiers déposés auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis avec le mot « Bitcoin » dans leurs libellés.

Les résultats sont significatifs. Au cours du mois de novembre dernier, un record historique de dépôts de ce type a en effet été enregistré.

Nouveau plus haut historique pour le Bitcoin
Nombre de dépôts de dossiers auprès de la SEC avec la mention « Bitcoin » – Source : The Block

Car, au cours de cette période, ce sont 1074 dossiers « Bitcoin » qui ont ainsi été soumis à l’instance de régulation. Soit une hausse de 32,6 % par rapport au sommet de mai dernier (810)… et une explosion de 100 % par rapport au mois d’octobre et ses 527 dossiers déposés. Toutefois, quelques précisions semblent nécessaires :

« Mais ce n’est pas vraiment une comparaison équitable puisque novembre est un mois de rapport sur les résultats trimestriels, vous constatez donc généralement une augmentation des dépôts lorsque les sociétés liées aux cryptomonnaies déposent leurs 10-Q et 8-K. »

Rebecca Stevens

Mais, l’analyste Rebecca Stevens ne manque pas de préciser ses propos. Car « indépendamment des détails, cela montre que le plus grand crypto-actif au monde apparaît davantage dans les documents réglementaires ». Une dynamique très certainement soutenue par la hype qui entoure actuellement l’approbation en attente des ETF Bitcoin au comptant. Et le signe que les choses bougent actuellement sur le marché des cryptomonnaies.

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Le nombre de dossiers « Bitcoin » déposés auprès de la SEC a explosé en novembre est apparu en premier sur Journal du Coin.

Wigl lance son token et son service de paiement crypto made in France

https://journalducoin.com/defi/wigl-ico-lancement-service-paiement-crypto/

Spend euro, trust crypto. La société Feel Mining, pionnière des investissements dans le secteur du minage, mais également du staking, fait partie des acteurs historiques de renom au cœur de l’écosystème crypto francophone. Une aventure débutée en 2017 qui accompagne au plus près toutes les évolutions de cette nouvelle économie numérique. En point de mire, une adoption simplifiée et des services sans cesse optimisés. C’est la raison pour laquelle elle développe actuellement le moyen de paiement et d’investissement crypto Wigl. Afin de finaliser le déploiement de cette offre innovante, une étape cruciale vient d’être initiée avec le lancement d’une ICO (Initial Coin Offering) destinée à offrir un accès anticipé au token utilitaire WIGL.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Wigl.

Feel Mining : accompagner l’adoption du secteur crypto avec Wigl

L’ objectif, en apparence simple, est pourtant très ambitieux : offrir une gamme de produits et de services sûrs et robustes, tout en restant accessibles au plus grand nombre. Une activité dans un premier temps plus orientée vers le mining et les solutions d’investissements passifs, comme le staking.

Car l’adoption des cryptomonnaies n’est plus qu’une simple question de temps. Et les véritables enjeux sont dorénavant positionnés dans le domaine de la réglementation de cette économie numérique en devenir. Il n’en fallait pas plus pour inspirer le développement d’une nouvelle offre innovante du nom de Wigl.

Feel Mining lance l’application de paiement et d’investissement crypto Wigl

« Wigl est né de ce constat simple. Aucune solution combinant simplicité d’utilisation, rendements attractifs et respect total des réglementations françaises n’existe aujourd’hui sur le marché, laissant les investisseurs novices en difficulté ou livrés à des entreprises étrangères parfois peu scrupuleuses. »

White paper

Une sorte d’évidence. Car le projet Wigl apporte une solution clé en main aux adeptes comme aux débutants dans le secteur des cryptomonnaies, s’appuyant sur l’expertise d’un acteur de renom comme Feel Mining. Avec la certitude de naviguer dans un cadre transparent sur toutes les questions réglementaires actuelles.

Qu’est-ce que le projet Wigl ?

Dans les faits, le projet Wigl ambitionne de devenir une porte d’entrée simplifiée vers le secteur des cryptomonnaies. Cela principalement sous la forme d’un service de paiement euros/crypto accessible via une application mobile. Mais c’est bien plus que cela.

« Wigl est la 1ère solution française d’investissements et de paiements en cryptos ou en euros, dont la société est enregistrée comme PSAN (prestataire de service sur actifs numériques) auprès de l’AMF. Wigl a pour mission d’offrir un environnement intuitif donnant la possibilité aux utilisateurs de profiter des opportunités offertes par les cryptomonnaies, en toute sécurité. »

Wigl

Wigl est un nouveau moyen de paiement euro/crypto
Feel Mining lance Wigl, une néo-banque avec des services de crédit, d’épargne et une carte bancaire euro/crypto

En effet, l’application Wigl propose de nombreux services spécifiques, dont certains sont à vocation bancaire et d’autres plus principalement axés sur l’investissement crypto. En voici une liste non exhaustive :

  • Editer un IBAN Français
  • 3 cartes bancaires disponibles
  • Transferts euro et crypto instantanés et gratuits entre utilisateurs
  • Emission et réception de virements SEPA
  • Achat et vente de cryptomonnaies
  • Paiements en euro et en crypto
  • Programme de cashback sur les dépenses par carte
  • Option de placements crypto
  • Un token utilitaire (WIGL) aux nombreux avantages

Un service qui permet donc d’obtenir une carte de paiement, agrémentée d’un cashback pouvant aller jusqu’à 7 %. Mais également d’une option d’investissement crypto avec un contrôle total, ou encore des rendements sur actifs numériques non-volatils (stablecoins) en passant par le secteur de la DeFi. Avec un statut d’agent PSP (prestataire de service de paiement) destiné à permettre à Wigl d’opérer en tant que fournisseurs de services de paiement euro et crypto, avec le soutien du leader européen du Banking as-a-service Treezor. Autant dire que Wigl a toutes les autorisations réglementaires pour mener à bien son projet !

Et afin de soutenir la partie communautaire et financière de Wigl, le lancement du jeton utilitaire WIGL vient d’être initié sous la forme d’une ICO (Initial Coin Offering) débutée il y a peu. Et les premiers arrivés seront bien évidemment les mieux servis…

Participez à l’ICO du token WIGL

L’aube d’un retour en marché haussier est le meilleur moment pour prendre position sur des projets prometteurs. Une règle d’autant plus vérifiable avec la société Feel Mining aux commandes de l’application Wigl. Car cela permet de jouer sur le principe attractif des small caps tout en profitant de l’implantation d’un acteur historique du secteur des cryptomonnaies.

C’est la raison pour laquelle la récente ICO qui permet d’acheter le nouveau token WIGL mérite une attention toute particulière. Car le premier round (private sale) de cette opération cours sur le mois de décembre, avec un prix de vente initial fixé à 0,025 € pour les premiers 6,5 % (37,5 millions d’unités) de sa supply. Soit une levée estimée à un peu moins d’1 million d’euros destinés en grande majorité au développement technique de l’application mobile Wigl.

Participez à l'ICO du token WIGL et obtenez votre statut VIP
Le token WIGL et au centre de l’application Wigl

Une seconde opération (pre-sale) de ce genre aura également lieu au mois de février 2024. Cette fois le prix de vente sera fixé à 0,05 € par unité. Enfin, la vente publique débutera en mars 2024 pour se terminer en mai, avec 3 phases distinctes pour chaque mois (0.07 € en mars, 0.08 € en avril et 0.09 € en mai). Tout cela pour un prix de listing sur la plateforme Uniswap fixé à 0,10 € au premier trimestre 2024. Sachant que plus vous arrivez tôt, plus vous bénéficiez d’avantages exclusifs, parfois délivrés à vie.

La levée de fonds privée de 2022 avait permit de sécuriser 1 million d’euros auprès de BpiFrance. Aujourd’hui l’application Wigl amorce une nouvelle phase importante de son développement avec la première phase de son ICO. Une opération à laquelle il est possible de participer dès maintenant, afin de figurer parmi les membres VIP de cette aventure. Préparez-vous, l’adoption effective des cryptomonnaies est proche.

La présente publication ne constitue pas un conseil en investissement. L’investissement dans les actifs numériques représentent un niveau de risque élevé et ne conviennent pas à de nombreux investisseurs. Ces actifs présentent un risque de perte en capital élevé mais ne dépassant pas le montant investi. Vous ne devez pas investir d’argent que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre. Conformément aux articles L. 54-10-2 et L. 54-10-3 du Code monétaire et financier, Feel Mining est enregistrée auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) sur la liste des prestataires de services sur actifs numériques (PSAN) sous le numéro E2021-022.

L’article Wigl lance son token et son service de paiement crypto made in France est apparu en premier sur Journal du Coin.

la SEC retarde (encore) sa décision pour l’ETF Ethereum au comptant de Grayscale

https://journalducoin.com/ethereum/sec-retarde-decision-etf-comptant-ether-grayscale/

Rendez-vous en 2024. Si l’approbation des ETF Bitcoin au comptant est une course, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis est une barrière de départ qui refuse obstinément de s’ouvrir pour libérer les participants. Une situation à l’origine de reports à répétition, au point d’envisager désormais le début de l’année prochaine comme deadline officielle. Et de toute évidence, ces tergiversations réglementaires n’épargnent pas non plus les ETF Ethereum au comptant. Car la version de Grayscale vient d’être repoussée au 25 janvier, sans aucune certitude d’approbation.

Grayscale : la SEC a besoin d’un délai (encore) plus long

Cette nouvelle arrive finalement sans grande surprise. La SEC des États-Unis vient de reporter sa décision dans le dossier de l’ETF Ethereum au comptant du gestionnaire crypto Grayscale. Et, cette stabilité du rejet semble devenir sa principale marque de fabrique dans le domaine.

« Le Conseil estime approprié de fixer un délai plus long pour prendre des mesures afin de disposer de suffisamment de temps pour examiner le changement de règle proposé et les questions qui y sont soulevées. En conséquence, la Commission désigne le 25 janvier 2024 comme date à laquelle la Commission devra soit approuver, soit désapprouver, soit engager des procédures pour déterminer si elle doit désapprouver, le projet proposé. »

SEC

Grayscale voit l’approbation de son ETF Ethereum au comptant repoussée au 25 janvier

Une course parallèle à celle des ETF Bitcoin au comptant, dans laquelle s’est récemment inscrit le géant BlackRock avec son véhicule financier spécialement taillé pour Ethereum. Mais de toute évidence, rien ne se passera avant le mois de janvier de l’année prochaine… au minimum.

Janvier, le mois de toutes les approbations ?

Toutefois, ce nouveau report pourrait presque passer pour une bonne nouvelle. C’est en tout cas l’impression perçue du côté des principaux spectateurs de cette série à rebondissement, dont le scénario est écrit en temps (ir)réel par la SEC. Car le mois de janvier est une nouvelle fois pointé par le régulateur comme date possiblement fatidique.

« Mise à jour : comme prévu, le dépôt de la fiducie Ethereum de Grayscale vient d’être retardé. Il était attendu pour le 6/12/23, c’est donc tout à fait normal. »

James Seyffart

De toute évidence, les récents pourparlers de la société Grayscale avec la SEC ne permettent pas d’accélérer ce processus fastidieux. Il s’agit pourtant dans le cas présent d’une « simple » conversion d’un produit lancé en 2019 – et enregistré auprès de la SEC dès 2020 – comme dans le cas de son GBTC dédié au Bitcoin.

La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis semble donc persister dans sa volonté de reporter son approbation des ETF au comptant à l’année prochaine. Est-ce le signe d’une libération groupée à venir ? L’espoir affiché par les spécialistes du domaine pourrait permettre de le penser. Mais ce serait sans compter sur la capacité du très politique Gary Gensler à ne jamais faire ce que l’on attend de lui. Rendez-vous en 2024…

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article la SEC retarde (encore) sa décision pour l’ETF Ethereum au comptant de Grayscale est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le pari Bitcoin de Michael Saylor affice un bénéfice de plus de 2 milliards de $

https://journalducoin.com/bitcoin/pari-bitcoin-michael-saylor-depasse-2-milliards-dollars/

Bitcoinstrategy. Décidément, le récent passage du Bitcoin au-dessus des 42 000$ aura marqué les esprits – et les stratégies – en cette fin d’année. Une hausse à l’origine de nombreux rendements positifs, comme par exemple pour le Salvador heureux de pouvoir faire mentir ses nombreux détracteurs. Mais la palme du placement BTC rentable revient sans aucun doute à la société MicroStrategy et son portefeuille garnis de 174 530 BTC. En effet, elle affiche désormais un bénéfice supérieur à 2 milliards de dollars.

Bitcoin : Michael Saylor aurait-il vu juste ?

La société MicroStrategy est désormais connue pour la soif de Bitcoin de son ex-PDG fondateur Michael Saylor. Une crise de maximalisme aiguë à l’origine de l’accumulation d’un trésor de 174 530 BTC au recensement de décembre dernier. Le tout programmé et financé depuis l’initiation de cette course un peu folle en août 2020.

Bien évidemment, le marché baissier aura fait douter les nombreux observateurs de cette nouvelle stratégie de gestion de la trésorerie d’une entreprise cotée en bourse. Cela alors que dans le même temps, Michael Saylor regardait déjà du côte de la « fête » promise par le prochain halving du Bitcoin.

MicroStrategy détient désormais 174 430 BTC

Et les derniers mouvements du marché du Bitcoin semblent lui donner raison. Car le butin en BTC de MicroStrategy est désormais estimé à 7,3 milliards de dollars environ. Et les gains non réalisés que l’entreprise cumule se chiffrent en milliards de dollars.

MicroStrategy affiche un gain supérieur à 2 milliards de dollars

Pour comprendre l’importance des gains réalisés par MicroStrategy, il faut se tourner vers son dernier bilan au sujet de ses avoirs en Bitcoin. Car à la fin du mois de novembre dernier, l’entreprise a acheté une dernière fournée de 16 130 BTC supplémentaires. Et à cette époque, le prix moyen de son portefeuille pointait à 30 252 $ par unité.

De ce fait, lorsque le Bitcoin a dépassé les 42 000 $ hier, chaque BTC valait presque 12 000 $ de plus que son prix d’achat moyen. Une différence qui, une fois multipliée par le nombre de BTC détenus, amène à un bénéfice supérieur à 2 milliards de dollars.

L’opération de trésorerie en BTC menée par Michael Saylor semble donc porter ses fruits en cette fin d’année haussière pour le Bitcoin. Une véritable « révolution de la finance d’entreprise », menée de front par ce maximaliste convaincu. Et pour le moment un succès impossible à ignorer…

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Le pari Bitcoin de Michael Saylor affice un bénéfice de plus de 2 milliards de $ est apparu en premier sur Journal du Coin.

Bull run du Bitcoin ? Un ensemble de vents favorables jamais vus depuis 2021

https://journalducoin.com/bitcoin/bull-run-bitcoin-vents-favorables-jamais-vus-depuis-2021/

Bull run en approche ? Depuis le début de l’année, ce qui n’était au départ qu’un possible rebond semble se transformer en une tendance haussière durable pour le Bitcoin. Un mouvement soutenu par la perspective du prochain halving, prévu pour la fin du mois d’avril prochain. Mais également par une possible approbation des ETF Bitcoin au comptant, marquant le véritable début de cette course pour de nombreux investisseurs institutionnels. Une dynamique à l’origine d’un retour significatif de la liquidité sur le marché des cryptomonnaies. Et ce ne sont pas les actions de Coinbase (COIN) ou des mineurs de Bitcoin Marathon Digital (MARA) et Riot Platforms (RIOT) qui vont dire le contraire.

Tous les indicateurs sont au vert ?

Le récent – mais encore fugace – passage du Bitcoin au-dessus de la barre des 42 000 $ redonne des ailes au marché des cryptomonnaies. Car cela semble confirmer une tendance haussière finalement débutée depuis le début de l’année. Avec un rendement annuel de +140 % dont les principaux acteurs de cette économie numérique veulent profiter.

Il faut dire que l’année 2024 s’annonce riche en événements historiques. Avec, en premier lieu, la perspective programmée du 4ᵉ halving du Bitcoin, dont la dynamique haussière aime à se répéter. Mais également une approbation des ETF Bitcoin au comptant à l’origine d’une « invasion de l’argent », selon les estimations de l’ancien président de la bourse de New York récemment reconverti en patron de presse crypto.

Et, comme chaque cycle est différent, celui qui s’annonce semble pouvoir se mesurer à l’aide des actions désormais associées à certaines sociétés crypto. En effet, l’action COIN de la plateforme Coinbase affiche une hausse supérieure à 300 % depuis le début de l’année. Une belle performance qui ne permet toutefois pas encore d’effacer les pertes enregistrées depuis son sommet, encore situé 170 % plus haut (environ 380 $).

Une tendance également confirmée pour l’action MARA du mineur de Bitcoin Marathon Digital. En effet, la société enregistre une hausse de 350% sur la même période, avec un sommet à +465 % en juillet dernier. Et selon l’analyste Tony Sycamore, cette dynamique haussière serait soutenue « par un ensemble de vents favorables jamais vus depuis 2021 ». Les voyants seraient-ils tous au vert ?

Le bull run du Bitcoin a-t-il déjà commencé ?

La question est sur toutes les lèvres. Le bull run du Bitcoin a-t-il déjà commencé ? Et si l’on ne se concentre pas uniquement sur le graphique du BTC, certains indices semblent permettre de pencher vers une réponse plutôt positive. Comme par exemple le dernier rapport du gestionnaire de fonds numériques CoinShares, qui indique une arrivée massive de liquidités dans les fonds d’investissement crypto.

« Les entrées d’actifs numériques ont totalisé 176 millions de dollars la semaine dernière, atteignant un total sur 10 semaines de 1,76 milliard de dollars. Cette vague d’entrées est désormais la plus importante depuis octobre 2021, année du lancement des ETF à terme aux États-Unis. »

CoinShares

Même la plateforme américaine – aux ambitions européennes – Robinhood semble tirer sa flèche du jeu. En effet, elle affiche dans son dernier formulaire 8-K, déposé auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis le 4 décembre, que « les volumes notionnels de transactions crypto de novembre étaient supérieurs d’environ 75 % par rapport aux niveaux d’octobre 2023. » Un résultat qui permet à son co-fondateur et actuel PDG, Vlad Tenev, d’envisager un chiffre d’affaires annuel à « neuf chiffres ». Toutefois, Wall Street reste toujours très sceptique au sujet des performances de ses actions HOOD (+17,5 % depuis le début de l’année).

Quoi qu’il en soit, cette tendance haussière devra essentiellement survivre à une approbation effective des ETF Bitcoin au comptant pour être validée comme durable. Cela tout en prenant en compte la proportion grandissante d’investisseurs institutionnels dans cette approche du 4e halving du Bitcoin. La question étant de savoir comment va se dérouler la prochaine course du taureau crypto face à ce changement de paradigme en cours.

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Bull run du Bitcoin ? Un ensemble de vents favorables jamais vus depuis 2021 est apparu en premier sur Journal du Coin.

Bitcoin : le Salvador « ne vendra pas » ses BTC

https://journalducoin.com/?p=652586

Salvador fix this. La volatilité légendaire du Bitcoin n’est pas la seule instabilité qui entoure cette cryptomonnaie emblématique. En effet, son adoption semble bien décidée à emprunter les mêmes chemins sinueux. Il suffit de voir comment les instances de régulation sont incapables de classer une bonne fois pour toute ce crypto-actif décidément bien différent des autres. Dans le même temps, le Salvador lui a offert un statut désormais indiscutable de monnaie en 2021. Mais les prochaines élections présidentielles pourraient bien changer la donne… ou pas, si l’on en croit son tout récent ex-président Nayib Bukele.

Nayib Bukele n’a aucune intention de vendre

Le Bitcoin serait-il en train de vivre une sorte de test démocratique au Salvador ? C’est la question actuellement posée par les observateurs, alors que son président Nayid Bukele vient de démissionner afin de pourvoir se représenter à son propre siège. Avec, au centre des interrogations – et critiques – internationales, ses investissements massifs dans le BTC.

Car le Salvador a fait du Bitcoin sa monnaie officielle en 2021. Et depuis cette période, les instances réglementaires mondiales tentent de discréditer cette décision en espérant un ratage emblématique. Mais cela ne semble pas affecter la politique menée par le gouvernement de Nayib Bukele, bien au contraire.

Nayib Bukele n’a aucune intention de revendre les bitcoins détenus par le Salvador

« Nous n’avons aucune intention de vendre, cela n’a jamais été notre objectif. Nous sommes pleinement conscients que le prix continuera de fluctuer à l’avenir, cela n’affecte pas notre stratégie à long terme. »

Nayib Bukele

Et le marché des cryptomonnaies semble profiter à Nayib Bukele. Car après deux années consécutives d’un bear market difficile à assumer pour ce président maximaliste du Bitcoin, la roue semble enfin décidée à tourner. C’est en tout cas ce que vient d’affirmer l’ex-président candidat sur son compte X. En effet, « les investissements Bitcoin du Salvador sont positifs ! »

Le Salvador enregistre un bénéfice de 3,6 millions de dollars

Le Bitcoin affiche un retour en tendance haussière confirmé en cette fin d’année. Avec un prix du BTC qui vient franchir le niveau des 42 000$. Et un rendement annuel désormais à la tête d’une hausse de +140 %.

L’occasion pour Nakib Bukele de régler quelques comptes avec ses détracteurs. Car les critiques n’ont pas manqué de pointer d’un doigt accusateur sa politique monétaire Bitcoin nouvelle génération. Pourtant, c’est à un bénéfice de plus de 3,6 millions de dollars que les caisses de l’État salvadorien doivent désormais faire face.

L’investissement Bitcoin du Salvador est de retour en positif

« Après littéralement des milliers d’articles et de pièces à succès ridiculisant nos prétendues pertes, qui ont toutes été calculées sur la base du prix du marché du BTC à l’époque (…), si nous devions vendre notre Bitcoin à son prix actuel, non seulement nous récupérerions 100 % de notre investissement, mais nous réaliserions également un bénéfice de 3 620 277,13 $ USD (à ce moment précis). »

Nakib Bukele

La politique pro-Bitcoin du Salvador profite donc de la récente hausse du BTC. Une bonne manière de balayer les critiques, considérées par Nayib Bukele comme (désormais) infondées. Même si cela ne permet pas d’effacer certaines règles de sécurité édictées par Vitalik Buterin au sujet de cette démarche sans précédent. Car la victoire n’est pas dans le prix, mais dans l’adoption.

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Bitcoin : le Salvador « ne vendra pas » ses BTC est apparu en premier sur Journal du Coin.

Forbes inscrit son classement des millionnaires trentenaires sur Ethereum

https://journalducoin.com/ethereum/forbes-inscrit-classement-30-under-30-blockchain-ethereum/

Ethereum under 30. Les classements se succèdent et la technologie blockchain s’impose comme un moteur incontournable de l’économie actuelle et à venir. C’est en tout cas l’un des bilans du dernier classement des « 30 under 30 » réalisé chaque année par le magazine Forbes. Une édition au cours de laquelle a également été initié un mur de la honte, presque taillé sur mesure pour Sam Bankman-Fried. Et afin de démontrer son caractère résolument tourné vers l’innovation, Forbes annonce son inscription pour la postérité sur la blockchain Ethereum.

Forbes souhaite continuer à explorer la technologie blockchain

Le magazine Forbes n’en est pas à son coup d’essai dans le secteur des cryptomonnaies. En effet, elle a échappé de peu à une introduction en bourse – avortée en juin 2022 – qui aurait pu faire de Binance l’un de ses principaux actionnaires. Et au regard de la situation actuelle, cette rétractation doit lui sembler d’autant plus salutaire.

Mais les déboires réglementaires de Binance ne remettent pas en cause les nombreuses avancées technologiques portées par la blockchain. La dernière d’entre elle porte le nom de tokenisation, ou Real World Assets (RWA) pour les plus intimes. Avec à la clé une horde de jeunes entrepreneurs talentueux qui peuplent désormais le classement 30 under 30 de Forbes.

Forbes publie chaque année le classement des 30 under 30 dans de nombreux domaines – Source : Forbes

Une rencontre à l’origine d’une décision présentée comme historique. Car le magazine Forbes souhaite « continuer à explorer comment les technologies blockchain et Web3 peuvent transformer la façon dont nous partageons, stockons et sécurisons les informations importantes ». Tout un programme.

Forbes s’inscrit sur la blockchain Ethereum

Le but de l’opération est simple. Il s’agit de réaliser ce qui est présenté comme « une première dans l’industrie ». Cela sous la forme d’un stockage permanent de sa liste 30 under 30 sur le réseau Ethereum. L’objectif affiché étant de profiter du caractère immuable des inscriptions réalisées sur cette blockchain emblématique.

« Forbes est à l’avant-garde dans l’alliance des médias traditionnels et de la technologie de pointe. En lançant la liste 30 under 30 sur la blockchain Ethereum, nous ne reconnaissons pas seulement les jeunes leaders influents ; nous démontrons également le potentiel vaste et inexploité de la technologie blockchain dans le domaine du stockage et de la sécurité des données. »

Vadim Supitskiy

La blockchain s’impose donc comme un cas d’usage applicable à de très nombreux domaines. Même le Bitcoin semble revêtir une “importance stratégique nationale” pour la sécurité des États-Unis. Mais c’est un autre combat…

Wakweli est un layer 1 basé sur un nouvel algorithme de consensus décentralisé qui délivre des certificats d’authenticité, pour les NFT entre autre, afin de sécuriser l’écosystème Web3

Lien commercial

L’article Forbes inscrit son classement des millionnaires trentenaires sur Ethereum est apparu en premier sur Journal du Coin.

Ronaldo et Binance : carton rouge à 1 milliard de dollars d’après ce recours collectif

https://journalducoin.com/exchanges/ronaldo-binance-carton-rouge-1-milliard-dollars-recours-collectif/

Tacle réglementaire. Parfois, les meilleurs amis d’un temps se transforment en boulets à trainer comme un mauvais passif que certains souhaiteraient oublier. Une règle d’autant plus confirmée au fur et à mesure que l’on se rapproche du secteur des cryptomonnaies. Avec, en première ligne, les partenariats réalisés avec des plateformes comme la défunte FTX. Et ceux qui pensaient avoir été plus prudents avec Binance sont en train de s’en mordre les doigts. Comme par exemple le légendaire Cristiano Ronaldo en plein hors-jeu suite à un recours collectif estimé à 1 milliard de dollars.

Cristiano Ronaldo fait face à un recours collectif

Prêter son nom et sa notoriété à une entreprise financière peut parfois se révéler problématique. D’autant plus lorsque ce genre de partenariat concerne un secteur réputé très risqué comme celui des cryptomonnaies. Une douloureuse expérience actuellement menée de front par la star internationale du foot Cristiano Ronaldo. Cela dans le cadre du lancement d’une série de collection de NFT initiée en juin de l’année dernière.

Cristiano Ronaldo doit rendre des comptes suite à son partenariat de 2022 avec Binance

En effet, une plainte collective a été déposée contre le joueur le 27 novembre dernier. Cela auprès d’un tribunal de district des États-Unis. Une procédure au centre de laquelle Cristiano Ronaldo est accusé d’avoir « promu, aidé et/ou participé activement à l’offre et à la vente de titres non enregistrés en coordination avec Binance ». Et autant dire que les récents déboires réglementaires de ce leader des exchanges ne vont rien arranger à cette affaire.

« Les campagnes de promotion menées par M. Ronaldo ont aidé Binance à solliciter des investissements dans des titres non enregistrés en encourageant ses millions de followers, fans et sympathisants à investir avec sa plateforme. »

Plainte officielle

Convocation envoyée, avec un délai de réponse de 21 jours

Le véritable problème de Ronaldo dans cette affaire est la quantité de fans qu’il aurait exposé aux campagnes publicitaires de Binance pour lesquelles il était devenu un symbole. En effet, cette démarche est présentée dans la plainte comme « soutenue et agressive ». Une procédure opérée hors de tout cadre réglementaire. Ce qui en ferait, selon le principal plaignant Michael Sizemore, une campagne de promotion « trompeuse et illégale ».

« Les plaignants déposent cette plainte en leur nom et en celui de tous les autres consommateurs dans une situation similaire qui ont acheté des titres non enregistrés proposés ou vendus par Binance. »

Plainte officielle

Car pour le moment, ce recours collectif se résume à un certain Michael Sizemore et les investisseurs floués qu’il prétend représenter. Mais, dans tous les cas, Cristiano Ronaldo est sommé par la justice des États-Unis de répondre à cette procédure dans les 21 jours. Cela suite à l’envoi d’une convocation officielle à son domicile situé en Arabie Saoudite.

La star internationale du foot Cristiano Ronaldo vient donc rejoindre les rangs des personnalités ayant des comptes à rendre suite à la mise en place de partenariats avec le secteur des cryptomonnaies. Un club où se trouvent déjà d’autres célébrités comme Lindsey Lohan ou encore Kim Kardashian, récemment privée de crypto pour une durée de 3 ans. Avec un dossier de fraude présumée cette fois estimé à 1 milliard de dollars.

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article Ronaldo et Binance : carton rouge à 1 milliard de dollars d’après ce recours collectif est apparu en premier sur Journal du Coin.

Bitcoin : une « importance stratégique nationale » pour la sécurité des États-Unis

https://journalducoin.com/bitcoin/bitcoin-importance-strategique-nationale-officier-us-space-force/

Cybersécurité et PoW. Le Bitcoin est une avancée technologique incontournable de ce début de millénaire. Malheureusement, sa force de frappe numérique est volontairement ignorée du simple fait de ses prétentions monétaires. Un statut qui lui vaut actuellement toute l’attention des gestionnaires d’actifs de la finance traditionnelle. Car après avoir fait trembler les instances de régulation, il pourrait devenir leur prochain jouet spéculatif à l’aide de véhicules financiers comme les ETF Bitcoin au comptant. Mais c’est oublier un peu vite que la raison d’être de sa blockchain est avant tout la protection des données. Pour cette raison, un officier de l’US revient sur son « importance stratégique pour la cybersécurité ».

Bitcoin : Vital pour la « position de superpuissance mondiale » des États-Unis

Quelle pourrait bien être la réaction de Satoshi Nakamoto s’il refaisait une apparition en cette fin d’année 2023 ? La question mérite d’être posée, alors que le Bitcoin se prépare à faire son entrée dans la finance traditionnelle, sous la forme d’un ETF au comptant approuvé par la SEC. Un système auquel il était pourtant initialement censé apporter une solution alternative et beaucoup moins participative.

Un constat récemment mené par un officier de la Force spatiale américaine. En effet, Jason Lowery, vient d’adresser une lettre de 4 pages au Conseil américain de l’innovation de la défense. Une structure consultative indépendante en charge de repérer les meilleurs innovation technologiques de la Silicon Valley pour les appliquer dans le cadre de l’armée américaine. Et le Bitcoin figure de toute évidence en bonne position au sommet de sa liste.

Le Bitcoin pourrait avoir une « importance stratégique nationale » pour la sécurité des États-Unis

L’intitulé même de ce courrier laisse perplexe, en particulier au regard du créateur du Bitcoin mentionné plus haut. Car selon l’officier américain, il est question d’aborder « l’importance stratégique nationale du Bitcoin ». Est-ce une reconnaissance ultime ou le nouveau (et mauvais) épisode de la dystopie appliquée à cette blockchain emblématique ? Et, le domaine d’application concerné serait sans grande surprise celui de la cybersécurité appliquée à la défense nationale des États-Unis.

« Résoudre ce problème pourrait être vital pour que les États-Unis maintiennent leur position de superpuissance mondiale et de leader parmi les nations, en particulier dans un monde de plus en plus numérique et interconnecté en proie à des vulnérabilités en matière de sécurité. »

Jason Lowery

Bitcoin : bien plus qu’un simple système monétaire

La blockchain Proof of Work (PoW) du Bitcoin pourrait donc servir à protéger la sécurité du pays émetteur de dollars. Cette simple idée va faire trembler bon nombre de maximalistes et autres pourfendeurs de billets verts. Mais l’interrogation est bien réelle.

Car, selon Jason Lowery, le Bitcoin est bien trop souvent résumé à un « système monétaire » destiné à sécuriser ses BTC. Et, cette idée présentée comme réductrice serait à l’origine d’une sous-estimation de son « importance stratégique pour la cybersécurité et, par conséquent, pour la sécurité nationale ». Car les cas d’usage de sa blockchain peuvent également s’appliquer à la protection de « toutes les formes de données, messages ou signaux de commande » numériques.

« La preuve de travail (PoW) reflète les stratégies de sécurité physique et de dissuasion utilisées dans d’autres domaines comme la terre, la mer, l’air et l’espace. »

Jason Lowery

Selon ce spécialiste du numérique de l’armée des États-Unis, le modèle de fonctionnement de la blockchain du Bitcoin pourrait être le chainon manquant de son arsenal dédié à la cybersécurité. Une course que Jason Lowery souhaite mener de toute urgence. Car il considère que le ministère de la Défense a déjà « perdu un temps précieux » dans le domaine.

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article Bitcoin : une « importance stratégique nationale » pour la sécurité des États-Unis est apparu en premier sur Journal du Coin.

Sam Bankman-Fried aurait envisagé de payer pour sa protection en détention provisoire

https://journalducoin.com/exchanges/sam-bankman-fried-aurait-envisage-de-payer-pour-sa-protection-en-detention-provisoire/

SBF inquiet pour sa sécurité. Décidément, même derrière les barreaux, le désormais légendaire Sam Bankman-Fried fait encore parler de lui. Une case prison d’autant plus difficile à tirer qu’il est tombé dedans presque tout droit depuis son penthouse de milliardaire situé aux Bahamas. Mais une place qu’il a toutefois obtenue sans grande surprise, suite à son procès fleuve en lien à la faillite dévastatrice de la plateforme FTX. Cela suite à une procédure au cours de laquelle il avait été placé en détention provisoire. Et, de toute évidence, cet épisode n’aura pas été simple pour le jeune homme, visiblement « hors de son élément ».

Sam Bankman-Fried : révélations sur son passage en détention provisoire

Alors que Sam Bankman-Fried débute ses décennies de prison, le magazine Forbes inaugure avec son visage le tout nouveau classement du mur de la honte (Hall of Shame). Une manière de faire son mea culpa, après avoir porté aux nues à plusieurs reprises ce qui était encore un jeune prodige de la finance version crypto.

Mais, depuis, les fonds des clients de la plateforme FTX ont coulé sous les ponts. Et, le jeune Sam Bankman-Fried a dû faire face à ses actes lors d’un procès suivi chaque jour en temps réel par notre équipe de rédacteurs.

Sam Bankman-Fried a passé la période de son procès en détention provisoire

Une période durant laquelle il avait été placé – et maintenu – en détention provisoire, principalement suite à sa tentative de manipuler certains des témoins clés de son procès. Et de toute évidence, cette période n’aura pas été de tout repos pour l’ex-milliardaire.

C’est en tout cas ce que semble révéler une récente interview de la blogueuse crypto Tiffany Fong. Son invité : Gene Borrello, un ancien membre de la mafia qui était en prison avec Sam Bankman-Fried.

« J’ai eu la chance d’interviewer Gene Borrello, un ancien membre de la mafia qui était en prison avec Sam Bankman-Fried. Gene me dit que SBF était sous surveillance anti-suicide, qu’on l’a extorqué et qu’il n’a pas mangé ni pris de douche pendant plusieurs jours. »

Tiffany Fong

« Nous l’avons regardé comme s’il était fou »

Au cours de son interview, Tiffany Wong a abordé différents aspects de la période de détention provisoire de Sam Bankman-Fried. Et de toute évidence, son statut était plus un calvaire qu’autre chose. En effet, les autres détenus considéraient qu’il devait avoir accès à de grosses sommes d’argent. Et autant dire que son physique, résumé au « corps d’un homme de 80 ans », ne lui permettait pas de faire face.

C’est la raison pour laquelle Sam Bankman-Fried aurait même envisagé de payer un autre détenu pour s’occuper de sa « protection ». Mais de toute évidence, c’était inutile, puisque d’autres pensionnaires de la prison auraient tenté de lui extorquer de l’argent afin d’assurer cette fonction. Des problèmes toutefois assez limités dans le temps, si l’on en croit les déclarations de Gene Borrelo. Car SBF aurait rapidement bénéficié d’un transfert dans une aile de la prison de Brooklyn réservée aux personnalités et autres collaborateurs du gouvernement.

Gene Borrelo raconte également comment Sam Bankman-Fried semblait ne pas avoir conscience de la gravité sa situation. En effet, il pensait apparemment qu’il « n’avait pas beaucoup de temps » à passer en prison. La justice en a visiblement décidé autrement.

« Nous l’avons regardé comme s’il était fou. J’ai continué à essayer de lui expliquer : tu ne reverras plus jamais l’extérieur. »

Gene Borrelo

Selon l’ex-détenu Gene Borrelo, Sam Bankman-Fried aurait souffert d’avoir été le “cas de gloire” du juge Kaplan, en charge de cette affaire. C’est-à-dire le dossier sur lequel chaque procureur souhaite se voir nommé afin d’accélérer sa carrière. Mais, cela n’enlève rien à la gravité des actes de l’ex-PDG de la plateforme FTX. Et ses clients attendent toujours de pouvoir récupérer leurs fonds, sans savoir encore dans quelle proportion.

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article Sam Bankman-Fried aurait envisagé de payer pour sa protection en détention provisoire est apparu en premier sur Journal du Coin.

DeFi et NFT : JP Morgan affirme qu’il est trop tôt pour s’enthousiasmer

https://journalducoin.com/economie/defi-nft-jpmorgan-affirme-trop-tot-enthousiasmer/

Une dynamique encourageante. Comment définir la stratégie d’analyse de la banque JP Morgan au sujet du marché des cryptomonnaies ? L’image pourrait être celle d’un banquier en train de participer à une course de voiture avec le pied bien plus souvent vissé sur le frein que sur l’accélérateur. Mais après tout, cette économie numérique manque parfois d’un bon seau d’eau froide pour calmer ses ardeurs juvéniles. Un exercice auquel aime visiblement se prêter la banque d’investissement, cette fois dans les domaines de la DeFi et des NFT. Car il ne faudrait tout de même pas trop s’enthousiasmer…

DeFi et NFT : « des signes provisoires de renaissance »

Cela n’aura échappé à personne, le marché des cryptomonnaies enregistre une tendance haussière persistante en cette fin d’année. Une dynamique à l’origine d’un retour notable de l’optimisme dans les rangs des investisseurs. D’autant plus après un bear market dont la durée aura été historique.

Car le Bitcoin se porte mieux. Et comme à chaque fois, avec lui, l’ensemble des secteurs de l’écosystème des cryptomonnaies, dont certains sont en PLS depuis des mois comme la DeFi ou les NFT. Et c’est tout particulièrement ces deux derniers que les analystes de JP Morgan viennent d’épingler dans un rapport mené par Nikolaos Panigirtzoglou.

JP Morgan publie un rapport sur les secteurs de la DeFi et des NFT

En effet, les analystes de JP Morgan identifient ce retour en tendance haussière comme une conséquence collatérale de l’approbation en attente des ETF Bitcoin au comptant. Toutefois, ils semblent n’y voir « que des signes provisoires de renaissance ». D’autant plus si l’on considère que « Ethereum ne semble pas en avoir beaucoup bénéficié ».

« Bien que nous ne doutions pas que cette récente reprise de l’activité DeFi / NFT soit un signe positif, nous pensons qu’il est trop tôt pour s’enthousiasmer à son sujet. »

JP Morgan

Une dynamique considérée comme « encourageante »

En ce qui concerne plus précisément la DeFi, les analystes de JP Morgan envisagent le retour de l’intérêt des investisseurs comme antérieur au dossier des ETF Bitcoin au comptant. En effet, sa récupération est considérée comme « naturelle » au regard de la baisse enregistrée au cours du dernier marché baissier. Avec, notamment, une hausse significative de l’activité de trading enregistrée par les plateformes décentralisées (DEX).

Mais le principal moteur de cette dynamique haussière repose sur des acteurs comme le protocole Lido Finance et ses 19,6 milliards de dollars déposés en staking, selon les données du site DefiLlama. Ou encore l’émergence de réseaux populaires, comme Aptos, Sui, Sei, ou encore Celestia. Et dans le domaine des NFT, une plateforme Blur dont l’impact positif reste tout à fait discutable.

Quoi qu’il en soit, ces nouveaux acteurs émergents participent à ce qui est tout de même identifié comme une dynamique « encourageante ». En particulier si l’on considère les performances peu reluisantes d’Ethereum au regard d’autres cryptomonnaies plus petites, dont « le prix a plus augmenté que l’éther au cours des derniers mois ».

Les analystes de la banque JP Morgan ne remettent pas en question la tendance haussière actuelle sur le marché des cryptomonnaies. Toutefois, la prudence est encore une fois mise en avant face à un possible bull run du Bitcoin à venir. Et ce doute devrait très certainement persister au minimum jusqu’à l’approbation effective des ETF Bitcoin au comptant.

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article DeFi et NFT : JP Morgan affirme qu’il est trop tôt pour s’enthousiasmer est apparu en premier sur Journal du Coin.

La crypto-banque Suisse SEBA change de nom pour « Amina BANK »

https://journalducoin.com/actualites/crypto-banque-suisse-seba-change-nom-amina-bank/

Nouveau chapitre. Le secteur bancaire opère depuis quelque temps un rapprochement stratégique avec le secteur des cryptomonnaies. Une déviation plus imposée que réellement volontaire, sous la pression de riches clients désireux de participer à la fête des rendements crypto. Pourtant, certains acteurs s’inscrivent dans cette dynamique de façon bien plus volontaire et anticipé. C’est le cas de la crypto-banque Suisse Seba, implantée dans le célèbre hub du Canton de Zoug. Et afin d’accompagner son ambition de « définir l’avenir de la finance », elle vient d’annoncer un changement de nom pour « Amina ».

Un nouveau nom pour une « même ambition pionnière »

La crypto-banque Seba apparaît comme un acteur désormais incontournable, développé en parallèle du secteur des cryptomonnaies. Une success story pilotée depuis la Suisse, avec l’obtention d’une licence officielle de la FINMA en 2019. À cette époque, un évènement présenté comme une « première mondiale » dans le domaine.

La banque Seba – devenue Amina – opère initialement depuis la Canton de Zoug, en Suisse

Depuis cette étape clé, Seba enchaîne les succès. Avec un développement rapidement opéré au delà des frontières de la Suisse afin de servir ses ambitions internationales. Car l’objectif annoncé est de s’inscrire aux avant-postes d’une réglementation du secteur crypto définie comme le point de départ de sa réelle adoption massive.

Une dynamique au centre du développement de cette banque dévouée aux cryptomonnaies. Car comme l’explique son PDG, Franz Bergmueller, le but est d’opérer « en tant que banque crypto réglementée en Suisse offrant des services à ses clients traditionnels et avertis en crypto dans le monde entier ». Et cela ne se fera visiblement pas sous le nom de Seba.

Seba Bank devient Amina Bank

En effet, la désormais ex-Seba Bank vient d’annoncer son rebranding afin de devenir la société Amina Bang AG. Une opération pour le moment limitée à la Suisse. Mais, comme le précise le communiqué officiel, « la succursale d’Abu Dhabi ainsi que la filiale de Hong Kong et de Singapour demanderont ensuite un changement de nom afin de s’aligner sur le siège social de Zoug ».

« Notre marque symbolise une nouvelle ère dans la croissance et la stratégie de l’entreprise ; nous sommes un acteur clé de la crypto-banque et sommes là pour définir l’avenir de la finance. Grâce à notre approche centrée sur le client et à nos années d’expérience dans la finance traditionnelle et crypto, nous offrons aux investisseurs une plate-forme leur permettant de créer de la richesse en toute sécurité et dans le respect des normes réglementaires les plus élevées. »

Franz Bergmueller, PDG d’Amina

Un terme « Amina » présenté comme issu du mot « transAMINation » qui donne une petite idée de la séance de brainstorming pour arriver jusque-là. Car sa définition fait état du transfert d’un composé à un autre. De ce fait, « Amina est une marque animée par un changement perpétuel, réunissant les différents « composés » des services bancaires traditionnels, numériques et cryptos pour libérer de nouveaux potentiels de croissance pour nos clients ». Belle démonstration…

La crypto-banque Seba devient donc Amina. Un changement de nom qui n’aura bien évidemment aucune incidence sur les opérations de ses clients. Avec la perspective de devenir un acteur central de l’adoption en cours des cryptomonnaies au niveau mondial. La poursuite d’une success story ?

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article La crypto-banque Suisse SEBA change de nom pour « Amina BANK » est apparu en premier sur Journal du Coin.

Celestia : la cryptomonnaie TIA est disponible sur les plateformes Bitget et KuCoin

https://journalducoin.com/exchanges/celestia-jeton-tia-disponible-plateformes-bitget-kucoin/

Listing Celestia. Les aléas du marché des cryptomonnaies n’empêchent pas l’innovation de se frayer un chemin au sein de cette économie numérique. Et dans le domaine de son infrastructure, l’ambition reste de résoudre le problème de l’emblématique trilemme de la blockchain. C’est-à-dire un juste rapport entre sécurité, scalabilité et décentralisation. Un objectif à l’origine de la mise en place du réseau à vocation « modulaire » Celestia. Un écosystème pour lequel un outil de monétisation à portée communautaire a récemment vu le jour sous la forme de la cryptomonnaie TIA, récemment listée sur les plateformes Bitget et KuCoin.

Bitget : TIA s’impose dans la zone d’Innovation

La blockchain Celestia est encore un tout jeune acteur de l’écosystème des cryptomonnaies. Un réseau officiellement lancé le 31 octobre dernier, afin d’apporter une toute nouvelle architecture à ce secteur en constante évolution. Le tout sur un modèle innovant dont l’objectif est de séparer le mécanisme de consensus et la couche d’execution, selon le concept « modulaire » de disponibilité des données (data availability).

Un réseau auquel a rapidement été associée la cryptomonnaie TIA. Cette dernière ajoutée presque aussitôt après son lancement à la Zone d’Innovation de la plateforme Bitget. Et le succès à immédiatement été au rendez-vous. En effet, elle a rapidement figuré dans le top 5 des projets les plus rentables. Avec un gain de +131,43 % sur la seule semaine du 7 au 13 novembre dernier. Et une hausse de plus de +200 % depuis son airdrop de la fin septembre de cette année.

Cours de la cryptomonnaie TIA de la blockchain Celestia – Source : CoinGecko

« Celestia (TIA) est le premier réseau blockchain modulaire qui permet à chacun de déployer facilement sa propre blockchain avec un minimum de frais généraux. »

Bitget

KuCoin annonce Celestia en « première mondiale »

Mais l’arrivée de la cryptomonnaie TIA sur les exchanges ne s’arrête pas à la seule plateforme Bitget. En effet, la plateforme spécialisée dans les jeunes projets prometteurs, KuCoin, a également fait le paris de Celestia. Un projet présenté comme destiné à « repenser l’architecture blockchain de fond en comble ». Tout un programme !

La cryptomonnaie TIA de Celestia est disponible sur la plateforme KuCoin

« Celestia n’impose aucune contrainte d’exécution ou de règlement. Les développeurs sont libres de définir leurs propres environnements. Cela ouvre de nouvelles possibilités non réalisées pour les constructeurs et les développeurs. »

KuCoin

De toute évidence, le déploiement en cours du réseau Celestia ne passe pas inaperçu. Et sa toute jeune cryptomonnaie TIA pourrait bien devenir l’une des prochaines small caps à surveiller de près, avec une valorisation pour le moment estimée à 924,6 millions de dollars. D’autant plus aux portes d’un retour possible en véritable marché haussier.

Le wallet Bitget n’est qu’une des facettes de l’exchange. Bitget c’est aussi du trading spot, et de très nombreuses fonctionnalités pour tous les types de profils. Soutenez le travail du JdC en cliquant sur ce lien

Lien commercial

L’article Celestia : la cryptomonnaie TIA est disponible sur les plateformes Bitget et KuCoin est apparu en premier sur Journal du Coin.

ETF Bitcoin au comptant vs Gary Gensler : Un homme politique déguisé en régulateur

https://journalducoin.com/bitcoin/etf-bitcoin-comptant-vs-gary-gensler-homme-politique-deguise-regulateur/

Un animal politique. La fin d’année approche à grands pas, et avec elle la perpective d’une approbation des ETF Bitcoin au comptant désormais à envisager pour 2024. Une attente interminable pour le marché des cryptomonnaies, divisé entre une impression d’adoption et/ou de récupération. Car certaines cartes posées récemment dans cette partie dorénavant (grande) ouverte à la finance traditionnelle laissent envisager un changement de paradigme en cours. Une trajectoire sur laquelle le principal obstacle est identifié comme Gary Gensler, actuel président de la SEC. Son arme de prédilection ? Sans commentaire…

Gary Gensler : Le bilan le plus lent depuis des décennies

Gary Gensler n’a apparemment pas le temps d’aborder le dossier de plus en plus troublant des ETF Bitcoin au comptant. Pourtant, ce ne sont pas les tribunes qui manquent à cet « homme politique se faisant passer pour un régulateur ».

Une présentation effectuée par le magazine Fortune, dans un récent profil détaillé de l’intéressé publié hier. Et, ce constat pourrait expliquer à lui seul de nombreux dysfonctionnements réglementaires actuels.

« La finalisation des règles est devenue un casse-tête pour Gensler. Selon la Securities Industry and Financial Markets Association, Gensler a publié respectivement 62 % et 91  % de propositions de règles en plus que ses deux derniers prédécesseurs au cours de ses 30 premiers mois de mandat. (…) En août, Bloomberg a rapporté que le bilan de Gensler en matière d’adoption de ses règles était le plus lent depuis des décennies. »

Fortune

Gary Gensler s’impose comme le principal obstacle aux ETF Bitcoin au comptant

Car dans le même temps, Gary Gensler se prêtait au jeu de l’interview lors d’une conférence donnée par la Healthy Markets Association. Une discussion au cours de laquelle le sujet des ETF Bitcoin au comptant a bien évidemment été abordée. Cela afin de ne plus avoir comme seul fil directeur des analyses opérées à l’aveugle sur le moindre mouvement suspect de la SEC dans le domaine.

Mais c’était espérer un peu trop de la part de cet animal politique dont la seule véritable cible semble être « de devenir secrétaire au Trésor depuis l’administration Obama ».

Gary Gensler ne « préjugera » pas de l’avancée des ETF Bitcoin au comptant

En effet, Gary Gensler a seulement expliqué qu’il ne « préjugerait » pas des résultats à venir dans le dossier des ETF Bitcoin au comptant. Car il explique que la Securities and Exchange Commission (SEC) opère ses examens à l’aide d’un « processus éprouvé ». Une douce ironie au regard de la lenteur de son bilan abordé plus haut pas le magazine Fortune.

Mais finalement peu importe. Car Gary Gensler semble bien décidé à conserver la direction qu’il s’impose depuis son arrivée au poste de président de la SEC. Un exercice qui consiste à condamner la supposée fraude persistante du secteur des cryptomonnaies sans jamais lui offrir de clarté réglementaire. Avec cette façon de « trainer les pieds » qui exaspère le fondateur de la plateforme Coinbase depuis de nombreux mois.

« C’est un domaine qui regorge de mauvais acteurs et de fraude, de manipulation et de blanchiment d’argent. »

Gary Gensler

Le détestable Gary Gensler serait-il en train de privilégier sa carrière politique au détriment d’une réglementation du secteur des cryptomonnaies que même ses acteurs historiques réclament de toutes parts. Peut-être prépare-t-il plus activement son accession professionnelle. Cela à l’aide d’une invasion de l’argent sur le marché du Bitcoin annoncée par l’ancien président de la bourse de New York, fraichement débarqué dans cet écosystème. Le contexte actuel permet toutes les hypothèses… 

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article ETF Bitcoin au comptant vs Gary Gensler : Un homme politique déguisé en régulateur est apparu en premier sur Journal du Coin.

Les acteurs crypto à la une de Forbes, SBF inaugure le mur de la honte

https://journalducoin.com/actualites/forbes-classement-30-under-30-finance-mur-honte/

Forbes of Shame. Cet article pourrait débuter par une citation du journaliste québécois Jean Dion. “On oublie, dans le classement des grands événements ayant marqué le millénaire, d’inclure la vogue des classements.” Et autant dire que dans le cas présent, cela s’applique parfaitement au Hall of Fame dressé chaque année par le média Forbes. Un classement des 30 personnalités de moins de 30 ans – 30 Under 30 – présentées comme des leaders financiers en devenir. Le problème ? Un prometteur Sam Bankman-Fried apparaissait pour la première fois en tête de cette liste dans sa version de 2021. C’est la raison pour laquelle une sorte de mea culpa vient d’être opéré sous la forme d’un classement de la honte (Hall of Shame). Mais peut-être que trop de classement finit par simplement tuer le classement…

14 acteurs crypto dans le classement « 30 Under 30 » de Forbes

Le média Forbes est connu pour ses classements à répétition des personnes les plus riches ou influentes du monde, toutes activités confondues. Une opération également réalisée sous une forme tout spécialement appliquée aux plus jeunes d’entre eux, avec comme limite imposée la barre des 30 ans. Et dans le cas du secteur crypto, c’est du côté des leaders financiers que les choses se passent.

En effet, de plus en plus de milliardaires contemporains proviennent du secteur crypto. Et si l’on se concentre uniquement sur cette économie numérique en devenir, Changpeng Zhao (CZ) s’imposait encore l’année dernière en première place du podium avec une fortune estimée à 65 milliards de dollars. Cela juste devant le célèbre – et désormais conspué – Sam Bankman-Fried et ses 24 milliards de dollars, dont on se demande désormais quelle proportion appartenait en fait aux clients de la plateforme FTX. Mais qu’en est-il des jeunes les plus prometteurs ?

Forbes publie son classement des « 30 Under 30 » de la finance

Car les choses changent très rapidement dans le secteur. Et c’est cette année le cofondateur de Chipper Cash, Ham Serunjogi, qui arrive en tête du classement des « 30 Under 30 » pour les professionnels de la finance en Amérique du Nord. Une société qui compte plus de 5 millions de clients sur sa plateforme d’échange de cryptomonnaies et de paiements implantée dans 7 pays du monde, dont l’Afrique du Sud, le Royaume-Uni et les États-Unis.

Et autant dire que les acteurs crypto sont surreprésentés. Car 14 des places de ce classement sont occupées par des personnalités en lien à la blockchain ou aux cryptomonnaies. Comme par exemple Hayden Adams (#2), fondateur de la plateforme Uniswap (UNI). Ou encore Eva Beylin (#5), directrice de la Graph Foundation en lien au protocole blockchain The Graph (GRT).

Le classement de la honte ou la honte du classement

Toutefois, le procès rocambolesque de Sam Bankman-Fried pourrait bien avoir bouleversé le déroulé jusque là sans (trop) d’accrocs de cet exercice. En effet, le média Forbes inaugure cette année une nouvelle formule intitulée le classement de la honte (Hall of Shame).

Dans le même temps, certains s’amusent sur le réseau X du classement « 30 Under 30 », désormais envisagé comme une liste des escrocs les plus importants livrée directement aux services de répression financière.

Le classement de la honte ou la honte du classement
Sam Bankman-Fried apparait en tête du classement Hall of Shame – Source : Forbes

Une liste de la honte qui permet une nouvelle fois à Sam Bankman-Fried de se retrouver en première position d’un classement du média Forbes. Pourtant, il figurait encore en bonne place l’année dernière dans la liste des « 30 Under 30 » de la finance, aux côtés de Caroline Ellison et Sam Trabucco.

« De nombreux anciens élèves de moins de 30 ans sont devenus des géants de la technologie, des PDG et même des milliardaires. Quelques-uns se sont révélés être des ratés, ou bien pires. »

Forbes

L’ex-PDG de FTX Sam Bankman-Fried est donc présenté comme le plus grosse honte du secteur financier pour l’année 2023. Un fardeau que devra porter le secteur des cryptomonnaies. Mais cela ne l’empêche visiblement pas de poursuivre des activités de trading – un peu différentes – depuis sa cellule de prison. L’occasion de réaliser un nouveau classement Hall of Jail ?

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article Les acteurs crypto à la une de Forbes, SBF inaugure le mur de la honte est apparu en premier sur Journal du Coin.

Binance pris en flagrant délit de défaut de licence aux Philippines

https://journalducoin.com/exchanges/binance-flagrant-delit-defaut-licence-philippines/

Binance repetita. Cela pourrait presque être drôle, si les conséquences n’étaient pas aussi problématiques. Car de toute évidence, la plateforme Binance aime s’exercer au comique de répétition dès qu’il s’agit de respecter la réglementation. Un jeu désormais sanctionné au plus haut niveau par la justice des États-Unis, à l’aide d’une amende record de 4,3 milliards de dollars. Et cela sans aucune suspension de la traque acharnée des fraudes – pour le moment supposées – opérées par sa filiale Binance.US. Un coup dur pour le leader fragilisé des exchanges crypto. Mais la liste pourrait bien encore s’allonger. Avec, par exemple, un récent rappel à l’orde de la Securities and Exchange Commission (SEC) des Philippines.

Binance opère sans licence aux philippines

La plateforme Binance serait-elle sur une pente glissante ? Ou l’accord de 4,3 milliards de dollars passé avec la justice des États-Unis aurait-il réveillé les exigences réglementaires d’autres parties du globe ? Le mystère restera entier, alors que la Securities and Exchange Commission (SEC) des Philippines s’attaque à son tour au géant de la crypto.

En cause, une activité opérée par le leader des plateformes d’échange de cryptomonnaies sans avoir en sa possession la licence locale nécessaire. C’est en tout cas ce que semble révéler le document publié hier par l’instance de régulation. Et c’est avec un peu trop de majuscules que cette dernière signale que « l’opérateur de la plateforme BINANCE n’est PAS ENREGISTRÉ en tant que société aux Philippines et FONCTIONNE SANS LA LICENCE ET/OU L’AUTORITÉ NÉCESSAIRE ».

La SEC des Philippines reproche à Binance d’opérer sans les licences nécessaires

Une absence de licence qui concerne la vente ou l’offre de « toute forme de titres ». Mais également, « l’activité d’achat ou de vente de titres en tant que courtier ou négociant », ainsi que la simple création et l’exploitation d’une bourse. Fin de l’exposé.

Binance plaide la bonne volonté de sa nouvelle direction

Bien évidemment, la plateforme Binance reconnaît les faits reprochés. Mais elle signale aux instances des Philippines la bonne volonté de sa « nouvelle direction ». Faut-il entendre par là que le départ précipité – et quelque peu poussé – de Changpeng Zhao (CZ) est déjà un point présenté comme positif par ses ex-employés ? Le changement de cap est engagé. D’autant plus que dans le même temps, son responsable local, Kenneth Stern, aurait également bouclé ses valises.

« Nous reconnaissons et respectons la déclaration faite par la Securities and Exchange Commission (SEC) des Philippines. Chez Binance, nous nous engageons à nous aligner sur les réglementations locales applicables. Sous notre nouvelle direction, nous avons pris des mesures proactives pour répondre aux préoccupations de la SEC. »

Porte-parole de Binance

La politique présentée comme proactive de la nouvelle direction de Binance saura-t-elle faire la différence face aux nombreux dossiers réglementaires en attente ? Il semble que la volonté affichée soit de répondre par l’affirmative, au moins du côté de l’exchange. Mais la véritable question est de voir comment les instances de régulation vont accueillir cette nouvelle dynamique.

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article Binance pris en flagrant délit de défaut de licence aux Philippines est apparu en premier sur Journal du Coin.

Euro numérique : la MNBC de la discorde ?

https://journalducoin.com/economie/euro-numerique-mnbc-discorde/

Euro dystopique ? De toute évidence, la mise en place des monnaies numériques de banques centrales (MNBC) ne se mène pas de la même manière partout dans le monde. Un exercice au sujet duquel l’Union européenne semble plus proche de la crise de nerf. En effet, les différents acteurs impliqués dans cette aventure se retrouvent empêtrés dans des considérations multiples et (a)variées. La dernière en date concerne la quantité maximale – pour le moment fixée entre 500 et 3 000 e-EUR – que pourrait posséder un particulier. Un simple exemple parmi tellement d’autres. Car de toute évidence, la dernière audience publique organisée sur le sujet a souligné plus de désaccords que de points positifs.

Euro numérique : la BCE avance, les banques reculent

Le sujet est délicat. Et, si l’on se tourne vers l’avance phénoménale de la Chine imposée au niveau mondial par son yuan numérique (e-CNY), les hésitations européennes paraissent ne pas être une si mauvaise chose. De toute manière, ce sont actuellement les désaccords qui semblent ponctuer cette ambition numérique « de détail » toujours à l’état de balbutiements.

Un dossier fortement poussé par la Banque centrale européenne (BCE) et sa représentante légale, Christine Lagarde. Car après une phase d’enquête menée lors des deux dernières années, la voie semble toute tracée vers la mise en place de cette MNBC made in Europe. C’était toutefois sans compter sur la dernière audience publique organisée sur le sujet en ce début de semaine.

L’Euro numérique est encore loin de faire l’unanimité

En effet, cette opération s’est visiblement révélée plus chaotique que prévu. Avec un secteur bancaire peu enthousiaste de voir une déréglementation possible de ses pouvoirs monétaires actuels. Et, des experts interrogés dont les avis ont divergé sur presque toutes les questions soulevées. Par exemple, la limitation de détention imposée aux particuliers, que la directrice exécutive de Positive Money Europe n’a pas manqué d’aborder :

« Nous n’avons aucun intérêt à voir le système bancaire s’effondrer. Mais nous pensons qu’une limite de détention temporaire, progressivement levée grâce à des tests de résistance et à des recherches, est la bonne voie à suivre. »

Vicky Van Eyck, directrice exécutive de Positive Money Europe

Le vice-président de la BCE rassure les banques

Un sujet abordé aujourd’hui même lors d’un entretien accordé par Luis de Guindos, vice-président de la Banque centrale européenne… sur le site même de la BCE. Et bien évidemment, le dossier décidément persistant de l’euro numérique a fait partie des actualités abordées.

Car quelle pourrait bien être l’utilité – et les risques – de cette « monnaie publique » créée pour « servir à payer ses courses, sa note de restaurant ou toute sorte de dépenses » ?

« Il y aura une limite sur les montants afin notamment de ne pas mettre en danger la stabilité du système bancaire. Cela veut dire que l’euro numérique ne va pas entrer en compétition avec les comptes courants. C’est un message très clair que nous voulons envoyer au secteur bancaire. »

Luis de Guindos

e-EUR : disparition du cash et version « hors ligne »

Mais la principale préoccupation opposée à l’euro numérique est une disparition programmée du cash. Une inquiétude présentée comme un simple « mythe » par l’économiste italien Ignazio Angeloni. Ce dernier ajoutant néanmoins qu’une « forme invasive d’intervention publique comme celle-ci ne serait justifiée que si des preuves claires d’un dysfonctionnement du système actuel émergeaient ». Et selon lui, rien ne permet d’arriver à cette conclusion pour le moment.

e-EUR : disparition du cash et version « hors ligne »
L’Euro numérique entrera-t-il en conflit avec la détention de cash ?

Enfin vient la question cruciale de la confidentialité. Car le risque d’une monnaie numérique centralisée repose principalement sur son fort potentiel de traçabilité. Il suffit de voir comment le stablecoin USDT excelle à cet exercice de gel sur commande. Un risque qui pourrait toutefois être écarté par ce que Vicky Van Eyck présente comme une version « hors ligne » bien plus proche de l’argent liquide.

« La version hors ligne de l’euro numérique est cruciale car elle est aujourd’hui la plus à même d’imiter la nature anonyme de l’argent liquide. La conception et le choix de la technologie pour la version hors ligne doivent être soigneusement choisis… »

Vicky Van Eyck

Autant de discussions animées qui démontrent la complexité à laquelle s’oppose la mise en place effective d’un euro numérique. En particulier, si l’on considère les déclarations d’instances comme le FMI, visiblement bien décidé à remplacer le cash par ces monnaies numériques de banques centrales (MNBC). Une affaire à suivre de près…

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article Euro numérique : la MNBC de la discorde ? est apparu en premier sur Journal du Coin.

Globees : the launchpad to bee

https://journalducoin.com/?p=650857

Les Globeetrotters du Web 3. L’écosystème numérique construit autour des cryptomonnaies réinvente actuellement les paramètres économiques et financiers du monde moderne. Un nouveau paradigme basé sur une vision communautaire, elle-même portée par un modèle de monétisation dynamique. En effet, les simples utilisateurs d’aujourd’hui doivent se préparer à devenir les acteurs économiques des projets de demain. Un changement de cap qui prend de nombreuses formes innovantes, comme le projet Globees et sa plateforme Airbnb version Web 3. Et afin de participer à cette aventure, ne ratez par l’opération de launchpad du jeton BEE prévue pour début décembre.

Globees réinvente la location saisonnière

Le terme « Web 3 » est actuellement sur toutes les lèvres. Avec des promesses encore difficiles à déterminer, même s’il est bien souvent question de décentralisation et de cryptomonnaies. Toutefois, ce changement de paradigme promis s’adresse encore à une niche d’investisseurs situés aux avant-postes. Une réalité qui ne doit pas écarter de ce chemin vers l’innovation les nombreux utilisateurs potentiels de cette nouvelle version d’Internet en pleine construction.

Un état des lieux dressé par le projet Globees. Une plateforme nouvelle génération destinée à devenir un sérieux concurrent du leader Airbnb. En effet, il est question de proposer un outil destiné aux locations saisonnières construit sur la blockchain multiversX.

Avec comme cible visée, toutes les personnes qui partent en vacances. C’est-à-dire sans aucune limitation aux seuls amateurs d’actifs numériques bien souvent rassemblés dans une niche Web 3 encore bien éloignée de l’adoption de masse tant attendue.

Globees, la plateforme Web 3 de la location saisonnière

C’est la raison pour laquelle la plateforme Globees envisage son développement sous la forme plus réaliste d’un produit Web 2 avec une surcouche Web 3. Cela afin de s’inscrire au plus près de ce qui n’est encore qu’une transition en cours. 

Avec l’ambition de s’imposer comme un acteur de poids dans un marché de la location saisonnière estimé à plus de 80 milliards de dollars. Le tout avec des atouts nouvelle génération, comme l’émission de NFT afin de récompenser ses Beesers … ou tout simplement d’accéder à sa location.

« Globees est le premier projet blockchain à proposer un jeton numérique ayant une utilité réelle dans l’écosystème de l’immobilier locatif saisonnier tout en apportant son engagement dans la transition énergétique. »

Globees

Globees : connecter le Web 3 avec le monde réel

Dans le même temps, le marché des cryptomonnaies enregistre un retour notable en tendance haussière. Une dynamique apparemment solide au centre de laquelle se trouvent les Real World Assets (RWA). Ces versions tokenisées des actifs et titres financiers en train de bouleverser les frontières de la finance traditionnelle. Et selon certains spécialistes, cette nouvelle tendance pourrait bien représenter un élément majeur du nouveau cycle crypto à ne pas manquer !

Un principe au centre même du développement du projet Globees. Car l’objectif est de connecter le Web 3 avec le monde réel. Et afin d’y parvenir, le jeton BEE se présente comme le meilleur moyen de monétiser cette dynamique innovante.

Cela au sein d’un marché des cryptomonnaies en quête de low cap sur lesquelles investir avant une nouvelle explosion vers des sommets que tout le monde espère inexplorés. Et autant dire que le principe de burn associé à sa tokenomics à tout d’une très bonne nouvelle.

Globees : connecter le Web 3 avec le monde réel
Modèle de fonctionnement de Globees et inscription du jeton BEE

« L’écosystème Globees a été conçu avec une série de mécanismes de burn afin d’augmenter la valeur du jeton BEE sur le long terme. Plusieurs mécanismes seront mis en place afin de permettre de brûler plus de tokens qu’il n’en sera créé. »

Globees

Car l’ancrage Web 2 du projet Globees ne l’empêche pas d’embrasser l’intégralité des fonctionnalités du Web 3. Cela afin de s’adresser à tous les amateurs de locations saisonnières, sans pour autant oublier d’inscrire les plus ambitieux dans cette nouvelle tendance. 

Une participation qui a déjà connu plusieurs rounds de ventes privées. Il est maintenant temps de passer à l’incontournable opération de launchpad inscrite au Q4 2023 de sa roadmap.

Launchpad du jeton BEE

En effet, cette fin d’année s’annonce comme une étape d’envergure pour la ruche du projet Globees. Car à partir du 4 décembre prochain, son jeton BEE sera libéré sur les marchés décentralisés à l’aide de plusieurs opérations simultanées de launchpad. Avec un listing officiel prévu pour le 7 septembre et plusieurs adresses distinctes afin de participer à cette aventure. 

Launchpad du jeton natif BEE qui soutient l'économie du projet Globees déployé sur MultiversX
La plateforme BHero participe au launchpad du jeton BEE de Globees

Attention toutefois, car cette procédure nécessite de prendre son élan. Comme par exemple dans le cas de la plateforme BHero auprès de laquelle il est nécessaire de compléter un KYC avant le 2 décembre prochain. Avec seulement 50 000 $ de BEE disponibles, au prix initial de 0,0625$ l’unité, il n’y en aura surement pas pour tout le monde.

Mais d’autres options existent, comme le lancement également prévu en parallèle sur la plateforme de Bitmart, ou encore sur la dApp de Globees avec ici seulement 20 000 $ de BEE disponibles au même prix que sur le launchpad de BHero toujours avec le même principe de FCFS (Premier arrivée, premier servi). 

Avec le lancement programmé de son jeton BEE, le projet Globees se prépare à faire son entrée officielle dans l’économie du Web 3. Une avancée à ne pas manquer pour les amateurs de low cap, en particulier aux portes d’un nouveau cycle haussier dans le secteur des cryptomonnaies. Car les meilleures places de la ruche sont limitées.

L’article Globees : the launchpad to bee est apparu en premier sur Journal du Coin.

ETF Bitcoin au comptant : la SEC donnera-t-elle son approbation en janvier 2024 ?

https://journalducoin.com/bitcoin/etf-bitcoin-comptant-sec-donnera-approbation-janvier-2024/

Ils finiront bien par avoir raison. Il a deux types de procédures d’anticipations possibles. Celle qui consiste à tenter de tordre la réalité afin de la faire entrer dans le projet qu’on a pour elle (ou pour soi). Et la technique plus complexe qui consiste à traiter les données en toute objectivité. Cela afin de déterminer le scénario le plus probable, même si ce n’est pas le meilleur. Un exercice mené en temps réel au sujet de la prochaine – mais encore toute relative – approbation des ETF Bitcoin spot par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Chaque mouvement de l’instance de régulation est analysé à la loupe. Et de toute évidence, elle était jusque-là un peu trop grossissante. Mais pas d’inquiétude à avoir. Car la résolution groupée de ce dossier brulant est désormais estimée pour le mois de janvier.

ETF Bitcoin spot : invasion de l’argent vs sell the news

Il n’y a qu’une seule véritable certitude dans le dossier en attente des ETF Bitcoin spot. Leur approbation par la SEC va radicalement changer le visage du marché des cryptomonnaies. Et ce n’est pas l’ancien président de la bourse de New York (NYSE), Tom Farley, qui va dire le contraire du haut de son tout nouveau siège de patron du média crypto Coindesk. En effet, il voit le vent tourner pour le BTC. Avec la promesse d’une invasion de l’argent dont on se demande dans quelle procédure d’anticipation, elle se trouve.

Car finalement, cette approbation tant (trop) attendue ne serait-elle pas plutôt le point de départ d’une dynamique inverse. Avec une récente hausse du Bitcoin jusque-là maintenue presque essentiellement par une stratégie de type sell the news. Et la fameuse news n’arrive jamais, malgré les espoirs répétés des analystes… Un scénario – au moins sur le court terme – qui ne doit pas être trop rapidement écarté par les investisseurs.

ETF Bitcoin spot : les analystes anticipent une approbation imminente depuis des mois

De toute manière, il va falloir encore patienter. C’est en tout cas le dernier cas de figure envisagé suite à des mouvements considérés comme suspects du côté de la SEC. Car c’est bien connu, l’instance de régulation aime trainer les pieds dés qu’il s’agit des cryptomonnaies. Mais, alors, pourquoi avoir anticipé le report des ETF Franklin Templeton et Hashdex avant la date légale imposée ?

ETF Bitcoin : une approbation avant le 10 janvier

C’est donc dans un contexte réglementaire incertain que la SEC vient troubler encore un peu plus les investisseurs qu’elle est censée protéger. Car comme l’explique sur le réseau X le spécialiste des ETF pour le média Bloomberg, James Seyffart, le report opéré par l’instance de régulation intervient 34 jours avant la date limite imposée. Cette dernière initialement fixée au 1er janvier 2024.

ETF Bitcoin : une approbation avant le 10 janvier
Calendrier d’approbation des ETF Bitcoin spot – Source : James Seyffart

Il n’en fallait pas plus. Car de ce simple décalage de calendrier – certes suspect – l’analyste extirpe une décision « pratiquement probable » de la SEC au sujet d’une approbation « potentielle » avant le 10 janvier prochain. Pourquoi ? Car dorénavant cette date correspond à la prochaine deadline imposée dans le dossier de l’ETF ARK 21 Shares (ARKB).

« Ce retard sur Hashdex me confirme pratiquement qu’il s’agissait probablement d’une décision visant à aligner tous les candidats pour une approbation potentielle avant la date limite du 10 janvier 2024. »

James Seyffart

La SEC a toujours été très clair sur le sujet. Elle ne souhaite pas favoriser un acteur particulier en lui offrant une approbation anticipée de son ETF par rapport à ses concurrents. C’est la raison pour laquelle sa décision est désormais envisagée comme groupée, afin de lâcher la bête au même moment pour tout le monde. Et le prochain rendez-vous est donc fixé à début janvier… ou pas !

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. Une très large gamme de produits adaptés à tous les usages, du simple amateur au plus professionnel. En cliquant sur ce lien, protegez vos actifs numériques et soutenez le travail du JdC

Lien commercial

L’article ETF Bitcoin au comptant : la SEC donnera-t-elle son approbation en janvier 2024 ? est apparu en premier sur Journal du Coin.

MNBC en Chine : Standard Chartered China se met au yuan numérique (e-CNY)

https://journalducoin.com/economie/standard-chartered-china-yuan-numerique/

To the yuan. Dans la course très inégale des monnaies numériques de Banques centrales (MNBC), la Chine fait indéniablement figure de leader. Une avance que l’on peut associer sans trop de risques à sa capacité à ignorer les questions de respect de la vie privée. Mais, cela n’empêche pas le e-CNY de marcher désormais sur les plate-bandes du roi dollar. En effet, la Chine a utilisé son yuan numérique pour régler une transaction internationale de pétrole brut. Un tremblement de terre dans le paysage financier mondial. Au point de faire venir à lui des acteurs bancaires de renom comme Standard Chartered

e-CNY : le leader contesté des MNBC

Le e-CNY impose son évolution en cours sur le secteur mondial encore hésitant des monnaies numériques de banques centrales (MNBC, ou CBDC en anglais). Un parcours dont la dernière initiative locale concerne une zone d’activité entièrement dédiée à ce yuan numérique. Mais les ambitions de Pekin ne s’arrête clairement pas aux frontières de l’Empire du milieu.

Car la Chine fait partie intégrante du bloc des BRICS. Ce regroupement de pays dont la vocation principale est de remettre en question l’hégémonie du dollar imposée au reste du monde. Et pourquoi pas au profit de son yuan numérique ? La question fait trembler jusque dans les rangs du gouvernement des États-Unis.

e-CNY : prochain dollar ou dystopie monétaire de la Chine ?

Le développement du e-CNY semble désormais impossible à arrêter. Avec des acteurs bancaires emblématiques comme BNP Paribas en train d’ouvrir leurs portes à cette excroissance monétaire numérique made in China. Et d’autres semblent arriver dans cette course.

>> Vous ne faites pas confiance aux plateformes pour garder vos cryptos ? Ledger a la solution (lien commercial) <<

Standard Chartered s’ouvre au yuan numérique

L’économie mondiale serait-elle en train de changer de visage ? Le scénario semble plausible alors que la Réserve fédérale des États-Unis affiche 100 milliards de dollars de pertes en 2023. Un contexte macroéconomique qui oblige certains acteurs bancaires à s’inscrire dans ce que Standard Chartered identifie comme les « perspectives de développement du renminbi numérique ».

En effet, cette « banque internationale ancrée sur le marché chinois depuis 165 ans » voit dans le e-CNY un « potentiel de scénarios d’application » en développement permanent. C’est la raison pour laquelle elle vient d’annoncer la mise en place de services d’échange en lien au yuan numérique.

« Nous sommes très heureux d’être l’une des premières banques étrangères à participer au projet pilote d’activité numérique en RMB. En tant qu’infrastructure importante pour l’économie numérique, le développement du RMB numérique améliorera progressivement l’expérience de paiement et de consommation et renforcera l’interconnexion avec le marché financier international. »

Standard Chartered

Et autant dire que le marché est prometteur. En tout cas, si l’on en croit les déclarations du gouverneur de la Banque centrale chinoise, Yi Gang. Car selon ce dernier, le montant des transactions opérées à l’aide du e-CNY auraient atteint les 1800 milliards de yuans (environ 250 milliards de dollars) à la fin du mois de juin dernier. Une véritable explosion en comparaison des 100 milliards de dollars de l’année précédente.

Pour conserver vos avoirs cryptographiques à l’abri, la meilleure solution est encore un wallet hardware personnel. Chez Ledger, il y en a pour tous les profils et toutes les cryptos. N’attendez pas pour mettre vos capitaux en sécurité (lien commercial) !

L’article MNBC en Chine : Standard Chartered China se met au yuan numérique (e-CNY) est apparu en premier sur Journal du Coin.

Vertex : listing du jeton VRTX sur les plateformes KuCoin et Bitget

https://journalducoin.com/actualites/vertex-listing-jeton-vrtx-plateforme-kucoin/

Listing VRTX. Le secteur des cryptomonnaies est porté par une frénésie d’innovations incessantes. Une dynamique au sein de laquelle certains projets tirent leur épingle du jeu avec des propositions sans équivalent. C’est, par exemple, le cas de la plateforme Vertex déployée sur le réseau de seconde couche Arbitrum. Une structure présentée comme « hybride » en capacité de proposer le meilleur des exchanges décentralisés (DEX) tout en assurant un carnet d’ordre off-chain digne des CEX. Un projet dont la décentralisation repose sur le jeton VRTX, récemment listé sur la plateforme KuCoin.

Cet article promotionnel contient des liens d’affiliation vous permettant de soutenir le travail quotidien des équipes du Journal Du Coin.

Vertex : le meilleur des deux mondes

L’émergence de réseaux parallèles à Ethereum permet d’expérimenter de nouveaux services à moindres frais. Et, dans le paysage actuel, les plateformes décentralisées restent un élément incontournable de l’écosystème crypto. Pourtant, certaines limitations s’imposent à ces exchanges censés fonctionner en toute indépendance. 

C’est la raison pour laquelle le projet Vertex expérimente une nouvelle version présentée comme hybride. Cela dans le but de tirer parti des meilleures fonctionnalités présentes dans les DEX, mais également dans les plateformes centralisées (CEX). Car pourquoi se priver d’une solution en capacité de rassembler le meilleur de ces deux mondes…  

Vertex propose une plateforme hybride entre DEX et CEX

« Ce qui distingue Vertex, c’est la fusion d’un lieu de trading totalement on-chain, d’un séquenceur off-chain, et d’une conception hybride carnet d’ordres et AMM. L’approche hybride élimine les limites des modèles de DEX traditionnels, offrant aux utilisateurs le meilleur des deux mondes : le contrôle de la garde autonome et la performance des CEX. »

Vertex Protocol

Ici, l’avenir du secteur des cryptomonnaies se conjugue dans une version Web 3 désormais impossible à ignorer. Et, dans le but de monétiser cette dynamique, Vertex associe son chemin vers la décentralisation au jeton VRTX.

Listing du jeton VRTX sur KuCoin

Afin d’accompagner le développement du projet Vertex, la plateforme KuCoin vient d’annoncer le listing officiel de son jeton VRTX. Une opération accompagnée d’une campagne incitative auprès des investisseurs intéressés. Avec à la clé, une cagnotte de 60 000 dollars en jetons VRTX à se partager. 

Listing du jeton VRTX sur KuCoin
Le jeton VRTX de Vertex est disponible sur la plateforme KuCoin

Un jeton VRTX agrémenté de nombreux avantages. Comme par exemple une option de staking destinée à contribuer à la sécurité de l’écosystème Vertex. Ou encore des récompenses avec plusieurs niveaux de contributions et d’engagements sur le long terme.

« VRTX fonctionne comme un jeton utilitaire au sein de l’écosystème Vertex, tout en offrant aux utilisateurs plusieurs avantages. L’utilité de VRTX consiste à fournir une structure d’incitation qui encourage la participation à long terme à la santé et au développement de l’écosystème. »

Vertex Protocol

Bitget entre dans la danse Vertex

Le listing du token VRTX sur Bitget est en place depuis le 22 novembre. Il est conçu pour encourager un engagement durable et une participation active. Ce listing offre une chance unique de s’impliquer dans un système innovant combinant un carnet d’ordres traditionnel avec des mécanismes de market maker automatisé (AMM).

En échangeant VRTX, les utilisateurs ne bénéficient pas seulement de cette architecture hybride avant-gardiste, mais s’ouvrent également la voie à une série de récompenses généreuses prévues par le protocole Vertex. La plateforme crypto de Gracy Chen soulignant que :

« Avec ses caractéristiques uniques, son interface intuitive et son engagement en faveur de la décentralisation, Vertex s’impose comme la plateforme de référence pour ceux qui recherchent le meilleur de la DeFi sans sacrifier les avantages des CEX.»

Bitget

Le projet Vertex vient donc de franchir une étape importante, avec le listing de son jeton VRTX sur la plateforme KuCoin et sur Bitget. Une belle reconnaissance de la part de plateformes centralisées emblématique du secteur des cryptomonnaies. D’autant plus à une période où les parts de marché du leader Binance risquent d’être distribuées au plus innovant. Un contexte au sein duquel la version hybride de Vertex pourrait bien faire toute la différence.

Vous avez pris conscience du sens de ce mantra crypto : “Not your keys, not your coins ?” ? Vous n’avez plus confiance en tous ces exchanges centralisés ? Découvrez une solution DEX complète et fiable

Lien commercial

L’article Vertex : listing du jeton VRTX sur les plateformes KuCoin et Bitget est apparu en premier sur Journal du Coin.

Tornado Cash (TORN) s’effondre de -60 % après sa radiation annoncée par Binance

https://journalducoin.com/exchanges/tornado-cash-torn-effondre-apres-radiation-binance/

Effet Binance. Dans le petit écosystème des cryptomonnaies, chaque annonce peut avoir des conséquences notables. Une règle d’autant plus applicable qu’elle concerne une plateforme importante de cette toute jeune économie numérique. Et, de toute évidence, malgré ses déboires actuels, Binance reste au centre du game. Un coup dur pour le jeton TORN du mixeur également dans la tourmente Tornado Cash. Car l’annonce de sa radiation programmée, il y a tout juste un peu moins de 24h, vient de le projeter au sol.

L’effet Binance est toujours d’actualité

Chaque secteur de l’écosystème des cryptomonnaies est concerné par une partie de chaises musicales perpétuelle. En ce qui concerne les exchanges centralisés (CEX), cela portait initialement le nom d’effet Coinbase, avant de se transformer au fil de temps, en effet Binance. C’est-à-dire la capacité de faire – ou défaire – la popularité de certains projets du simple fait de les intégrer ou non à leurs bourses.

Une force de frappe visiblement toujours d’actualité pour la plateforme Binance. Cela même si ce leader en perte de vitesse accuse actuellement les coups portés par la justice des États-Unis à son encontre. Mais, finalement, le marché des cryptomonnaies semble étonnamment peu soucieux du destin réglementaire de cet exchange. Capacité de résilience augmentée, ou changement de paradigme ?

La plateforme Binance a une influence importante sur le marché crypto

Quoi qu’il en soit, le regard de Binance porté sur certains projets permet à leurs cryptomonnaies de s’envoler vers des sommets. Mais dans le cas inverse, la sentence peut être terrible. Et, cela s’appelle visiblement « protéger au mieux ses investisseurs ». Une question de point de vue pour les détenteurs des jetons concernés.

« Nous examinons périodiquement chaque crypto-actif que nous répertorions pour nous assurer qu’il continue de répondre au niveau élevé de normes que nous attendons. Lorsqu’une pièce ou un jeton ne répond plus à cette norme, ou que le secteur évolue, nous procédons à un examen plus approfondi et le radions éventuellement de la liste. Nous pensons que c’est ainsi que nous protégeons au mieux tous nos utilisateurs. »

Binance

>> Vous préférez garder vos cryptos à l’abri ? Choisissez un portefeuille Ledger (lien commercial) <<

-60% pour Tornado Cash

Est-ce une conséquence directe de la prise en main réglementaire de Binance par la justice des États-Unis ? La question mérite d’être posée. D’autant plus si l’on considère que les développeurs de ce protocole d’anonymisation dédié au réseau Ethereum sont la cible directe des mêmes instances américaines. Au point de se demander si le but n’est pas de tuer purement et simplement Tornado Cash.

Une condamnation à mort à laquelle participerait parfaitement le récent rejet du jeton TORN opéré par la nouvelle Binance. Pour preuve, son effondrement de -60% suite à l’annonce fatidique de sa radiation intervenue, il y a un peu moins de 24h. En effet, le TORN est passé sur cette seule période de 4,15 $ environ à presque exactement 1,60 $ au plus fort de cette chute vertigineuse.

-60% pour Tornado Cash
Le jeton TORN enregistre une baisse de -60% suite à sa radiation de Binance

Une technique de « protection des investisseurs » qui ne s’arrête pas au seul Tornado Cash. En effet, l’annonce officielle de cette campagne de radiation concernait également le jeton BTS du projet BitShares (-44%), le PERL de PERL.eco (-61%) et le WTC du réseau Waltonchain (-59%).

La plateforme Binance opère donc un premier ménage au fort accent réglementaire suite à sa récente prise en main par la justice des États-Unis. Dans le même temps son Binance Coin (BNB) démontre une solidité assez surprenante compte tenu du contexte sous haute tension de cette fin d’année. Le début d’une nouvelle ère ?

En crypto, ne faites pas l’économie de la prudence ! Ainsi, pour conserver vos avoirs cryptographiques à l’abri, la meilleure solution est encore un wallet hardware personnel. Chez Ledger, il y en a pour tous les profils et toutes les cryptos. N’attendez pas pour mettre vos capitaux en sécurité (lien commercial) !

L’article Tornado Cash (TORN) s’effondre de -60 % après sa radiation annoncée par Binance est apparu en premier sur Journal du Coin.