L’Actu vue par …Benoît de Jessey : « Si vous aimez la criminalité, vous aimerez les cryptomonnaies »

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Cette semaine notre chroniqueur-chef d’entreprise, Benoît de Jessey, a choisi de réagir aux propos de Nicolas Théry, Directeur du Crédit Mutuel, rapportés sous forme d’interview au journal La Croix le 4 avril dernier. Le fondateur de Cryptech, à l’instar des nombreux commentaires qui ont émaillé la toile depuis 48h, s’étonne ou s’emporte (c’est au choix) sur LA phrase : « Si vous aimez la criminalité, vous aimerez les cryptomonnaies »…Une prose à Déguster…

« Si vous aimez la criminalité, vous aimerez les cryptomonnaies »

Voilà une bien étrange phrase de la part du patron du Crédit Mutuel, alors même que la plupart des banques du monde entier s’engouffrent dans la blockchain et les cryptos.

Il est pourtant évident qu’un énarque, passé par l’inspection des finances, le cabinet du ministre des finances et autres instances gouvernementales, désormais au Crédit Mutuel, doit avoir une parfaite connaissance de l’économie numérique (et donc, des crypto-actifs).

Pourtant, lors de son interview au journal La Croix (4 avril 2023), c’est une avalanche de poncifs maintes fois débunkés ainsi qu’une méconnaissance total du secteur dont le patron a fait preuve. On est alors en droit de se demander si c’était fait exprès, au même titre que Christine Lagarde fustige le bitcoin depuis des années…

Malheureusement pour lui, l’écart se resserre fortement entre finance traditionnelle et crypto-actifs. Il n’y a qu’à ouvrir le dernier rapport de KMPG (adoption des Francais), l’étude de Fidelity (adoption des institutionnels) ou plus récemment celui réalisé conjointement entre Coinhouse et Deloitte concernant l’adoption par les entreprises.

Si la toile s’est enflammée à la suite de ces déclarations (médias spécialisés, Twitter et Linkedin), prenons le temps de répondre.

Car il est parfaitement malhonnête de comparer les cryptos aux milices Wagner ! Même s’il n’est pas rare de voir un étalage de démagogie s’emparer de nos politiciens (métier oblige), il s’agit ici du patron d’une banque connue et respectée.

Monsieur Théry semble vivre avec 15 ans de retard, lorsqu’on dépensait ses bitcoins pour acheter de la drogue sur le darknet.

Alors oui : on peut blanchir de l’argent grâce aux cryptomonnaies. Comme on peut le faire en finance traditionnelle, avec du bon vieux cash. On peut également être visé dans le cadre d’enquêtes ouvertes au Parquet national financier comme 5 grandes banques traditionnelles.

Néanmoins, les cryptos transitent sur une merveille de technologie appelée blockchain et dont le principal avantage réside justement dans la transparence. On peut donc tracer à la perfection les transactions et définir celles qui sont à des fins illégales, celles qui sont redirigées vers des mixeurs etc…et ce n’est pas moi qui le dis mais l’ancien directeur de la CIA. C’est par conséquent bien moins opaque que la finance traditionnelle.

Le dernier rapport en date (Chainalysis) fait d’ailleurs état de 0.24% du volume global crypto en terme de transactions illicites ! On est loin d’une généralité.

J’en profite pour réitérer que Monsieur Théry le fait exprès. Confondre « anonyme » avec « pseudonyme » n’est pas digne d’un dirigeant de banque, bien au fait des différences entre ces notions ! Car oui, les cryptos sont pseudonymes de manière générale, à l’exception de quelques-unes.

Si le Crédit Mutuel souhaite rester derrière ceux qui ont compris l’utilité des cryptos et les considère comme une classe d’actifs à part entière, grand bien lui fasse !

Rappelons que derrière les messages de prévention (voire d’interdiction) émis par les banques auprès de leur clientèle vis à vis des crypto-actifs, certaines d’entre elles furent citées dans la liste des créditeurs de FTX, à l’instar de Société Générale, Banque Populaire, Crédit Agricole ou encore HSBC.

Chronique réalisée par Benoît de Jessey, CEO de Cryptech

Notes :

Benoit de Jessey est co-fondateur de Cryptech, "solution innovante de placement pour la trésorerie d’entreprise"

Nota Bene, Benoît de Jessey s’exprime ici en qualité de contributeur afin d’éclairer sur des actualités du monde de la crypto. Il ne s’agit en aucun cas de conseil en investissement. Benoît de Jessey et Finyear ont conclu un engagement moral concernant ce point. Les propos tenus dans cette chronique ne concernent que son auteur. Si Finyear opère un filtre éditorial, les opinions émises ne peuvent pas être considérées comme le reflet de la direction.

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Contrôle de Gestion – Private Equity

https://www.finyear.com/Controle-de-Gestion-Private-Equity_a49309.html

Calmon Partners Executive Search accompagne un grand fonds de PE (+30Mds€ d’actifs sous gestion) souhaitant recruter un contrôleur de gestion groupe à Paris. Poste en CDI basé à Paris, TEMPS PLEIN

Suivi de la performance Groupe

– Production d’indicateurs de performance par Business Units (BU)
– Reporting, analyse, formalisation et consolidation des KPIs financiers pour les besoins du reporting Groupe et des instances de gouvernance
– Préparation de la trajectoire à 5 ans du groupe en collaboration avec les BUs

– Elaboration des atterrissages trimestriels et du Budget

Participation à l’élaboration des procédures et outils de gestion

– la structuration/l’évolution/la mise en place des outils

– La conception des tableaux de bord de l’activité – La définition et mise en place des principales orientations des contrôles et indicateurs de pilotage

Profil

* Diplôme grande école ou université de premier plan en finance

* Entre 3 et 6 ans d’expérience

* Expériences en Audit/Contrôle de Gestion

* Aisance à l’oral et à l’écrit en français et en anglais

Votre contact :

Arthur du Mesnil

arthur@calmonpartners.com

A propos de Calmon Partners Executive Search :
Né en 2020, Calmon Partners Executive Search est un cabinet de chasse de têtes spécialisé dans les métiers de l’investissement. Composées de professionnels issus du monde de la finance, nos équipes accompagnent nos clients – Fonds d’Investissement, Family Office, Banques, Conseils & Cabinets, Codir – dans le développement de leurs expertises en France comme à l’international. Présents à Paris et Genève, nos experts établissent leur mission sur une véritable relation de confiance entre clients et candidats dans le respect de leurs valeurs et raison d’être. Calmon Partners Executive Search est une filiale de Calmon Partners Group.
www.calmonpartners.com

Fintech, Blockchain News by Finyear

Bonne chasse aux oeufs…numériques !

https://www.finyear.com/Bonne-chasse-aux-oeufs-numeriques-_a49308.html

Demain et après-demain (8 et 9 avril), la Cité des sciences et de l’industrie à Paris, invite une nouvelle fois son public à découvrir l’univers des NFT à travers une grande chasse aux œufs numériques ! J-1 avant la NFT’oeufs #2

Pour cette 2e édition, adieu le traditionnel chocolat, seul ou en famille, collectionneur, technophile ou encore néophyte, chacun peut s’amuser et faire une récolte exceptionnelle de NFT’oeufs créés spécifiquement pour l’occasion. Deux jours durant, à l’aide de l’application myCité et de son système de géolocalisation, le visiteur peut retrouver les différents codes cachés dans les vingt espaces d’exposition de la Cité pour générer les NFT’oeufs. Cette année, des œufs numériques ainsi que des créations sonores sont à découvrir parmi ces NFT. Chaque création numérique s’appuie sur la blockchain Polygon, faiblement consommatrice d’énergie ainsi que sur la marketplace française Kalart. En parallèle, durant le week-end, deux médiations seront également proposées sur le forum par nos médiateurs scientifiques pour comprendre l’univers des NFT, de la création au partage entre collectionneurs.

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U.S. says decentralized finance services being used for illicit transfers

https://www.finyear.com/U-S-says-decentralized-finance-services-being-used-for-illicit-transfers_a49307.html

North Korea, cybercriminals, ransomware attackers, thieves and scammers are using decentralized finance (DeFi) services to transfer and launder their illicit proceeds, the U.S. Treasury Department warned on Thursday. (WASHINGTON, April 6 – Reuters)

So-called DeFi platforms allow users to lend, borrow and save, usually in cryptoassets and stablecoins, without using banks.

In a new illicit finance risk assessment on decentralized finance, the Treasury found that illicit actors are exploiting vulnerabilities in U.S. and foreign anti-money laundering and combating the financing of terrorism (AML/CFT) regulation and enforcement as well the technology underpinning the services.

DeFi services that fail to comply with these obligations to prevent money laundering and terrorism financing pose the most significant illicit finance risk in this domain, the assessment found.

"Our assessment finds that illicit actors, including criminals, scammers, and North Korean cyber actors are using DeFi services in the process of laundering illicit funds," the Treasury’s Under Secretary for Terrorism and Financial Intelligence, Brian Nelson, said in the statement.

Nelson added that the private sector should use the findings of the assessment to inform their risk mitigation strategies and to take steps to prevent illicit actors from using decentralized finance services.

Other vulnerabilities found in the assessment included the potential for DeFi services to be out of scope for existing AML/CFT obligations, the lack of implementation of international AML/CFT standards and poor cybersecurity practices.

The assessment recommended strengthening U.S. AML/CFT supervision, considering additional guidance for the private sector on DeFi obligations and addressing any regulatory gaps related to the services.

Reporting by Daphne Psaledakis and Chris Prentice; Editing by Conor Humphries

REUTERS

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Private Equity Intern (M/F)

https://www.finyear.com/Private-Equity-Intern-M-F_a49302.html

Based in Luxembourg, you will be part of the Direct Investments team and assist with new investments analysis. Working in a collegiate and entrepreneurial team, with a flat organisation structure, you would be expected to be self-motivated and eager to master each step of Luxempart’s investment process.

Luxempart is an investment company listed on the Luxembourg Stock Exchange with an estimated net asset value of over EUR 2bn (of which more than EUR 600m invested over the last 3 years), which has since 1988 invested in and managed a portfolio of listed and non-listed companies primarily headquartered in Luxembourg, Belgium, France and Germany.

Based in Luxembourg, you will be part of the Direct Investments team and assist with new investments analysis. Working in a collegiate and entrepreneurial team, with a flat organisation structure, you would be expected to be self-motivated and eager to master each step of Luxempart’s investment process.

Your assignments will include

* Conducting in-depth company, industry and market research on transaction opportunities

* Building financial models and valuation including DCF, LBO, etc.

* Participating in the investment process notably in drafting the investment note and reviewing due diligence documents

Qualifications

* French mother tongue or bilingual. Excellent command of English or German

* Rigorous, flexible, precise, well organised, strong team player, excellent verbal and written communication skills, able to work independently and in an international environment

* Outstanding analytical skills with an ability to research, summarize and draw conclusions for the investment case

Luxempart’s offer

* A challenging and rewarding role in a dynamic and professional business environment

* Diversified and international work experience

* Small and cohesive team allowing to rapidly take on responsibility

* Access to training and direct assistance from team members

* Competitive remuneration

* Great working environment with ample opportunities for personal and professional career development

Location

Luxembourg

Timing

Start in July 2023 & September 2023

Profile

Second part of Gap Year or end of study internship, with at least one significant experience in corporate finance (M&A, PE, Transaction Services) or strategy consulting



Contact


nikita.kuzmich@luxempart.lu

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ChatGPT maker to propose remedies over Italian ban

https://www.finyear.com/ChatGPT-maker-to-propose-remedies-over-Italian-ban_a49305.html

ChatGPT producer OpenAI plans to present measures on Thursday to remedy concerns that led to an Italian ban on the chatbot last week, Italy’s data protection agency Garante said. 3 minute readApril 6, 20236:09 PM GMT+2Last Updated 3 hours ago ChatGPT maker to propose remedies over Italian ban By Supantha Mukherjee, Elvira Pollina and Martin Coulter (ROME/STOCKHOLM, April 6 – Reuters)

Microsoft Corp-backed (MSFT.O) OpenAI took ChatGPT offline in Italy after Garante last week temporarily restricted it and began a probe into a suspected breach of privacy rules.

The agency last week accused OpenAI of failing to check the age of ChatGPT users and the "absence of any legal basis that justifies the massive collection and storage of personal data".

On Thursday it said it has no intention of putting a brake on developing AI but reiterated the importance of respecting rules aimed at protecting the personal data of Italian and European citizens.

In a video conference late on Wednesday attended by CEO Sam Altman, OpenAI pledged to be more transparent about the way it handles user data and verifies the user’s age, Garante said.

The company said it would send Garante a document regarding measures to respond to its requests on Thursday.

The data authority said it would evaluate the proposals made by OpenAI. A source familiar with the matter said it would likely take several days to assess the contents of the letter.

OpenAI, which is based in San Francisco, did not respond to a request for comment on the agency’s statement.

On Thursday, the company published a blog post, titled "Our approach to AI safety", which said it was working to develop "nuanced policies against behavior that represents a genuine risk to people."

"We don’t use data for selling our services, advertising, or building profiles of people," it said. "We use data to make our models more helpful for people. ChatGPT, for instance, improves by further training on the conversations people have with it.

"While some of our training data includes personal information that is available on the public internet, we want our models to learn about the world, not private individuals."

The company said it removed personal information from its datasets where possible, fine-tuned models to reject user prompts asking for such information, and would respond to individual requests to delete their data from its systems.

The ban by Italy has piqued the interest of other privacy regulators in Europe who are studying if harsher measures are needed for chatbots and whether to coordinate such actions.

In February, Garante banned AI chatbot company Replika from using the personal data of Italian users, citing risks to minors and emotionally fragile people.

Reporting by Supantha Mukherjee in Stockholm, Elvira Pollina in Milan, and Martin Coulter in London; writing by Keith Weir; editing by Alvise Armellini, Jason Neely, Alexander Smith and Christina Fincher (REUTERS)

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AMLYZE et Skaleet s’associent pour renforcer la prévention de la criminalité financière au sein des institutions financières

https://www.finyear.com/AMLYZE-et-Skaleet-s-associent-pour-renforcer-la-prevention-de-la-criminalite-financiere-au-sein-des-institutions_a49303.html

AMLYZE, une startup RegTech en plein développement qui aide les fintechs, les banques, les crypto-entreprises et d’autres entités réglementées à lutter contre la criminalité financière et à éviter de douloureuses amendes réglementaires, et Skaleet, une fintech internationale proposant une Core Banking Platform (CBP) de nouvelle génération, ont annoncé un nouveau partenariat.

Ce partenariat permettra l’intégration parfaite du CBP de Skaleet et de l’outil de lutte contre le blanchiment d’argent (AML) d’AMLYZE, qui comprend la surveillance et l’examen des transactions, l’évaluation des risques et la gestion des dossiers.

Le partenariat prévoit également une coopération entre les deux entités afin de partager les meilleures pratiques sur la façon dont les institutions financières peuvent lancer de nouveaux services financiers innovants et sécurisés qui vont au-delà des attentes des clients.

Les institutions financières, en particulier les fintechs et les néo-banques à la croissance rapide, ont découvert les avantages des CBP de dernière génération ces dernières années. Cependant, elles sont également confrontées au défi d’assurer la conformité de leurs processus avec les réglementations anti-blanchiment d’argent. Le nombre de ces dernières a tellement augmenté récemment qu’il est nécessaire d’investir dans des nouvelles solutions RegTech automatisées et flexibles.

AMLYZE a développé une suite de solutions de lutte contre la criminalité financière qui répond à la nécessité de se conformer à de vastes cadres réglementaires en constante évolution et de renforcer l’arsenal défensif des institutions afin de minimiser les risques externes. Pour cela, il a été nécessaire de réunir une équipe d’anciens régulateurs, de superviseurs et de responsables de la conformité ainsi qu’une équipe technique

très expérimentée dans la construction de solutions bancaires et Fintech.

Skaleet a développé une plateforme technologique SaaS unique, basée sur le cloud, qui fonctionne facilement avec AMLYZE, ce qui lui permet d’offrir à ses clients une capacité de lutte contre le blanchiment d’argent à la fois fondamentalement conforme aux réglementations financières et très efficace dans la détection des transactions suspectes.

Skaleet travaille avec ses clients pour lancer rapidement des services financiers innovants partout dans le monde et adaptés à l’environnement local, technologique, culturel et économique. Sa technologie évolutive permet aux institutions de s’adapter en permanence aux besoins de leurs clients et de rester pertinentes dans un paysage fortement concurrentiel.

Jekaterina Govina, Responsable des partenariats et des affaires réglementaires et Co-fondatrice d’AMLYZE, a déclaré : « Pour nous, travailler avec une Core Banking Platform bien établie comme Skaleet est assez naturel, car une grande partie de notre travail est liée au traitement des transactions. Pour faire une analogie, si Skaleet était une voiture, nous serions la ceinture de sécurité, l’ABS et les airbags ».

Hervé Manceron, PDG et Co-fondateur de Skaleet, a ajouté : « La Core Banking Platform de Skaleet s’engage à offrir une technologie hautement sécurisée et évolutive aux institutions financières du monde entier. Il était donc tout naturel pour nous de nous associer à AMLYZE, un expert de premier plan en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, afin de permettre à nos clients d’être en parfaite conformité avec les réglementations ».

À propos d’AMLYZE

Basée en Lituanie, AMLYZE est une solution de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (AML/CFT) sous forme de logiciel en tant que service (SaaS), qui propose différents modules pour le suivi des transactions en temps réel et rétrospectif, l’évaluation du risque client, la gestion des dossiers et l’examen des sanctions.

AMLYZE a réuni quelques-uns des meilleurs experts en matière de technologie, de réglementation, de produits et de supervision pour soutenir la croissance des activités de ses clients tout en veillant à ce que leur exposition aux risques soit bien maîtrisée. Grâce à des solutions technologiques, l’outil AMLYZE minimise le travail manuel et les tâches que ses clients entreprennent dans le domaine de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, et de la conformité, ce qui leur permet d’atteindre un tout nouveau niveau d’efficacité.

À propos de Skaleet

Skaleet est une fintech qui propose une Core Banking Platform (CBP) sous forme de logiciel en tant que service (SaaS). Basée sur le cloud et répondant aux normes de sécurité les plus élevées, elle constitue une alternative aux infrastructures traditionnelles des banques et des institutions financières. Grâce à sa plateforme ouverte, flexible et évolutive, ses clients peuvent facilement imaginer, configurer et déployer de nouveaux produits. Avec une solution unique, son architecture répond à plusieurs modèles d’affaires, réduisant le temps de mise sur le marché et optimisant les coûts. Skaleet compte plus de 40 clients et a géré plus de 10 millions d’utilisateurs dans le monde.

Skaleet est basée à Boulogne Billancourt en France.

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Robinhood to pay $10mln to settle operational deficiency charges

https://www.finyear.com/Robinhood-to-pay-10mln-to-settle-operational-deficiency-charges_a49306.html

Robinhood Financial LLC (HOOD.O) will pay up to $10.2 million in penalties to several states related to platform outages the company experienced in March 2020 and deficiencies in the brokerage’s review and approval process prior to 2021. (April 6 Reuters)

The settlement comes after an investigation by state securities regulators in Alabama, Colorado, California, Delaware, New Jersey, South Dakota and Texas into outages on Robinhood’s app that shut customers out of trading on pandemic-related volatility, several states said in a release. Robinhood also agreed in principle last year to settle a proposed class action lawsuit filed by customers over the pandemic outages.

“Robinhood repeatedly failed to serve its clients, but this settlement makes clear that Robinhood must take its customer care obligations seriously and correct these deficiencies," said Andrew Hartnett, the president of the North American Securities Administrators Association, which coordinated the investigation, in a statement.

Robinhood neither admitted nor denied the states’ findings. Lucas Moskowitz, deputy general counsel and head of government affairs at Robinhood Markets, said in a statement the company was "pleased" to resolve the matter.

"The settlement relates to past issues that Robinhood has since invested heavily in improving, including the launch of 24/7 chat and phone support, expanding our library of educational materials, and strengthening the way we supervise our technology. We remain focused on continuing to break down barriers to the markets for those who were previously kept out," he said.

Reporting by Hannah Lang in Washington and Manya Saini in Bengaluru; Editing by Shailesh Kuber and Aurora Ellis

REUTERS

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Nomination | Adviso Partners accueille David Attali au poste de Directeur Exécutif

https://www.finyear.com/Nomination--Adviso-Partners-accueille-David-Attali-au-poste-de-Directeur-Executif_a49301.html

ADVISO PARTNERS continue son développement et structure son offre en Situations Spéciales – Distressed M&A en accueillant David ATTALI au poste de Directeur Exécutif.

David bénéficie de près de 10 ans d’expérience en restructuration financière et transformation en situation spéciale. Il a réalisé une cinquantaine d’opérations auprès de structures en difficultés, pour le compte de dirigeants actionnaires, corporates ou fonds de private equity. Il accompagne ses clients dans les phases difficiles de leur vie entrepreneuriale, et les conseille dans leurs opérations de restructuration afin de préserver et/ou restaurer la valeur d’entreprise.

David ATTALI a débuté son parcours professionnel en audit financier, avant de rejoindre les équipes restructuring de KPMG en 2014. Depuis 2021, il était en charge du développement des activités restructuring en région Sud-Est.

David ATTALI est diplômé de KEDGE Business School (Marseille).

ADVISO PARTNERS est une société de conseil financier indépendante fondée par Bertrand THIMONIER dont le rôle est de créer de la valeur pour les entreprises et leurs dirigeants actionnaires. Elle intervient sur des opérations de haut de bilan : cession, acquisition, transmission d’entreprise, levée de fonds, évaluation, recomposition de capital. ADVISO PARTNERS regroupe plus de 40 collaborateurs au sein de ses 6 bureaux : Paris, Lille, Lyon, Nantes, Bordeaux et Marseille.

Adviso

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La Banque Wormser Frères accélère dans le financement de l’innovation avec le lancement de son fonds Venture Loan II et la création du Venture Loan à impact

https://www.finyear.com/La-Banque-Wormser-Freres-accelere-dans-le-financement-de-l-innovation-avec-le-lancement-de-son-fonds-Venture-Loan-II-et_a49300.html

Forte des succès de son fonds Venture Loan I, la Banque Wormser Frères, banque privée familiale et indépendante, lance le deuxième fonds Venture Loan II avec pour objectif de lever 40 millions d’euros.

Depuis quatre générations, la Banque Wormser Frères est portée par un esprit d’innovation qui l’a souvent positionnée comme pionnière sur les nouveaux outils financiers.

Créatrice de plusieurs solutions de financement inédites, la Banque Wormser Frères a aussi été l’une des premières à importer le Venture Loan sur la place parisienne. La Banque a ainsi financé près d’une quarantaine d’entreprises, dont extracadabra, axonaut, sendinblue ou encore epresspack.

Le fonds Venture Loan I lancé en 2021, qui accorde ces financements, a connu un fort engouement auprès des clients de la banque, qui ont investi aux côtés de la banque, alignant ainsi les intérêts et ayant permis d’atteindre l’objectif de départ de 20M€ de levée.

C’est forte de cette expertise et de ce statut d’acteur confirmé de la dette privée, que la Banque lance le fonds Venture Loan II.

Les principales caractéristiques du Fonds Venture Loan II :

Un objectif de 40 millions d’euros levés, soit le double des fonds levés pour le fonds Venture Loan I ;

Un engagement de la Banque systématique aux côtés de ses clients, avec 7 millions d’euros investis directement sur l’objectif de 40 millions d’euros levés ;

25 % du fonds mobilisés pour des placements labellisés impact ;

Des tickets compris entre 1 et 4 millions d’euros ;

Financer les entreprises innovantes et répondre à un manque dans l’écosystème entrepreneurial

Depuis plusieurs années, la Banque Wormser Frères a diversifié son offre pour répondre aux attentes de la nouvelle génération d’entrepreneurs en développant des produits innovants.

Le fonds Venture Loan permet de financer la croissance de ces acteurs par de la dette et sans dilution de capital, alors que les levées de fonds dans la tech marquent le pas.

Une stratégie éprouvée sur la dette privée, en ligne avec la philosophie de placements de la Banque

La Banque cible des entreprises innovantes, ayant fait la preuve de leur modèle économique (1 million d’euros de marge brute minimum) et avec de solides perspectives de croissance, rentables ou en capacité de le devenir sous 12 mois.

Le fonds a vocation à investir dans tous les secteurs d’activités, avec un intérêt particulier pour les activités générant des revenus récurrents, comme les éditeurs de logiciels et bien sûr les métiers à impact.

25 % de Venture Loan II dédié à l’impact

Depuis plusieurs années, la Banque Wormser Frères a engagé une transformation profonde avec l’ambition de devenir un acteur de référence de la finance durable.

Au-delà de la prise en compte de critères ESG dans les décisions d’investissement, 25% des fonds levés par le fonds Venture Loan II seront ainsi alloués aux entreprises dont l’activité a un impact positif, avec une réduction du taux d’intérêt en cas d’atteinte de critères d’impact.

La Banque s’est fixé un objectif pour le fonds de classification article 8 selon la réglementation SFDR.

Marc Wormser, Directeur général de la Banque Wormser Frères, déclare : « Le succès du fonds Venture Loan I nous a montré qu’il y avait une vraie appétence pour cette classe d’actif innovante. La dette privée permet aux investisseurs de diversifier leur portefeuille et de soutenir directement les projets d’entrepreneurs impliqués. »

En soutien de Marc et Julien Wormser, une équipe dédiée de 4 experts est en charge de l’offre Venture Loan de la Banque. Elle est dirigée par Loic Jouan, Directeur des Participations Venture Loan. Diplômé de Sciences Po Paris, il a passé les 3 dernières années chez Financière Arbevel en tant que gérant du fonds Arbevel Dette Privée PME et les 4 précédentes au sein de Trocadero Capital Partners en tant que Chargé d’Affaires. Dans sa mission Venture Loan, il est épaulé par Léa Dhaussy, Salma Moalige et Anastasia Golovatii. Cette équipe est assistée par un comité consultatif composé d’entrepreneurs et d’investisseurs externes.

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Private Equity : Altaroc lance son 3ème Millésime

https://www.finyear.com/Private-Equity-Altaroc-lance-son-3eme-Millesime_a49298.html

Amboise Partners, au travers d’Altaroc, la plateforme 100% digitale qui donne accès clef en main à un portefeuille mondial de fonds de Private Equity d’exception, lance Altaroc Global 2023. Un nouveau Millésime qui donne déjà de la visibilité sur 60% de ses engagements à travers la sélection de trois gérants mondiaux de premier plan : TA Associates, General Atlantic et CVC.

Dans un contexte marqué par l’instabilité économique (guerre en Ukraine, retour de l’inflation, hausse des taux d’intérêt), le Private Equity s’impose plus que jamais comme la classe d’actifs incontournable face à la volatilité et à l’incertitude des marchés cotés. Alors que le CAC Mid & Small a perdu 11% sur l’année 2022 et le Nasdaq 33% sur la même période, Altaroc Global 2021 a réalisé une performance de +1,2% sur l’année 2022, et Altamir (société cotée conseillée par Amboise Partners) de -2,0%.

Grâce à ses Millésimes Altaroc Global 2021 et Altaroc Global 2022, Altaroc est devenu en moins de 2 ans l’un des leaders européens dans la démocratisation du Private Equity, en offrant la possibilité d’investir dès 100 000 euros, dans des portefeuilles clef en main de 5 à 6 fonds mondiaux de premier plan, réservés jusque-là aux plus grands institutionnels, seuls capables de mettre des tickets d’entrée de 20 millions d’euros minimum par fonds. La société de gestion propose une diversification d’investissements à la fois géographique (40% aux États-Unis, 40% en Europe et 20% dans le reste du monde) et sectorielle (50% Logiciel et Télécom, 20% Santé, 20% Business Services et 10% Services aux clients privés).

Ce fonds Altaroc Global 2023, comme les deux précédents Millésimes, est classé Article 8. Il publiera donc des rapports périodiques selon le format requis par le règlement européen SFDR.

La société de gestion vise une levée de 500 millions d’euros sur ce nouveau Millésime et continuera de développer sa stratégie de co- investissements directs dans les entreprises (pour 20% du total de son Millésime 2023) aux côtés de ses gérants, comme elle l’a fait en 2022 en effectuant 3 co-investissements à succès dans IFS (éditeur de logiciel sur le cloud), Authority Brands (services de santé à domicile) et Access Group (éditeur de logiciel sur le cloud). Ces trois entreprises ont connu une croissance de leur EBITDA supérieure à 20% en 2022.

« Je tiens à remercier chaleureusement nos partenaires distributeurs qui sont toujours plus nombreux à nous accompagner dans la promotion de nos gammes. Après le succès de nos deux précédents Millésimes, pour lesquels nous avons collecté en 14 mois 650 millions d’euros, nous sommes fiers de proposer à nos partenaires et clients un nouveau Millésime 2023 à forte dimension internationale, avec déjà 3 nouveaux gérants très complémentaires : (i) General Atlantic, la référence mondiale en Growth Equity, avec qui nous avons déjà travaillé pour notre Millésime 2021, (ii) TA Associates, qui, jouit d’une excellente réputation mondiale comme gérant de Growth Buyout, avec une exposition particulièrement significative sur les États-Unis ; (iii) et enfin, CVC, qui est réputé comme étant l’un des meilleurs fonds mondiaux dédiés au LBO, avec une dimension très pan- Européenne et une couverture géographique exceptionnelle », explique Frédéric Stolar, le Managing Partner d’Altaroc.

À propos d’Altaroc

Lancée en octobre 2021 par la société de gestion Amboise Partners, la plateforme Altaroc permet d’accéder, dès 100 000 €, à un portefeuille de fonds de Private Equity internationaux de premier plan, inaccessibles aux particuliers qui voudraient y souscrire en direct. Ces fonds, diversifiés sur le plan géographique, ciblent essentiellement les segments du Buy Out et du Growth Equity sur des secteurs très porteurs : Tech, Logiciel & Telco , Santé et Business Services à dimension digitale. Les Millésimes Altaroc permettent aux conseillers en gestion de patrimoine, family offices et banques privées de répondre avec une offre clef en main 100% digitale aux demandes de leurs clients les plus exigeants qui veulent trouver du rendement et investir dans l’économie réelle. Altaroc a levé 650 millions d’euros sur ses deux premiers Millésimes.
Altaroc

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Fintech, Blockchain News by Finyear

Prévision du prix de Metacade pour 2023 – 2030. (Article sponsorisé)

https://www.finyear.com/Prevision-du-prix-de-Metacade-pour-2023-2030-Article-sponsorise_a49299.html

L’investissement en crypto-monnaie MCADE pourrait être multiplié par 10 après son arrivée sur les bourses Uniswap et Bitmart en avril. (Article sponsorisé)

La blockchain continue de connaître une croissance importante, car presque toutes les industries adoptent la technologie afin d’offrir de meilleures expériences aux utilisateurs et de réduire les coûts. Le gaming montre peut-être le plus grand potentiel d’innovation, et alors que la révolution GameFi continue de prendre de l’ampleur, le token MCADE de Metacade a émergé comme l’un des projets les plus excitants et les plus prometteurs du secteur.

La cotation officielle sur les bourses Uniswap et Bitmart étant imminente, de nombreux investisseurs pensent qu’il pourrait s’agir d’un facteur de hausse des prix. Les analystes de marché continuent d’analyser ce qui pourrait propulser la croissance du prix de MCADE sur le long terme et examinent le potentiel de cet investissement crypto révolutionnaire pour fournir des rendements énormes pour de nombreuses prévisions de prix de crypto en cours de travail.

MCADE peut-il valoir 1 $ en 2023 ?

Alors que les perspectives de GameFi continuent d’être optimistes pour les années à venir, et compte tenu de l’immense potentiel de l’initiative Metacade, de nombreux experts évaluent MCADE afin de démontrer son potentiel de succès pour valoir 1 $ en 2023.

Il ne fait aucun doute que les expériences de jeu que Metacade est prêt à offrir le rend avantageux lorsqu’il s’agit d’évaluer son éventuelle valeur boursière. L’énorme marché total adressable (TAM) suggère que la base d’utilisateurs de la plateforme pourrait connaître une expansion rapide dès que les lancements techniques commenceront plus tard dans l’année.

Compte tenu des nombreuses incitations pour les utilisateurs à rester sur la plateforme et de l’expérience utilisateur en constante évolution, qui est améliorée par les systèmes de récompense en place, il est fort probable que la demande pour MCADE sera énorme. Cela pourrait positionner Metacade sans effort parmi d’autres projets à forte croissance en phase initiale qui ont généré des rendements impressionnants pour les premiers investisseurs.

Si l’on tient compte des fonctions attrayantes des tokens, un MCADE à 1 $ nécessiterait une valeur boursière de seulement 2 milliards de dollars. Cela a conduit de nombreux experts à conclure dans les travaux de prédiction du prix des crypto-monnaies que le dépassement de ce seuil critique d’ici la fin de l’année est tout à fait possible.

Quel niveau MCADE peut-il atteindre d’ici 2030 ?

Avec un potentiel aussi incroyable, de nombreux analystes pensent qu’il n’y a aucune limite pour MCADE. Avec des projets GameFi comme Decentraland plafonnant à une valeur boursière de près de 9 milliards de dollars lors de la hausse de 2021, il est clair qu’il y a une énorme marge de manœuvre pour le token MCADE.

Avec plusieurs années à venir, une projection relativement conservatrice de la valeur boursière de 20 milliards de dollars pour Metacade signifierait 10 $ par token, et de nombreux experts en crypto-monnaie pense que c’est possible pour le projet à fort potentiel dans le secteur GameFi en plein essor.

Qu’est-ce que Metacade ?

Metacade est un projet qui vise à innover le domaine du gaming en développant la plus grande arcade P2E (play-to-earn) du monde. Cette plateforme avant-gardiste veut créer un écosystème dynamique qui réunit les joueurs, les développeurs et les passionnés de crypto-monnaies. La publication récente du white paper a séduit les investisseurs et les analystes en leur offrant un espace où ils peuvent interagir, s’adonner à une vaste gamme d’expériences de jeu et récolter des récompenses pour leur participation active.

Avec une sélection variée de jeux, Metacade vise à attirer des joueurs d’intérêts et de niveaux de compétence divers, ce qui élargit sa base d’utilisateurs potentiels et différencie la plateforme de la grande majorité des autres projets dans ce domaine. Le système de récompenses inventif de la plateforme n’englobe pas seulement les activités de jeu, mais s’étend également aux contributions de la communauté, telles que l’engagement dans des discussions avec la communauté, le partage d’idées et d’alpha, et même la rédaction de critiques de jeux.

L’accent mis sur la création d’une communauté solide et prospère fait de Metacade une perspective intéressante pour les investisseurs voulant explorer des opportunités dans le secteur en plein essor du gaming Web3, en particulier avec la prochaine disponibilité d’Uniswap et de Bitmart.

Comment fonctionne Metacade ?

Le token utilitaire MCADE est le moteur de l’écosystème Metacade, facilitant l’infrastructure des récompenses et servant de monnaie principale pour toutes les transactions qui ont lieu sur la plateforme. Les tokens MCADE sont cruciaux pour permettre des interactions fluides pour les utilisateurs et peuvent donc être considérés comme ayant un niveau d’utilité assez élevé pour un projet crypto.

Les détenteurs de tokens MCADE peuvent également participer au staking, s’assurant un revenu passif en échange du soutien à la croissance et à la stabilité de la plateforme, ce qui incite à la détention à long terme. Les récompenses de staking sont distribuées sous forme de stablecoins, ce qui garantit que la valeur du MCADE reste stable. C’est un autre facteur qui montre les nombreuses décisions de conception prises qui visent à favoriser cette philosophie de détention à long terme.

L’une des fonctions les plus remarquables de Metacade est son programme novateur Metagrants, qui crée un espace permettant aux développeurs de jeux de présenter leurs idées et leurs prototypes à la communauté. Cette stratégie unique exploite les droits de gouvernance des détenteurs de MCADE, leur permettant de voter sur les projets qui méritent d’être financés par les fonds de Metacade. Ainsi, les utilisateurs ont directement leur mot à dire sur la trajectoire de la plateforme et sur la variété des options de jeu proposées, ce qui favorise un puissant sentiment d’unité et de collaboration au sein de la communauté.

MCADE est-il la meilleure opportunité d’investissement dans les crypto-monnaies en ce moment ?

Il est clair que l’écosystème P2E innovant de Metacade, son système de récompenses complet et sa forte présence sur le marché en font un concurrent intéressant dans le GameFi.

L’approche unique du projet visant à responsabiliser les joueurs et à intégrer différents styles de jeu et préférences a attiré l’attention des communautés du jeu et des crypto-monnaies. L’utilité étendue du token MCADE, les opportunités de staker et le potentiel de croissance du prix contribuent davantage à son attrait en tant qu’investissement crypto.

Les bases solides de Metacade et son potentiel de croissance à long terme en font une opportunité à considérer pour ceux qui souhaitent tirer parti du secteur en expansion du GameFi, et il n’est pas surprenant que les experts soient d’accord qu’il s’agisse de l’un des meilleurs choix d’investissement en crypto-monnaies disponibles à l’heure actuelle.

Vous pouvez acheter Metacade ici.

(Article sponsorisé)

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Fintech, Blockchain News by Finyear

Nomination | Realease Capital – Gérald Karsenti nommé membre du Conseil de Surveillance

https://www.finyear.com/Nomination--Realease-Capital-Gerald-Karsenti-nomme-membre-du-Conseil-de-Surveillance_a49296.html

Qualium Investissement annonce l’arrivée de Gérald Karsenti, Senior Advisor, au Conseil de Surveillance de REALEASE Capital.

Acteur majeur et dirigeant renommé dans le domaine des technologies, Gérald Karsenti a rejoint Qualium Investissement en qualité de Senior Advisor pour soutenir les ambitions du fonds dans les secteurs IT et Tech et apporter son expertise tant aux équipes d’investissement qu’aux participations

du portefeuille.

Membre actif au sein de divers Conseils d’Administration, il devient désormais membre du Conseil de Surveillance de REALEASE Capital, société dans laquelle Qualium Investissement a acquis une participation majoritaire en février dernier, aux côtés de l’équipe de direction.

REALEASE Capital est l’un des leaders indépendants de la location financière dans les domaines IT, industriel et médical. Le Groupe propose des solutions de financement sur-mesure à une clientèle diversifiée à travers une offre locative complète et agnostique (location financière, location opérationnelle, etc.) adossée à un large panel de modes de financement (cession de contrats, créditbail adossé, auto-portage, etc.). Entretenant des relations privilégiées avec des partenaires bailleurs

REALEASE Capital a enrichi son offre avec des services connexes à forte valeur ajoutée (assurance, contrats évolutifs, etc.).

Fort d’un parc d’actifs de plus de 550 M€, d’un chiffre d’affaires de l’ordre de 190 M€ en croissance de 10% par an, REALEASE Capital entend accélérer son développement avec l’accompagnement de Qualium Investissement. Le Groupe affiche des objectifs ambitieux sur les marchés industriels,

médicaux et les marchés publics, ainsi qu’en matière d’offres innovantes telles que des solutions de financement visant à minimiser l’empreinte environnementale des équipements.

Gérald Karsenti, membre du Conseil de Surveillance de REALEASE Capital, déclare : "Grâce à la stratégie de son management ainsi qu’à une équipe talentueuse et dynamique, REALEASE Capital a enregistré des performances remarquables alliant innovation et excellence dans la qualité de service.

Je suis ravi de participer à cette nouvelle étape dans le développement du Groupe."

Cyril Marlaud, Président de REALEASE Capital, souligne : " Nous nous réjouissons de l’arrivée de Gérald Karsenti au Conseil de Surveillance de REALEASE Capital. Sa vision, son savoir-faire et son expertise dans le secteur de la Tech seront autant d’atouts précieux pour accompagner nos projets de croissance."

A propos de REALEASE Capital

REALEASE Capital est l’un des principaux acteurs de l’ingénierie en location financière pour les secteurs IT, industriel et médical. Né du rapprochement en 2012 entre DDL et Comiris Capital, le groupe est présent sur l’ensemble du territoire via 8 agences (Paris, Lyon, Bordeaux, Nantes, Rennes, Lille, Tours et La Ciotat) et une implantation en Belgique (Bruxelles). REALEASE Capital gère plus de 8 600 contrats, représentant plus de 550 M€ d’actifs financés et réalise un chiffre d’affaires de l’ordre de 190 M€.

www.realease-capital.fr

A propos de Qualium Investissement

Qualium Investissement (« Qualium »), fonds institutionnel de référence, est un acteur historique sur le marché du capital-investissement français avec 1 Md€ sous gestion. Créée en 1998 en tant que filiale de la Caisse des Dépôts dédiée aux opérations non-cotées de capital transmission, Qualium, aujourd’hui indépendante et majoritairement détenue par ses associés, a pour vocation d’accompagner les fondateurs et équipes dirigeantes de PME françaises dans l’exécution de leurs ambitions de croissance et de transformation en ETI leaders de leurs marchés en France et à l’international.

www.qualium-investissement.com

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La CNIL lance une consultation sur l’IA et la Cybersécurité.

https://www.finyear.com/La-CNIL-lance-une-consultation-sur-l-IA-et-la-Cybersecurite_a49297.html

Dans le cadre de sa démarche d’accompagnement sectoriel, la CNIL engage un travail de fond sur les solutions de cybersécurité avancées. L’objectif est double : favoriser la conception de produits et services protecteurs des données, mais également aider les utilisateurs à choisir des solutions conformes au RGPD.

Dans la prochaines semaines, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) lancera une consultation sectorielle auprès de l’écosystème de l’IA et de la sécurité informatique, des utilisateurs et des associations représentatifs afin de définir les produits, solutions et services de Cybersécurité à étudier prioritairement.
Dans un communiqué, elle annonce que "La numérisation croissante de l’activité va de pair avec la pression d’une menace cyber qui se professionnalise. Les solutions de cybersécurité ont évolué vers des technologies mêlant intelligence artificielle, mutualisation et utilisation d’informations diverses, prises de décision automatisée, ou encore analyse du comportement des utilisateurs pour les outils les plus avancés. Ces solutions permettent de répondre à l’obligation de sécurisation des systèmes d’information pour les organismes.

Certaines d’entre elles reposent, cependant, sur la collecte et l’utilisation de données personnelles, parfois à large échelle. Elles peuvent aboutir à des décisions automatisées ayant un impact sur les personnes dans leur rôle de citoyen, d’employé, ou de patient (par exemple, une personne dont l’adresse IP se trouve, à tort, présente dans une plage temporairement bloquée pendant une attaque présumée et dont l’accès lui est nécessaire). Il est nécessaire de trouver le bon équilibre afin de sécuriser les traitements tout en étant protecteur des droits et libertés des personnes."

Rappelons que depuis le 23 janvier 2023 un service dédié à l’intelligence artificielle a été créé pour renforcer "sa compréhension sur les risques engendrés sur la vie privée" et "préparer l’entrée en application du règlement européen sur l’IA".
Des recommandations sur l’usage devraient être bientôt officialisées.

Fintech, Blockchain News by Finyear

Opinion | Ketty Cassamajor – CyberArk. “L’identité décentralisée, une problématique de cybersécurité”

https://www.finyear.com/Opinion--Ketty-Cassamajor-CyberArk-L-identite-decentralisee-une-problematique-de-cybersecurite_a49285.html

D’après l’étude « Identity Fraud 2023 » d’Onfido, si le vol d’identité se stabilise, après un pic lié aux confinements entre 2020 et 2021, il n’en reste pas moins un danger à prendre en compte. Dans la vie de tous les jours, les individus portent sur eux des preuves d’identification : un passeport, un permis de conduire, ou encore une carte d’identité. Ces documents sont d’ailleurs gardés précieusement et protégés. En ligne, il s’agit des noms d’utilisateur et des mots de passe.

Selon nos recherches, il existe en moyenne plus de 30 combinaisons d’identifiants par personne, en France, utilisées pour accéder aux « objets d’identité », stockés par des fournisseurs d’identité (IdP pour Identity Provider) afin de ne pas avoir à les détenir soi-même et d’accéder à tous services en ligne ; des comptes bancaires personnels aux e-mails professionnels. Par exemple, lorsque le mot de passe Google est utilisé pour effectuer un achat en ligne, c’est le fait d’un IdP. Ainsi, Google détient des informations d’identité et les partage avec la plateforme de vente en ligne lorsque l’action est autorisée. En utilisant ce type d’outil, la responsabilité de la protection des données est transférée à un système qui est protégé par un mot de passe. Quiconque le connaît, le vole ou le crack, pourrait donc dérober une identité. En outre, un IdP est sujet aux erreurs et dans la capacité de divulguer des données ou même bloquer l’accès à une identité, et donc à tous les sites utilisant cet IdP.

Avec ces risques, la méfiance des consommateurs croît et ils se demandent désormais si un système tiers doit avoir un contrôle aussi étendu sur leurs données personnelles, en particulier celles les identifiant. La question de l’impact de l’effacement – droit à l’oubli – et la modification de ces informations se pose également. Face à ces interrogations, l’identité décentralisée (DID) est apparue comme une alternative potentielle intrigante.

Le retour de la responsabilité individuelle avec l’identité décentralisée

L’identité décentralisée, aussi appelée identité auto-souveraine ou distribuée, est un cadre ouvert développé pour aider à établir des connexions d’accès uniques et sécurisées entre des parties ou des systèmes sans avoir recours à un « courtier de connexion » tiers.

La DID est conçue pour imiter un portefeuille numérique, dans lequel les utilisateurs stockent leurs différentes identités. Ainsi, chaque individu est seul responsable de la sécurité de ses données et ne communique que le minimum d’informations nécessaires pour établir une connexion sûre et fiable. Il n’y a pas d’échange de mots de passe ; mais une authentification biométrique, avec notamment une empreinte digitale ou une reconnaissance faciale. En parallèle, la technologie blockchain décentralisée sous-jacente permet de garantir l’authenticité du chiffrement et l’inviolabilité des données, ce qui réduit considérablement le risque de fraude.

Concrètement, cet outil fonctionne grâce à la demande de justificatifs vérifiables à diverses entités, telles qu’un service de transports ou une épicerie de quartier, qui sont ensuite stockés dans le portefeuille numérique. Chaque organisation ou « émetteur d’information » en créé un unique qui contient à la fois des données personnelles, pour prouver l’identité, ainsi que des informations d’authentification, spécifiant les permissions ou niveaux d’accès. Des entités différentes exigent divers niveaux d’attestation pour permettre l’échange de données de confiance, et ne permettent pas l’accès aux mêmes services. Pour s’assurer de la légitimité d’une identification, l’émetteur peut également jouer le rôle de « vérificateur », comme l’agent de police lors d’un contrôle routier.

En redonnant aux individus le contrôle de leurs propres données d’identité, la DID est un concept avec de nombreux avantages. Cependant, comme tout changement technologique majeur, il présente de nombreux défis. Tout d’abord, convaincre les utilisateurs d’accepter un changement aussi important

dans leurs habitudes quotidiennes. Il s’agit effectivement d’une transformation des mentalités qui demandera du temps et un effort important. Ensuite, il y a les contraintes technologiques, comme la normalisation et la maturité technologique. Une autre problématique à prendre en compte est celle du RGPD et du droit à l’oubli, lorsque l’individu souhaitera éliminer son empreinte numérique. Mais le plus grand obstacle est peut-être la gestion et la sécurisation de la surface d’attaque massive créée par la DID.

La face cachée de la DID : des risques de cybersécurité

La surface d’attaque de l’identité décentralisée réside dans plusieurs failles propres à sa nature : le code de la blockchain, la vulnérabilité des utilisateurs humains, les cookies post-autorisation, et les nœuds informatiques. Dans les systèmes décentralisés, tout est basé sur une blockchain puisqu’elle est utilisée pour stocker les opérations d’identité, depuis la création, jusqu’à la révocation des clés, en passant par la restauration. Chaque blockchain contient des nœuds (ou nodes) utilisés pour valider les transactions, les écrire et les lire. La blockchain et ses nœuds sont tous deux constitués de codes et sont donc susceptibles de contenir des bogues, dont certains peuvent s’avérer être des problèmes de sécurité ou des vulnérabilités. Ainsi, chaque mise en œuvre de DID introduit une surface d’attaque différente par son stockage dans la blockchain.

En outre, l’activité humaine peut également être faillible et présenter un risque d’identité. En fin de compte, les systèmes distribués sont aussi sûrs que les clés privées qui les font fonctionner. Or, ce sont les humains, sujets aux erreurs, qui stockent et utilisent ces clés. À cet égard, la promesse de la DID est une arme à double tranchant. Aussi, une identité centralisée standard entraine la réception d’un cookie ou un token d’accès qui identifiera la session durant la prochaine utilisation. Lors d’une authentification à un service en utilisant DID, l’identité pourrait dépendre d’un seul cookie et non du système décentralisé. Or, si un malware est présent sur le téléphone ou l’ordinateur portable utilisé pour la connexion, il peut potentiellement dérober ce cookie, ou token, une fois le flux d’authentification DID terminé.

Un autre problème de sécurité propre aux systèmes distribués réside dans le processus d’établissement de la confiance entre un client et un nœud. Une personne ordinaire ne peut pas lire ou suivre une blockchain complète, les nœuds doivent le faire, tout en fournissant des données fiables pour l’infrastructure. Pourtant, certains nœuds peuvent être malveillants, et un cybercriminel peut essayer d’intercepter la communication de l’utilisateur avec ce nœud afin de modifier les données. Bien que divers systèmes cherchent à résoudre ce problème, il s’agit d’un défi permanent pour tous les systèmes décentralisés, dont ceux d’identité.

De plus, les défis traditionnels en matière de sécurité ne disparaissent pas avec la blockchain. Chaque système distribué doit en effet avoir un certain degré de connexion avec le monde réel et d’autres systèmes hors chaîne. Ces systèmes – des gestionnaires de demandes d’API de nœuds aux ponts entre les registres et les systèmes « classiques » (c’est-à-dire les bases de données relationnelles ou NoSQL, la logique métier des intergiciels ou le code d’application frontal) – sont sensibles à toutes les cybermenaces « ordinaires ».

Des années de mots de passe faibles et d’usurpation d’identité endémique ont mis en évidence la nécessité de disposer de moyens plus solides et plus sûrs d’authentification. L’identité décentralisée offre des possibilités intéressantes, mais elle présente également des défis en matière de cybersécurité et de nouvelles surfaces d’attaque. La technologie DID elle-même en est encore à ses débuts. Il faudra une collaboration étroite des experts du secteur pour surmonter ses vulnérabilités, pour que la DID devienne à l’avenir un moyen efficace de prouver « je suis qui je dis être ».

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Etude | Coinhouse et Deloitte lancent leur baromètre pour jauger la maturité WEB3 des entreprises.

https://www.finyear.com/Etude--Coinhouse-et-Deloitte-lancent-leur-barometre-pour-jauger-la-maturite-WEB3-des-entreprises_a49293.html

Le Web 3, un enjeu stratégique et financier pour les entreprises ? C’est sous ce titre que paraît aujourd’hui le premier baromètre Coinhouse & Deloitte. Pour mesurer l’impact de ce WEB 3, 21 questions ont été posées à un échantillon d’une centaine d’entreprises. Pour 2/3 d’entre elles, le Web3 n’est pas dans leur coeur de métier. Cependant, 39 % d’entre elles disposent d’un département qui supervise les sujets Web3.

En développement depuis plusieurs années, le Web3 et ses cas d’usage sont aujourd’hui encore majoritairement perçus au sein de l’entreprise comme des sujets technologiques. Principalement portés par les Directions techniques (relevant du numérique, de l’innovation ou du digital), il est intéressant de constater que les Directions Marketing sont pour le moment peu impliquées dans les projets afférents au Web3. Il en va de même pour les Directions Financières et Juridiques, qui sont très peu citées par les répondants également dans la prise en considération du Web3 et de ses applications alors que les enjeux financiers et règlementaires sont pourtant de taille.

« Les technologies qui soutiennent le développement du Web3 datent de 2019, il est normal que l’adoption de telles innovations prennent du temps. Toutefois, l’intérêt des entreprises est bien là et il est croissant. Nous avons d’abord aidé des entreprises à établir une présence dans le métaverse en

leur permettant de sélectionner et d’acheter un terrain et , depuis plusieurs mois, nous accélérons notre développement en permettant aux entreprises de générer du chiffre d’affaires avec le Web3 et les cryptos. Les trimestres à venir seront marqués par un essor de projets Web3 grand public dans des

secteurs d’activités variés »
rappelle Nicolas Louvet, CEO de Coinhouse

Transferts internationaux et solutions de paiements

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises reconnaissent être confrontées à des difficultés en matière de transferts et de paiements vers l’international. Pour les répondants, le « coût » est cité comme étant le principal frein lors de la réalisation de virements internationaux, suivi du « délai » qui arrive

en 2ème position. Il ressort de notre étude que 59% des acteurs spécialisés dans le Web 3 et ses solutions déclarent avoir recourt aux crypto-actifs dans le cadre de transferts internationaux pour diminuer leurs coûts d’exécution. A contrario, les acteurs traditionnels sont encore peu nombreux à les utiliser à cet effet avec 7% des répondants. Cette réticence des acteurs traditionnels peut notamment s’expliquer par

une méconnaissance de ce type d’actifs, un contexte global de l’écosystème peu favorable ainsi qu’une faible visibilité sur les aspects réglementaires.

« Ces nouveaux actifs posent en effet de nombreuses questions, techniques, réglementaires, ou encore comptables. Dans ce contexte, le dialogue et la co-construction -entre acteurs traditionnels et spécialisés, régulateurs et auditeurs-sont clé pour faire émerger des réponses permettant de maximiser

le potentiel de cette technologie et la confiance réciproque »
précise Marie-Line Ricard, Associée Global FSI Audit & Assurance Blockchain &Web3 Leader chez Deloitte.

Aussi, les acteurs déclarant avoir recourt aux cryptos actifs privilégient les Stablecoins dans le cadre de transferts internationaux, et l’ETH pour réaliser des paiements ou règlements. Les acteurs institutionnels de plus en plus engagés dans les NFT et le Métavers

L’exposition médiatique accordée ces derniers mois aux NFT a attisé la curiosité de nombreuses entreprises qui s’y engagent progressivement. Ainsi, 92% des répondants déclarent savoir ce qu’est un NFT et affirment en connaitre des cas d’usage concrets dans les secteurs phares. De plus, 50% des

répondants assurent avoir déjà réalisé un projet incluant l’utilisation de NFT au cours des derniers mois (35% chez les acteurs traditionnels et 72% chez les acteurs spécialisés).

En ce qui concerne les raisons qui incitent les entreprises à s’engager dans l’utilisation de NFT, les organisations interrogées citent en premier lieu la volonté de proposer une nouvelle expérience client, puis de développer l’image de marque, et enfin de lutter contre la contrefaçon.

Au sujet du métavers, 38% des répondants à l’étude assurent aujourd’hui être présents dans un métavers (ou y avoir d’ores et déjà mené une expérimentation). En lien avec les réponses recueillies, le métavers apparaît au même titre que les NFT comme un moyen de renforcer son image de marque et de proposer une nouvelle expérience, notamment dans le cadre du lancement de nouveaux produits. Il est intéressant de constater que le métavers est identifié par les entreprises comme un outil relevant du marketing et de la communication, sans en attribuer le pilotage aux Directions

concernées.

« Malgré l’instabilité normative et économique, 2022 a été une année clef dans l’appropriation et le développement du Web3 et de ses cas d’usage pour les entreprises françaises. A l’avenir, ce phénomène pourra s’étendre encore davantage, notamment chez les acteurs traditionnels qui restent encore à

convaincre du fait de l’incertitude réglementaire. »
souligne Julien Maldonato, Associé Digital Trust & Innovation Leader chez Deloitte

Toutefois, « l’accroissement du nombre de Prestataires de Services sur Actifs Numériques (PSAN) enregistrés en France (dont Coinhouse), la mise en place du règlement européen MiCA ou encore la récente entrée en vigueur du régime pilote sur les Security Tokens, permettent de rassurer les

entreprises traditionnelles
», précise Céline Moille, Senior Manager, Deloitte société d’Avocats.

Une hausse progressive des investissements

En matière d’investissements, l’étude révèle que près de la moitié des interrogés réalisent déjà des investissements en crypto-actifs. Parmi ceux qui n’ont pas encore franchi le cap, 32% envisagent d’y recourir prochainement.

Parmi les freins évoqués par les acteurs traditionnels, la volatilité, le manque de compréhension ou encore la crainte d’un impact réputationnel négatif apparaissent comme les principaux points bloquants. De leur côté, les répondants spécialisés mettent également en avant la volatilité ainsi que

le refus de leurs partenaires bancaires.

« Les entreprises ont certes des craintes vis-à-vis de la crypto. Toutefois en faisant appel un acteur régulé, français tel que Coinhouse, qui est seul à disposer d’une équipe de professionnels pour accompagner ces entreprises, répondre à leurs questions variées (pédagogie, fiscalité, analyse

marché,…), les freins sont en grande partie levés. La part des entreprises dans le chiffre d’affaires de Coinhouse est passée de 17% en 2020 à 45% en 2022, l’engouement est croissant et les besoins variés : diversification des placements financiers, paiement transfrontalier simplifié et moins cher, paiement de fournisseurs, acceptation de crypto comme moyen de paiement pour la vente de biens et services. »
rappelle Nicolas Louvet, CEO de Coinhouse.

TELECHARGER L’ETUDE

Focus méthodologique :

L’étude « Web3, un enjeu stratégique et financier pour les entreprises », a été réalisée dans le cadre d’une collaboration entre Deloitte et Coinhouse.

Elle a été menée sur un échantillon d’une centaine d’entreprises, tous secteurs confondus, exerçant en France. L’étude repose notamment sur les contributions d’acteurs traditionnels (59%) et d’acteurs spécialistes du Web 3 (41%). Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne. Elles se sont déroulées sur la période allant de janvier à mars 2023.

Etude | Coinhouse et Deloitte lancent leur baromètre pour jauger la maturité WEB3 des entreprises.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc…) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement.

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Fintech, Blockchain News by Finyear

Italy, digital payment firms and retailers at odds over deal to cut fees

https://www.finyear.com/Italy-digital-payment-firms-and-retailers-at-odds-over-deal-to-cut-fees_a49294.html

Italy is struggling to broker a deal between payments firms, banks and retailers to cut fees on electronic transactions, two sources familiar with the matter told Reuters on Wednesday, raising the prospect of a windfall tax on the financial sectors. (ROME, April 5 – Reuters)

The cost of digital payments has taken centre stage in Italy, with the right-wing administration led by nationalist Prime Minister Giorgia Meloni trying to deal with complaints by retailers about the fees.

Rome wants the parties to agree to reduce fees on electronic transactions worth up to 30 euros ($32.87) for businesses with annual revenues of up to 400,000 euros.

Meloni has made clear she is ready to impose a "solidarity contribution" equivalent to 50% of the net proceeds from those transactions without a deal, which was initially supposed to come by the end of March.

The scheme being discussed would envisage zero fees on payments worth up to 10 euros, with decreasing fee cuts between 11 and 30 euros, but some financial firms are dragging their feet on such a solution, according to one of the sources.

A meeting between all involved parties is now scheduled for April 20, a second source said confirming the deal is still elusive.

The proposed windfall tax, if introduced, would hit Italian payments company Nexi (NEXII.MI), but would also affect banks that receive a portion of the fees paid by merchants.

With the highest median age in the EU, Italy is a digital laggard: card payments account for 32% of the total, below Europe’s 47%, but sharply up from 17% in 2017, data by Nexi showed.

Meloni promoted the talks to cut fees after her government in December backtracked on a proposal to cut sanctions against shopkeepers refusing to accept digital payments, following criticism from the European Commission.

Supporters of cash payments argue they save shopkeepers banking fees, while critics including Italy’s central bank say that reducing regulatory curbs on cash would fuel the black economy.

Tax evasion in Italy is estimated by the Treasury at around 90 billion euros, down from 106 billion euros of 2015.

($1 = 0.9127 euros)

Editing by Conor Humphries

Our Standards: The Thomson Reuters Trust Principles. (REUTERS)

Fintech, Blockchain News by Finyear

EU’s new crypto asset rules don’t go far enough – ECB’s McCaul

https://www.finyear.com/EU-s-new-crypto-asset-rules-don-t-go-far-enough-ECB-s-McCaul_a49295.html

The European Union’s proposed regulations for crypto assets do not go far enough, and safeguards need to be strengthened to capture risks adequately, European Central Bank supervisory board member Elizabeth McCaul said on Wednesday.

The European Parliament is set to vote on the Markets in Crypto-assets (MiCA) bill later this month, taking a big step in providing oversight of the crypto world after a series of scandals and collapses.

"While the new Basel standard and MiCA are important milestones, I am afraid they will not be sufficient on their own," McCaul said in a blog post.

"In line with the principle of proportionality, significant crypto-asset service providers should be subject to both stricter requirements and enhanced supervision: neither of the two is catered for by MiCA," she argued.

Another issues is how the size of crypto-asset service providers is measured because the now-collapsed crypto exchange FTX would not have counted as significant given how the firm was organised.

"In fact Binance, which is the largest crypto player, is alleged to have between 28 million and 29 million active users worldwide, but would probably not even meet the threshold to be classified as significant in the EU," McCaul said.

The crypto world has been rocked by high-profile failures, bankruptcies and fraud over the past year, but the value of many assets has still risen in the past month as worries about the health of the banking sector prompted some to move away from bank deposits.

McCaul argued that new quantitative metrics are needed that could take into account the type of business, such as volume for trading platforms or assets under custody for custodian businesses.

She said that thresholds needed to be measured at group level rather than at individual entity level, given the complexity of operations. The same goes for conflicts of interest, which must be identified across the group and at affiliated entities, McCaul said.

Reporting by Balazs Koranyi; Editing by Bernadette Baum – Reuters

Fintech, Blockchain News by Finyear

l’Americain Acorns rachète Pixpay & GoHenry

https://www.finyear.com/l-Americain-Acorns-rachete-Pixpay-GoHenry_a49292.html

l’Américain Acorns, spécialisée dans le micro-paiement et le système "d’arrondi’" rachète la néobanque britannique GoHenry qui avait elle-même racheté le Français Pixpay en août 2022. Objectif affiché. Démocratiser l’accès à l’épargne, à l’investissement et à la gestion d’un budget à toutes les étapes de la vie. Avec cette acquisition, l’entreprise va étendre son activité dans 4 pays européens : Royaume-Uni, France, Espagne et Italie. L’Américain arrive en Europe et grimpe à 6 millions de clients.

Encore un rapprochement voire un mouvement de concentration dans les Fintechs ? Acorns, une application américaine qui démocratise l’accès à l’épargne et à l’investissement, annonce aujourd’hui avoir finalisé le rachat de GoHenry et de Pixpay.

Pixpay et GoHenry s’étaient rapprochés en 2022, établissant ainsi un leader de l’éducation financière pour les enfants et les adolescents. L’acquisition de GoHenry et Pixpay par Acorns marque une accélération de cette feuille de route : l’entreprise combinée disposera d’une offre complète à destination des enfants, des adolescents mais aussi des adultes, pour les préparer à un avenir financier plus radieux en leur donnant les outils pour apprendre à gérer leur argent à tout âge de la vie.

En 2020, Acorns avait réalisé une première incursion dans le bien-être financier des familles avec le lancement de son offre Acorns Early, un produit d’investissement permettant non seulement aux parents, mais également à la famille ou aux amis d’investir facilement pour l’avenir d’un enfant, et ce dès le berceau. Une nouvelle étape est franchie aujourd’hui : il sera désormais possible pour tous et à tout âge de gérer son argent simplement, de façon responsable.

Ensemble, Acorns, GoHenry et Pixpay cumulent plus de 6 millions de clients. Aux Etats-Unis, GoHenry va devenir GoHenry by Acorns. En France, en Espagne, en Italie et au Royaume-Uni, Pixpay et GoHenry continueront à opérer sous leurs propres marques et sur leurs cibles actuelles.

Cette alliance mondiale fait la preuve que le secteur des finances personnelles – et plus spécifiquement le segment des adolescents, encore largement sous-investi – est en pleine ébullition.

“Tous les enfants du monde méritent d’avoir accès à des outils pour apprendre à gérer leur argent et à devenir financièrement responsable”, déclare Noah Kerner, le CEO d’Acorns. “La mission de GoHenry et de Pixpay est complètement en phase avec celle d’Acorns. Ensemble nous allons pouvoir aller encore plus vite et plus loin et aider chaque personne à gérer son argent facilement, à tous les moments de sa vie. ”

Benoit Grassin, le cofondateur de Pixpay, ajoute : “Ces dernières années, nous avons aidé des millions de jeunes à devenir financièrement responsables. C’est notre mission. Grâce à l’acquisition réalisée par Acorns, nous allons pouvoir toucher des millions de jeunes supplémentaires. Tant mieux, car dans le contexte actuel, il est indispensable d’aider les enfants, les adolescents et les adultes à développer de bonnes habitudes en matière d’argent, à l’aide d’outils simples et bien pensés. Par ailleurs, rien ne change pour nos équipes au Royaume-Uni, en France, en Espagne et en Italie, mais nous saurons saisir les opportunités nouvelles qu’apporte ce rapprochement stratégique”

À propos de Pixpay :

Fondée en France en 2019 par Benoit Grassin, Nicolas Klein et Caroline Ménager, Pixpay propose une alternative aux banques pour les ados dès 10 ans. Son ambition : aider les enfants à bien gérer leur argent dans un monde sans cash. Pixpay propose aux adolescents une carte de paiement Mastercard et une application mobile qui leur permet de payer, d’être payés, d’économiser ou encore d’obtenir des réductions sur leurs marques préférées. Elle dispose également d’une application mobile pour les parents, leur offrant une solution sécurisée, pédagogique et pratique pour suivre et

accompagner leurs enfants au quotidien.

À propos de GoHenry :

Pionnier de l’éducation financière pour les 6-18 ans, GoHenry est une application d’éducation financière et une carte de débit prépayée avec des leçons d’argent gamifiées dans l’application, conçues pour apprendre aux enfants et aux adolescents à gérer intelligemment leur argent dès leur plus jeune âge.

Lancée en 2012, GoHenry aide les jeunes à se familiariser avec l’argent en leur permettant d’acquérir des compétences essentielles en matière de gestion financière adaptées à leur âge, qu’ils peuvent mettre en pratique dans un environnement sûr, le tout sous le contrôle des parents.

Les leçons d’éducation financière in-app de GoHenry, Money Missions, renforcent cet apprentissage dans la vie réelle avec un moyen interactif, gratifiant et amusant pour les enfants et les adolescents d’acquérir des compétences financières essentielles pour la vie. GoHenry, qui a créé une nouvelle catégorie d’éducation financière lors de son lancement il y a dix ans, compte aujourd’hui plus de deux millions de membres au Royaume-Uni et aux États-Unis et, plus récemment, en France, en Espagne et en Italie, grâce à l’acquisition de Pixpay.

A propos d’Acorns

Acorns permet à tout un chacun d’épargner et d’investir à long terme. À ce jour, ses clients ont investi plus de 16 milliards de dollars avec Acorns. En mettant les meilleurs outils de pilotage et d’investissement financier à la portée de tous, Acorns est devenu l’un des plus grands services financiers par abonnement aux États-Unis, comptant plus de 4,5 millions d’utilisateurs aux USA. Ses derniers bénéficient ainsi d’investissements automatisés dans

des portefeuilles diversifiés, d’un produit de retraite simple, d’un compte bancaire qui les aide à dépenser moins pour investir plus, et d’investissements bonus de 17 000 marques générés pendant qu’ils font leurs courses. En outre, les utilisateurs peuvent facilement investir pour l’avenir de leurs enfants. Le tout à partir de la même application !

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Fintech, Blockchain News by Finyear

KKR Closes Sixth European Private Equity Fund at $8.0 Billion

https://www.finyear.com/KKR-Closes-Sixth-European-Private-Equity-Fund-at-8-0-Billion_a49291.html

KKR, a leading global investment firm, today announced the final closing of European Fund VI (“the Fund”). At $8.0 billion, it is KKR’s largest European Private Equity fund to date, following the $6.6 billion fund in 2019, inclusive of the GP commitment. The new Fund will be focused on private equity investments primarily in the developed economies of Western Europe.

Philipp Freise, Co-Head of KKR European Private Equity, said, “KKR has been investing in Europe for nearly twenty-five years and we believe the opportunity today has never been greater. We see enormous potential for transformational investment behind structural trends that are reshaping the European economy, including digitalization, healthcare and sustainability.”

Co-Head of KKR European Private Equity Mattia Caprioli added, “We look forward to supporting founders, family businesses, and companies looking for the right strategic partner to help take their business to the next level.”

KKR’s successful track record in Europe is based on a combination of a strong on-the-ground presence and expertise with additional access to the global network and resources that the firm offers. Over 100 professionals, including 57 European Private Equity executives, 25 KKR Capstone Europe members, and additional professionals across KKR Capital Markets, Public Affairs and KKR’s EMEA Macro team, work across eight European offices and comprise over 15 European nationalities, providing deep local market knowledge to portfolio companies. This expertise is supplemented by KKR’s global network drawing on the knowledge and skills of additional members across the firm, including the KKR Global Institute and KKR’s Senior Advisors.

Alisa Amarosa Wood, Partner and Head of the Global Private Markets and Real Assets Strategies Group at KKR, said, “We’re delighted that our European team’s deep conviction in the investment opportunity ahead is shared by our investors, many of whom are not only choosing to reinvest but also to increase their commitment to our European franchise. Raising this fund in the current market environment demonstrates the strong investor confidence in our European team and platform, and our long track record of delivering value and outstanding results.”

Through the Fund, KKR will continue to invest alongside family owners, founders, entrepreneurs and corporates, providing flexible capital for strategic partnership transactions, platforms for expansion and corporate carve-outs. KKR will be making a significant commitment to the Fund, investing over $1.0 billion alongside investors from the Firm’s balance sheet and employee commitments.

KKR’s European private equity platform, which is part of the firm’s $165 billion global private equity business, is currently managing a combined $28.31 billion in assets under management. The current portfolio includes investments in over 45 companies across Western Europe.

Debevoise & Plimpton LLP represented KKR as primary fund counsel for this fundraise.

About KKR

KKR is a leading global investment firm that offers alternative asset management as well as capital markets and insurance solutions. KKR aims to generate attractive investment returns by following a patient and disciplined investment approach, employing world-class people and supporting growth in its portfolio companies and communities. KKR sponsors investment funds that invest in private equity, credit and real assets and has strategic partners that manage hedge funds. KKR’s insurance subsidiaries offer retirement, life and reinsurance products under the management of Global Atlantic Financial Group. References to KKR’s investments may include the activities of its sponsored funds and insurance subsidiaries. For additional information about KKR & Co. Inc. (NYSE: KKR), please visit KKR’s website at www.kkr.com and on Twitter @KKR_Co.

1 Europe Private Equity, Core and Growth AUM as of 31st December 2022

Fintech, Blockchain News by Finyear

Banque d’affaires : alliance entre l’Européenne Carlsquare et la californienne Capital Clarity.

https://www.finyear.com/Banque-d-affaires-alliance-entre-l-Europeenne-Carlsquare-et-la-californienne-Capital-Clarity_a49290.html

Pour renforcer son offre de services auprès de ses clients en Europe, la banque d’affaires Carlsquare fusionne avec Capital Clarity, basée au cœur de la Silicon Valley. Carlsquare et Capital Clarity sont toutes deux spécialisées dans les secteurs de la technologie. Susan Blanco et John A. Cooper, cofondateurs de Capital Clarity, deviennent associés et actionnaires de Carlsquare.

Indépendamment des événements macroéconomiques et politiques mondiaux, le volume de transactions (fusions acquisitions et levées de fonds) transfrontalières entre l’Europe et les États-Unis augmente, en particulier pour les jeunes entreprises Françaises technologiques qui déploient leur

business model aux Etats Unis.

"Capital Clarity a son siège dans la Silicon Valley, le plus grand hub technologique du monde. Nos clients européens ont désormais un accès direct au marché nord-américain. Ils bénéficient du soutien d’experts en fusions acquisitions qui disposent d’un vaste réseau et d’un track record conséquent. Avec notre présence aux États-Unis, nous franchissons une nouvelle étape de notre développement en tant que société de conseil active à l’échelle mondiale", explique Michael Moritz, fondateur et PDG de Carlsquare, à l’origine de cette opération.

L’équipe américaine est un pilier important de l’offres de services auprès des clients de Carslquare qui souhaitent accélérer leur croissance. "Nous partageons les mêmes valeurs fondamentales et les mêmes principes fondateurs. Nos deux sociétés se concentrent sur le conseil en fusions acquisitions exécuté de manière pragmatique dans le cadre de missions stratégiques en confiance avec nos clients, fondateurs, investisseurs et/ou équipes de direction. Nous croyons tous deux à la dynamique de croissance transfrontalière", déclare Susan Blanco, fondatrice et associée gérante de Capital Clarity.

La croissance solide se poursuit

Carlsquare, fondée à Hambourg, a triplé son chiffre d’affaires depuis 2019. San Francisco devient le neuvième bureau à l’échelle mondiale et le deuxième à ouvrir depuis le début de l’année 2023 après le lancement réussi de son bureau à Paris en 2022 avec une équipe emmenée par Alex Carré de Malberg et Berthold von Stauffenberg.
En janvier, Daniel Gebler et son équipe ont lancé l’activité de Debt Advisory de Carlsquare à Francfort. Depuis 2021, Carlsquare a conseillé plus de 100 transactions avec un volume moyen d’environ 100 millions d’euros. Les équipes de Carlsquare dénombrent aujourd’hui plus de 150 banquiers conseils représentant 20 nationalités. L’équipe de Capital Clarity qui a conseillé plus de 100 milliards de dollars de transactions pour le compte d’entreprises du secteur de la technologie aux États-Unis et en Europe va contribuer à la croissance de Carlsquare.

À propos de Capital Clarity

Capital Clarity est une banque d’affaires indépendante, fondée en 2019, spécialisée dans les fusions et acquisitions et les levées de fonds dans le secteur des technologies. Capital Clarity propose une approche innovante de la banque d’investissement qui met l’accent sur des partenariats long terme avec les investisseurs et les équipes de gestion. L’équipe dirigeante de Capital Clarity possède une expérience cumulée de 80 ans dans les domaines du conseil financier, des fusions et acquisitions, du capital-développement et du capital-investissement. Capital Clarity associe son expertise en matière de conseil à une connaissance approfondie du secteur et à des relations de longue date avec les acquéreurs et les investisseurs afin de délivrer des performances solides à ses clients. Capital Clarity a ainsi conseillé par exemple, la société Neudesic dans le cadre de son acquisition par IBM, XPS Technologies dans le cadre de son acquisition par Descartes Systems Group (TSX : DSG)
(Nasdaq : DSGX), Actando SA dans le cadre de son acquisition par Red Nucleus, une société de portefeuille de The Riverside Company, et F2 Healthcare dans le cadre de son acquisition par Meduit.

A propos de Carlsquare

Carlsquare est une banque d’affaires indépendante fondée en 2000 spécialisée dans les fusions et acquisitions et les levées de fonds dans le secteur des technologies. Elle assiste les acteurs de la technologie et les entreprises en croissance à passer à l’étape suivante de leur développement.

Carlsquare intervient aussi dans le cadre d’introductions en bourse et la mise en place de solutions de financements structurés. Fondée à Hambourg, par Michael Moritz et Mark Miller, Carlsquare est actuellement dirigée par 18 associés au niveau international, dont Alex Carré de Malberg et Berthold

von Stauffenberg à Paris.
Le cabinet dispose de neuf bureaux en Europe et aux États-Unis. Parmi les transactions récentes sur lesquelles Carlsquare a été conseil, notons la vente de The Quality Group à CVC, d’Avrios à Battery Ventures, de TorAlarm à Axel Springer, d’OceansApart à Altor et Auster Capital et l’acquisition du premier opérateur Internet mondial Telia International Carrier par Polhem Infra.

Michael Moritz, fondateur et PDG de Carlsquare

Michael Moritz est l’un des fondateurs de Carlsquare. Il a étudié au Albion College dans le Michigan, aux États-Unis, puis l’économie et le droit à Fribourg, Berlin, Bonn et Cologne. Il a débuté sa carrière à la Treuhandanstalt à Berlin. Après une expérience chez Doertenbach & Co., il a fondé Carlsquare avec Mark Miller en 2000. Michael Moritz a conseillé plus de 200 transactions au cours des 30 dernières années. Avec 22 transactions réalisées entre mars 2021 et aujourd’hui, il figure en première place de l’Individual League Table" de Mergermarket et est donc le conseiller le plus actif en matière de fusions acquisitions en Allemagne.

Mark Miller, fondateur de Carlsquare

Mark Miller est l’un des fondateurs de Carlsquare. Il a étudié l’économie et le business à l’université de Witten / Herdecke et à l’université du Texas à Austin. Il a travaillé pour la Deutsche Bank en gestion d’actifs et en tant qu’analyste chez Bertelsmann AG. Au total, il a conseillé plus de 100

transactions. Avec 19 transactions entre mars 2021 et aujourd’hui, Mark Miller figure en seconde place de l’"Individual League Table" de Mergermarket.

Susan Blanco, fondatrice et associée directrice Capital Clarity

Susan Blanco est co-fondatrice et associée de Capital Clarity. Fondatrice à succès et leader reconnue dans le domaine de la banque d’investissement dans le secteur de la technologie, Susan possède une solide expérience en matière de fusions acquisitions, de recapitalisation et de levée de capitaux publics et privés. Elle a réalisé de nombreuses transactions pour des entreprises publiques et privées dans le capital-investissement et des entreprises mondiales telles que IBM, Hitachi, Intuit, McKesson, Verisk, British Telecom, Sabre et Google. Auparavant, Susan a été directrice générale et responsable du capital-investissement chez SNH Capital pour la côte ouest des États-Unis, directrice générale du groupe technologique de Houlihan Lokey, cofondatrice et directrice générale d’ArchPoint Partners et vice-présidente chez J.P. Morgan. Susan est titulaire d’une licence en ingénierie physique de

l’université de Californie (Berkeley) et d’une maîtrise en science et ingénierie des matériaux de l’université de Stanford. Passionnée par l’impact social dans la région de la baie de San Francisco, Susan siège au comité de direction de Tipping Point Community. Elle a été aussi présidente du conseil

d’administration de Second Harvest of Silicon Valley. Elle est aujourd’hui conseillère pour le programme Skydeck Accelerator de l’université de Berkeley.

John A. Cooper, fondateur et associé directeur général de Capital Clarity
John A. Cooper est co-fondateur et president de Capital Clarity. Leader et conseiller respecté des entreprises du secteur de la technologie et de l’informatique dans le domaine de la santé, il a dirigé de nombreuses fusions, acquisitions, investissements et recapitalisations au sein de sociétés publiques et privées. Auparavant, il était responsable d’investissement dans le domaine de la technologies chez Houlihan Lokey, ArchPoint Partners et Montgomery & Co. Il a été président de l’incubateur de logiciels ThinkTank financé par SoftBank et il a dirigé les activités de M&A successivement chez Microsoft, McKesson, First Data et American Express. Il est titulaire d’une licence en commerce et en finance de l’université du Minnesota et a suivi des

études supérieures en leadership exécutif au Massachusetts Institute of Technology (MIT). Défenseur convaincu de l’aide et des services en matière de santé mentale et de la recherche sur les sciences liées au cerveau, John Cooper a créé la Halestreet Foundation et le Dr. Daniel C. Cooper Endowment Fund à l’université de Brown afin de soutenir ces travaux

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Fintech, Blockchain News by Finyear

Web3 : l’agence Renaissance lève 1m€ en pre-seed auprès de Founders Future, Bpifrance et de business angels

https://www.finyear.com/Web3-l-agence-Renaissance-leve-1m-en-pre-seed-aupres-de-Founders-Future-Bpifrance-et-de-business-angels_a49289.html

Renaissance, agence spécialiste des nouveaux univers (web3, métavers, NFTs…), annonce aujourd’hui sa levée de fonds en pré-seed d’1 million d’euros auprès de Founders Future, Bpifrance et de business angels reconnus dans l’innovation, dont Sébastien Borget (The Sandbox), Guillaume Gibault (Le Slip Français), Bilal El Alamy (Pyratz Lab) ou encore Antoine de Tavernost (Auditoire). Son objectif : continuer à développer les solutions web3 des marques et devenir la référence française et européenne du conseil de ce secteur.

Agence pionnière dans le web3 et lancée en 2021 par Adrien Ohannessian et Alexis Delamare Deboutteville, Renaissance accompagne les marques et les artistes dans la création d’expériences uniques pour leur communauté dans l’univers du web3.

La start-up française compte déjà de grands noms parmi ses clients comme Renault, Evian, Dom Pérignon, Tag Heuer ou encore Universal Music.

Grâce à une première levée de fonds d’1m€ en pré-Seed, Renaissance souhaite continuer à se développer et à renforcer son expertise en recrutant une dizaine de nouveaux collaborateurs dès cette année.

Ancien directeur de l’innovation chez Universal Music, à l’affût des nouvelles tendances, Adrien constate dans le web3 un bouleversement culturel et technologique profond. La décentralisation donne naissance à des concepts nouveaux comme la “propriété digitale” ou “la rareté digitale”, à l’opposé des habitudes de notre époque : streaming, réseaux sociaux, où rien ne nous appartient. Adrien y voit une opportunité pour les artistes et les marques de créer de la valeur et se réapproprier la relation avec leur fans.

Une réflexion qu’il partage avec Alexis Delamare Deboutteville, rencontré au fil de ses projets chez Universal Music. Alexis a quant à lui occupé plusieurs postes de CTO dans divers domaines (data, IA, DevOps). Programmeur autodidacte, il voit dans le web3 un moyen de revenir aux fondamentaux du web. C’est ainsi qu’ils lancent ensemble Renaissance en 2021.

Une technologie au service des marques, une culture proche des communautés

Experte du web3 et de ses codes, adoptant un esprit collaboratif Renaissance réunit depuis 2021 marques et artistes d’exception autour de projets uniques en leur genre. Renaissance a fait des expériences sur mesure sa marque de fabrique : au service de Dom Pérignon pour interpréter les flacons de Lady Gaga en NFT, d’Evian pour concevoir une exploration immersive autour des œuvres de Sara Shakeel, aux côtés de l’artiste Jacques pour fractionner la propriété de son single en NFT ou encore à l’origine de l’entrée de Booba dans le web3.

L’agence a également accompagné tout récemment le constructeur automobile Renault dans la création de sa marque web3 “R3NLT”. Sa première collection “genR5” constituée de 1972 NFTs en hommage à l’iconique R5, a trouvé son public en seulement quelques heures.

Soucieux d’embarquer une nouvelle génération d’utilisateurs dans le web3, Renaissance apporte un soin particulier à la dimension technique de ses réalisations. Chaque nouveau projet gomme les points de friction afin d’offrir aux communautés l’accès le plus fluide possible aux marques et artistes. Le modèle proposé par Renaissance se veut technologiquement agnostique : blockchain et plateforme sont adoptées selon leur pertinence et les besoins de chaque client, qu’il s’agisse d’Ethereum, Polygon ou encore Tezos.

De fortes ambitions pour l’avenir

Au terme d’une année 2022 particulièrement fructueuse, Renaissance élève avec ce premier tour de table sa présence dans le web3, segment dans lequel elle incarne, déjà, une référence française et européenne. Dès le début de 2023, Renaissance a notamment été distinguée par une première place au classement du Journal du Net des agences créatives du web3 et deux nominations pour le meilleur projet web3 Corporate aux Big Whale 2023 Awards.

Grâce à cet investissement, et portée par ses liens avec la communauté web3, – Adrien Ohannessian et Alexis Delamare Deboutteville sont également co-fondateurs de la NFT Factory, avec plus de 120 professionnels du secteur – Renaissance aspire désormais à doubler ses effectifs en recrutant une dizaine de collaborateurs en 2023. L’agence poursuit également le développement de ses propres solutions technologiques pour toujours mieux accompagner ses clients.

La valeur que nous créons pour nos clients et leur communauté est bien tangible ! Notre expertise à la fois culturelle et technologique nous permet de réussir des projets web3 aussi bien dans le luxe, que dans l’automobile ou la musique.” souligne Adrien Ohannessian, cofondateur et CEO de Renaissance.

L’expertise pointue des cofondateurs et leur humilité nous ont profondément séduits. Le web3 constitue véritablement la prochaine étape dans la création d‘expériences pour renforcer les communautés des marques. L’équipe de Renaissance fait partie des pionniers du secteur, et nous sommes ravis de les accompagner. ”, se réjouit Marc Menasé, fondateur de Founders Future



À propos de Renaissance


Après 12 ans à travailler aux côtés d’artistes et de labels, dont 6 ans à la tête du département innovation d’Universal Music France, Adrien Ohannessian est convaincu que le web3 va changer à jamais la relation entre les marques et leurs clients. Une réflexion qu’il partage avec Alexis Delamare Deboutteville, rencontré au fil de ses projets chez Universal Music. Alexis a quant à lui occupé plusieurs postes de CTO dans divers domaines (data, IA, DevOps). Programmeur autodidacte, il voit dans le web3 un moyen de revenir aux fondamentaux du web. C’est ainsi qu’ils lancent ensemble Renaissance en 2021.

À propos de Founders Future

À propos de Founders Future : Entreprise d’investissement fondée en 2018 par l’entrepreneur Marc Menasé, Founders Future conjugue l’agilité et l’apport opérationnel d’un business angel avec la robustesse d’un fonds. Founders Future a notamment investi dans Lydia, Yuka, La Fourche, Ezra (US), ou Taster (UK). Retrouvez-nous sur www.foundersfuture.com.

Photo :
Enna Music x Renaissance

Rapper PLK opens his studio doors to his fans.

Fintech, Blockchain News by Finyear

Opinion | Jeanne Asseraf-Bitton, BFT IM – “Retour au calme !”

https://www.finyear.com/Opinion--Jeanne-Asseraf-Bitton-BFT-IM-Retour-au-calme-_a49270.html

Retour au calme : les craintes sur les valeurs bancaires s’apaisent et l’appétit pour le risque revient aux dépens des valeurs refuge par Jeanne Asseraf-Bitton, Responsable de la Recherche et Stratégie de BFT IM

Le taux 2 ans US reprend plus de 50 points de base (50 pdb) à 4.10%, et les taux 10 ans s’affermissent autour de 3.5% aux Etats-Unis, 2.3% en Allemagne et 2.8% en France. Les marchés actions s’affichent en hausse, Eurozone en tête à près de 4%. Les spreads de crédit high-yield se compressent d’environ

50 pdb. Le dollar faiblit contre euro (€/$ 1.09).

L’inquiétude sur les valeurs bancaires se dissipe. En Europe, les actions bancaires s’affermissent. Aux US, les filets de sécurité de la Federal Reserve fonctionnent. First Citizens absorbe SVB (acquisition de 72 Mrds $ d’actifs SVB avec une décote de 16.5 Mrds).

Signes de détente sur les prix aux Etats-Unis avec l’inflation qui recule à 5% l’an au total et les prix de l’immobilier dont la hausse ralentit à 3.8% l’an. La consommation apparait ferme, portée par des revenus solides et l’optimisme des ménages quant au marché du travail. Le taux d’épargne remonte un peu. Les enquêtes régionales dans l’industrie suggèrent un recul de l’ISM manufacturier en mars.

Toujours pas d’inflexion sur l’inflation « cœur » ou le chômage en Eurozone mais la confiance s’effrite et la croissance du crédit ralentit. L’inflation totale recule à 6.9% l’an en mars. En revanche, l’inflation « cœur » s’affermit à 5.7%. Le taux de chômage reste sur des plus bas en février à 6.6%. Mais le ralentissement du crédit au secteur privé s’accentue en février et la confiance s’effrite en mars dans tous les secteurs.

En France, l’inflation pénalise la consommation et la confiance s’étiole. Le repli de l’inflation à 5.6% l’an,en mars est surtout lié à l’énergie. L’inflation des biens accélère, celle des services est ferme et les prix de l’alimentation s’envolent. La consommation faiblit davantage (-4.1% l’an en volume) en réaction à la hausse des prix. Le climat des affaires et le moral des ménages se dégradent…

A propos de BFT Investment Managers

Avec 32 milliards d’euros** d’actifs gérés pour le compte de clients institutionnels et distributeurs, BFT Investment

Managers fait partie des dix premières sociétés de gestion sur le marché français des OPC. Depuis plus de 35 ans,

la performance de ses solutions d’investissement sur toutes les classes d’actifs (monétaire, obligataire, actions et

multi assets), associée à une gestion rigoureuse des risques, constitue la première de ses missions. Filiale

d’Amundi, BFT Investment Managers combine la réactivité d’une entreprise à taille humaine associée à la

puissance du leader européen de l’Asset Management. Fidèle à la raison d’être de son groupe d’appartenance,

BFT Investment Managers cherche « à agir chaque jour dans l’intérêt de ses clients et de la société » en étant un

acteur du financement durable de l’économie. Avec 100 % des encours de ses gammes de fonds ouverts* ayant

obtenus le label ISR d’Etat, BFT Investment Managers redonne un sens au rendement et ambitionne d’aller encore

plus loin avec une démarche « Investir en France avec impact » comme en témoigne BFT France Emploi ISR, son

premier fonds à impact.

Fintech, Blockchain News by Finyear

Bill Gates says calls to pause AI won’t ‘solve challenges’

https://www.finyear.com/Bill-Gates-says-calls-to-pause-AI-won-t-solve-challenges_a49288.html

Calls to pause the development of artificial intelligence will not “solve the challenges” ahead, Microsoft co-founder Bill Gates told Reuters, his first public comments since an open letter sparked a debate about the future of the technology. (LONDON, April 4 Reuters)

The technologist-turned-philanthropist said it would be better to focus on how best to use the developments in AI, as it was hard to understand how a pause could work globally.

His interview with Reuters comes after an open letter — published last week and co-signed by Elon Musk and more than 1,000 AI experts – demanded an urgent pause in the development of systems "more powerful" than Microsoft-backed (MSFT.O) OpenAI’s new GPT-4, which can hold human-like conversation, compose songs and summarise lengthy documents.

The experts, including Apple (AAPL.O) co-founder Steve Wozniak, said in the letter the potential risks and benefits to society need to be assessed.

“I don’t think asking one particular group to pause solves the challenges,” Gates said on Monday.

“Clearly there’s huge benefits to these things… what we need to do is identify the tricky areas.”

Microsoft has sought to outpace peers through multi-billion-dollar investments in ChatGPT owner OpenAI.

While currently focused full-time on the philanthropic Bill and Melinda Gates Foundation, Gates has been a bullish supporter of AI and described it as revolutionary as the Internet or mobile phones.

In a blog titled "The Age of AI has begun" which was published and dated March 21, a day before the open letter, he said he believes AI should be used to help reduce some of the world’s worst inequities.

He also said in the interview the details of any pause would be complicated to enforce.

“I don’t really understand who they’re saying could stop, and would every country in the world agree to stop, and why to stop,” he said. “But there are a lot of different opinions in this area.”

Reporting by Jennifer Rigby; Editing by Josephine Mason and Bernadette Baum (Reuters)

Fintech, Blockchain News by Finyear

Cikaba intègre une nouvelle fois la cartographie des « Startups françaises de l’Intelligence Artificielle » de France Digitale.

https://www.finyear.com/Cikaba-integre-une-nouvelle-fois-la-cartographie-des-Startups-francaises-de-l-Intelligence-Artificielle-de-France_a49277.html

Cikaba, spécialiste de la digitalisation de la prévention des risques professionnels est fière d’annoncer qu’elle a été sélectionnée une seconde fois pour rejoindre le mapping des “Startups françaises” de l’IA réalisé par France Digitale. Au-delà de cette reconnaissance, Cikaba se distingue par l’utilisation de l’IA dans ses solutions pour prédire les risques au travail.

L’Intelligence Artificielle révolutionne la prévention des risques professionnels

L’Intelligence Artificielle (IA) est une technologie en pleine expansion qui fait aujourd’hui partie des sujets les plus discutés dans les domaines de la technologie et de l’innovation. En effet, l’IA permet aux entreprises de développer des solutions plus intelligentes et plus efficaces pour résoudre des problèmes complexes dans une grande variété de domaines.

Jusqu’à aujourd’hui, la prévention ne permettait pas d’éviter complètement les risques d’accidents professionnels. La prévention n’est pertinente que si l’on identifie bien les risques. Or, la prévention se heurte, même dans les entreprises les plus vertueuses, à un triple écueil : au quotidien, seuls 45% des risques sont identifiés par les équipes. 35% des dangers ne sont pas identifiés à cause de mauvaises interprétations et 20% d’entre eux ne sont même pas imaginés avant que le travail débute. Globalement, les risques sont bien présents mais on ne sait pas les voir, ou bien les identifier. Et donc les actions de prévention manquent leurs cibles.

Il est clair que, pour baisser drastiquement l’accidentologie, la solution est un changement complet de paradigme. Les entreprises recueillent des trésors de données qui sont inexploitées : données d’accidentologie, remontées terrain, données RH, données métier, … Cikaba en exploite tout le potentiel pour améliorer les performances des politiques de prévention.

Évitez aujourd’hui les accidents de demain

L’IA, intégrée dans les solutions de Cikaba, prédit les accidents et propose des actions de prévention bien avant que les menaces ne se transforment en risques réels pour les travailleurs. Par exemple, chez un de ses clients, Cikaba parvient à alerter les services de prévention 7 jours avant la naissance d’un risque. Cette approche proactive permet aux entreprises de réduire considérablement les risques professionnels et d’améliorer la sécurité des travailleurs, tout en gagnant du temps.

Pour notre experte en Intelligence Artificielle chez Cikaba, Sophie Miallaret, cette sélection est une reconnaissance méritée de l’excellence de l’entreprise : “Nous sommes ravis d’être une fois de plus reconnus pour notre expertise en IA. Dans le domaine de la prévention des risques, notre approche est sans équivalent dans le monde. Nous sommes au début d’une révolution qui va nettement améliorer la sécurité au travail."

Frédéric Domon, Président de Cikaba ajoute « Jusqu’à présent, face à l’incertitude, les entreprises pouvaient encore dire “nous ne savions pas, ou, nous n’avons rien vu venir”. Aujourd’hui, c’est impossible. Elles ont les moyens de savoir et donc d’agir. Qui peut se priver d’un outil signalant où et quand un accident va se produire ?”

À propos de Cikaba

Fondée fin 2016 à Clermont-Ferrand, Cikaba a pour mission de rendre le travail plus sûr, de sauver les vies et les destins de millions de personnes en plaçant l’innovation au service d’une prévention intelligente et intuitive.
Avec son offre digitale, Cikaba permet aux entreprises d’éviter aujourd’hui les accidents de demain : grâce à l’Intelligence Artificielle, Cikaba détecte dans les données des entreprises les signaux permettant de prédire l’accidentologie future et de préconiser des actions de prévention que ses solutions diffusent ensuite auprès de tous les publics concernés (salariés, intérimaires, transporteurs, sous-traitants et entreprises extérieures).
Début 2022, Cikaba a levé 2,3 millions d’euros pour accélérer sa croissance au service de la prévention des risques au travail.

Fintech, Blockchain News by Finyear

Nomination | Amplegest – Pierre-Antoine Door, nommé Directeur Investisseurs Institutionnels.

https://www.finyear.com/Nomination--Amplegest-Pierre-Antoine-Door-nomme-Directeur-Investisseurs-Institutionnels_a49286.html

Amplegest poursuit le développement de son activité Asset Management et accentue sa présence auprès de la clientèle institutionnelle française en annonçant l’arrivée de Pierre-Antoine Door, en qualité de Directeur Investisseurs Institutionnels, sous la responsabilité de Jean-François Castellani, Associé, Directeur du Développement AM.

Riche d’un parcours professionnel de plus de 20 ans, Pierre-Antoine débute sa carrière en 2000, chez CDC IXIS AM et mène jusqu’en 2008 des missions de conseils et de gestion de projets auprès d’investisseurs institutionnels. A partir de 2008, il assure le développement de la clientèle institutionnelle pour des « boutiques » telles que Tocqueville Finance, Métropole Gestion et Amiral Gestion. Après une brève expérience dans le conseil financier chez Cedrus & Partners en 2021, Pierre-Antoine retrouve son univers de prédilection en intégrant Amplegest.

« L’expérience de Pierre-Antoine dans des sociétés de gestion à taille humaine et sa connaissance des problématiques institutionnelles, viennent parfaitement enrichir l’équipe déjà en place sur ce segment de clientèle. Cette arrivée dans l’équipe illustre bien les ambitions à horizon 2025 d’Amplegest et d’Octo AM, et l’appui de leur actionnaire Cyrus Conseil » précise Jean-François Castellani, Associé, Directeur du Développement AM.

(*) Encours sous gestion en Asset Management au 28 février 2023 : 1,5 milliard d’euros incluant les encours gérés par Octo AM dont Amplegest assure la commercialisation.

A PROPOS D’AMPLEGEST

Créée en 2007, Amplegest est une société de gestion entrepreneuriale exerçant trois métiers pour une clientèle institutionnelle et privée et détenue à 100% par le groupe Cyrus :

La gestion privée

La gestion d’actifs

Le Family Office

Au 28 février 2023, Amplegest gère 3,0 milliards d’euros d’encours pour le compte de ses clients privés et institutionnels, et conseille 900 millions d’euros pour le compte de Family Offices.

Fintech, Blockchain News by Finyear

Etude | Les modernisations et les changements prévus par les dirigeants financiers du monde entier pour 2023

https://www.finyear.com/Etude--Les-modernisations-et-les-changements-prevus-par-les-dirigeants-financiers-en-2023_a49262.html

Prophix, plateforme d’analyse de la performance financière destinée aux entreprises de taille moyenne, a partagé les nouvelles données recueillies lors de son enquête 2023 ‘Finance Leaders’. Plus de 700 cadres financiers supérieurs ont été interrogés, issus de tous secteurs : services commerciaux/professionnels, éducation, santé/hébergement des personnes âgées, construction, industrie et immobilier. Etude à télécharger (en anglais) en fin d’article.

Il apparaît que 60% des organisations ont dépassé, voire largement dépassé, leurs objectifs financiers pour 2022, ce qui indique que les professionnels de la finance sont mieux préparés que les années précédentes à relever les défis opérationnels et économiques sans précédent d’aujourd’hui.

Les données de Prophix montrent également qu’en fonction des objectifs généraux de leur entreprise, les responsables financiers appelés à diriger leur département sont susceptibles d’adopter trois approches distinctes. Prophix distingue trois styles de leadership : le Visionnaire, l’Innovateur et le Réaliste.

Chaque approche a sa place dans le pilotage de la finance. Chacune a démontré son efficacité car les équipes ont non seulement réussi à faire évoluer leur organisation dans un environnement économique mondial imprévisible et instable, mais aussi à créer des voies nouvelles et innovantes, permettant au département financier de franchir les écueils avec succès. En particulier, près d’un tiers des répondants déclarent avoir adopté une approche Visionnaire, estimant que “élever le département financier au rang de contributeur stratégique de l’entreprise” constitue une priorité absolue.

“Les conditions économiques actuelles offrent aux responsables financiers de tous les secteurs une occasion de capitaliser sur les opportunités commerciales en comblant le fossé entre ambition et réalité”, a déclaré Alok Ajmera, CEO de Prophix. “Nos données démontrent clairement une tendance à la hausse, déjà observée ces dernières années, et nous commençons enfin à voir que la transformation numérique de la finance prend forme, car davantage d’organisations accordent la priorité à l’innovation, à l’automatisation et à l’agilité. L’augmentation des investissements dans les outils avancés de performance financière, y compris l’IA et l’analyse des données, permet aux dirigeants financiers de prendre des décisions plus stratégiques, leur offrant une vision plus claire pour faire progresser leur entreprise.”

Résumé des résultats de l’enquête

Les professionnels de la finance face à de nombreux défis

Les cinq principales pressions externes auxquelles sont confrontés les responsables financiers sont l’inflation (21%), la hausse des prix de l’énergie (14%), les craintes de récession (11%), la pénurie de talents (9%) et la hausse des taux d’intérêt (9%). En outre, 25% déclarent que la préparation de l’organisation et son renforcement face aux défis à venir constituent leur principale préoccupation.

Pour relever ces défis, les responsables financiers recherchent des moyens innovants pour accroître l’efficacité et générer de nouvelles visions dans le cadre de leurs processus actuels. Près de la moitié des répondants (43%) déclarent que stimuler l’innovation constitue leur préoccupation première et 31% que leur priorité est de veiller à ce que le département financier joue un rôle clé en tant que contributeur stratégique de l’entreprise.

L’automatisation est un moteur

L’automatisation et l’intelligence artificielle sont essentielles pour l’avenir de la finance. Les répondants reconnaissent que l’automatisation est un élément clé de la transformation non seulement de la finance, mais de l’ensemble de l’organisation. 41% affirment que la transformation est l’objectif principal de l’automatisation. Ils ne sont que 27% à répondre que la moitié ou plus de leurs processus financiers sont automatisés. 65% déclarent qu’ils prévoient l’automatisation de plus de la moitié de leurs processus financiers d’ici la fin de cette année.

Le degré d’automatisation varie considérablement d’une région à l’autre, le Canada se situant bien au-dessus de la moyenne mondiale (35% contre 25%) avec au moins la moitié de ses processus financiers automatisés. Le Benelux (Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) est la région du monde la moins automatisée : 40% des répondants déclarent que 25% ou moins de leurs processus financiers sont automatisés.

L’agilité est bien présente mais des obstacles subsistent

La majorité des répondants reconnaît l’importance de l’agilité et met cette conviction en pratique : 84% déclarent que leurs organisations financières sont “très” ou “plutôt” agiles.

Toutefois, plus de la moitié (63%) estiment que le principal obstacle est la mise en œuvre d’un plan apte à aligner les processus et la technologie ; et quasiment autant (62%) que l’implémentation de la technologie constitue la plus grande difficulté.

Les entreprises financent leurs départements financiers

La plupart des répondants déclarent que les budgets consacrés à la technologie financière devraient augmenter en 2023. Une majorité (52%) s’attend à une légère augmentation, tandis que 24% s’attendent à une augmentation significative. Seuls 4% s’attendent à une réduction de leur budget.

Les principaux domaines d’investissement technologique en 2023 concernent la cybersécurité, la planification budgétaire, la gestion des risques, la comptabilité analytique et le paiement numérique.

Pour une information complète, téléchargez le 2023 Finance Leaders Survey: How Finance Leaders Can Spark Change Report.

ETUDE A TELECHARGER

À propos de Prophix

Votre entreprise évolue. La manière dont vous planifiez vos activités et dont vous en rendez compte doit évoluer elle aussi. Pour permettre aux entreprises de taille moyenne d’atteindre leurs objectifs, Prophix fournit une plateforme intégrée, basée sur le cloud, à l’Office of Finance. Cette plateforme propose des solutions de planification, de budgétisation, de reporting, de prévision et de consolidation. Avec Prophix, les dirigeants financiers améliorent la rentabilité, minimisent les risques et se concentrent à nouveau sur ce qui compte le plus : la découverte d’opportunités commerciales. Prophix accompagne votre avenir grâce à des innovations en matière d’IA qui s’adaptent à vos réalités stratégiques, aujourd’hui et demain. Plus de 2 500 clients actifs dans le monde entier font confiance à Prophix pour transformer leur façon de travailler.

Fintech, Blockchain News by Finyear

Crypto exchange Binance expands in Argentina

https://www.finyear.com/Crypto-exchange-Binance-expands-in-Argentina_a49287.html

Crypto exchange Binance, which has been sued by U.S. regulators, said on Tuesday it is expanding services in inflation-hit Argentina, allowing users to buy and sell digital currencies directly with local pesos. (BUENOS AIRES, April 4, – Reuters)

The move allows Argentines to transfer pesos into a Binance account via a local partner, which can then be used to purchase cryptocurrency. Until now, Binance had operated in Argentina only as an intermediary platform to match crypto buyers and sellers.

"This launch has to do with the public demand that exists here," Maximiliano Hinz, director for Binance in the Southern Cone, told Reuters in a written statement on Tuesday, adding that Argentina was a key market for the exchange.

He said local users could transfer pesos to a Binance account and see their balance reflected there in local currency, which would then be usable to buy crypto.

The expansion in Argentina, where annual inflation above 100% has made cryptocurrencies more attractive despite their volatility and risk, comes as Binance faces regulatory scrutiny in the U.S. and elsewhere.

The U.S. Commodity Futures Trading Commission (CFTC) late last month sued the firm and CEO Changpeng Zhao for operating what the regulator alleged were an "illegal" exchange and a "sham" compliance program.

Zhao, a China-born billionaire who moved to Canada at age 12, has called the CFTC’s complaint "unexpected and disappointing."

As Binance has faced mounting scrutiny from regulators, the exchange has lost some banking partners needed for so-called on-ramp, off-ramp transactions to fiat currencies. Paysafe, which processed sterling payments, most recently withdrew in March.

Argentina does not regulate crypto exchanges, but the central bank has repeatedly warned about the risks of cryptocurrencies and markets regulator CNV is backing a bill to create a registry of providers offering virtual assets.

The South American country, which has strict capital controls that limit foreign currency exchange, was among the top 15 countries in the world for crypto adoption last year, according to the Chainalysis index.

"Argentine users know the crypto world," Hinz said.

Reporting by Anna-Catherine Brigida in Buenos Aires Editing by Matthew Lewis REUTERS

Fintech, Blockchain News by Finyear

Nomination | Carmignac, Jacques Hirsch nommé co-gérant du fonds Carmignac Portfolio Patrimoine Europe

https://www.finyear.com/Nomination--Carmignac-Jacques-Hirsch-nomme-co-gerant-du-fonds-Carmignac-Portfolio-Patrimoine-Europe_a49282.html

Carmignac a le plaisir d’annoncer la nomination de Jacques Hirsch en qualité de co-gérant du fonds Carmignac Portfolio Patrimoine Europe, un fonds mixte européen ayant une approche flexible et socialement responsable.

Jacques Hirsch prendra ses fonctions le 3 juillet 2023 et sera basé à Londres. Il assumera les responsabilités exercées jusqu’à présent par Keith Ney, qui a quitté Carmignac pour des motifs personnels.

Jacques sera chargé de la gestion de la partie obligataire, de l’analyse macroéconomique, de la gestion des risques et de la construction de portefeuille de Carmignac Portfolio Patrimoine Europe. Il intégrera également le Comité d’Investissement Stratégique de Carmignac, dont la mission est de se forger de solides convictions de marchés et de proposer des analyses macroéconomiques à l’ensemble de l’équipe de gestion de la société.

Jacques Hirsch rejoint Carmignac après avoir travaillé chez Ruffer depuis 2011, notamment en tant que cogérant d’un fonds flexible multi-actifs de plusieurs milliards d’euros d’actifs sous gestion, actuellement noté 5 étoiles par Morningstar, dans le premier quartile sur 1, 3 et 5 ans et dans le premier décile en 2022. Il a passé la majeure partie de sa carrière dans le secteur de la gestion d’actifs et a travaillé pour Goldman Sachs et GLG Partners. Il est diplômé de l’Ecole Centrale Paris et titulaire d’un Master en mathématiques de l’Université d’Oxford.

Dans la période intérimaire précédant l’arrivée de Jacques, la gestion de la partie obligataire de Carmignac Portfolio Patrimoine Europe est confiée à Marie-Anne Allier, gérante obligataire expérimentée et cogérante du fonds phare Carmignac Sécurité depuis 2019. La partie actions de Carmignac Portfolio Patrimoine Europe continuera d’être gérée par Mark Denham.

Carmignac Patrimoine continuera d’être cogéré par Rose Ouahba, responsable de l’équipe obligataire, et David Older, responsable de l’équipe actions.

Le Comité d’Investissement Stratégique, qui comprend Rose et David, continue de fournir des contributions à des fins de construction de portefeuille et de gestion des risques. Cela constitue un soutien précieux conçu pour intégrer une vision et une approche holistique à 360 degrés à la fois du portefeuille et de la gestion des risques.

Édouard Carmignac, président et directeur des investissements de Carmignac, a déclaré :

« Nous sommes ravis d’accueillir Jacques Hirsch au sein de Carmignac. C’est un gérant expérimenté qui a démontré sa capacité à délivrer une performance solide dans différentes conditions de marché, y compris dans le contexte de volatilité ces dernières années. Son arrivée illustre notre capacité à attirer les meilleurs talents de notre secteur. Je tiens également à remercier Keith Ney pour sa précieuse contribution à l’entreprise et lui adresse tous mes vœux de réussite pour l’avenir.»

A propos de Carmignac

Carmignac est une société de gestion d’actifs financiers indépendante fondée en 1989 sur trois principes fondamentaux toujours d’actualité : un esprit entrepreneurial, la perspicacité humaine et un engagement actif. Nous avons toujours gardé ce même esprit entrepreneurial, qui donne à notre équipe de gestion la liberté et le courage de réaliser ses propres analyses de risques, de les traduire en de solides convictions, puis de les mettre en œuvre. Notre culture collaborative axée sur la discussion, le travail de terrain et la recherche en interne signifie que nous renforcerons toujours nos analyses de

données par la perspicacité humaine pour mieux gérer la complexité et évaluer les risques cachés. Nous sommes des gérants actifs et des partenaires engagés auprès de nos clients. Transparents quant à nos décisions d’investissement, nous assumons toujours nos responsabilités. Avec un capital entièrement détenu par la famille et les collaborateurs, Carmignac est aujourd’hui l’un des leaders européens de la gestion d’actifs et opère depuis 7 bureaux différents.
Aujourd’hui, et depuis toujours, nous nous engageons à donner le meilleur de nous-mêmes pour gérer activement l’épargne de nos clients sur le long terme.

Carmignac

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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.

The issuer is solely responsible for the content of this announcement.

Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n’a pas été rédigé par Finyear.com.

L’émetteur est seul responsable du contenu de cette annonce.

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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc…) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement.

The financial and/or economic opinions presented by Finyear.com contributors (experts, lawyers, observers, bloggers, etc.) are their own and may change without the need to update the content. The articles presented do not constitute an invitation to make any investment.

Fintech, Blockchain News by Finyear

Ankex welcomes Michael Moro as new CEO

https://www.finyear.com/Ankex-welcomes-Michael-Moro-as-new-CEO_a49283.html

– Ankex, a hybrid crypto derivatives exchange, welcomes its new CEO Michael Moro today. Moro will lead the exchange, which offers sophisticated trading services and is fully non-custodial.

Moro is a prominent figure in the cryptocurrency industry, having been at the helm of Genesis from 2016 until 2022. Under his leadership, the company experienced remarkable growth, with annual trades, loans and transactions exceeding $25 billion. Moro also led the firm’s expansion from over-the-counter trading into institutional borrowing, lending, derivatives, custody and prime brokerage services.

Moro will be leading the team at Ankex, the world’s first true hybrid derivatives exchange set to launch its Alpha in May 2023. The platform combines the speed, liquidity and low fees of centralized trading, with the security, control, and transparency offered by non-custodial, decentralized exchanges. This is achieved through Qredo Network’s Clear Vault technology.

Centralized exchanges typically offer deeper liquidity and lower latency, but investors have to leave their funds in an exchange-managed wallet which is potentially vulnerable to hacking and fraud.

Ankex’s hybrid model removes this trade-off, enabling high-performance trading with funds which remain securely in self-custody at all times. This fusion of the best of both CEX and DEX is the first of its kind. First incubated within Qredo, and built by a leading team of engineers, Ankex is now set to launch as a new company.

Ankex will benefit from Moro’s strategic vision and profound experience in the sector, as evidenced by his role in the acquisitions of Qu Capital, an algorithmic trading firm, and Vo1t, a leading digital currency custodian. These acquisitions enabled Genesis to expand its global presence, with offices in New York, London and Singapore.

Prior to his role as CEO, Moro served as COO of Genesis, where he was responsible for operations and management. Before joining Genesis, he spent six years at SecondMarket, where he was Vice President and Director. Moro also spent six years in investment banking at Citi.

Michael Moro, Ankex’s new CEO, says, “I’m thrilled to join Ankex and lead this talented team towards a successful launch. As a new CEO, I see great potential in Ankex’s innovative self-custodial trading setting the new industry standard.

Having come from Genesis and seen the events of 2022 unfold, I’m acutely aware of the importance of empowering traders to operate on trustless platforms while retaining full control of their assets at all times. Going forward, I’m committed to advocating for transparency and autonomy, and I believe Ankex’s solutions exemplify these values to a high degree. By leveraging our combined strengths and driving a culture of excellence, we can

ensure that traders are able to operate without the risk of losing access to their assets to circumstances beyond their control.”

Josh Goodbody, COO at Qredo, says, “I’m excited to welcome Michael Moro as the new CEO of Ankex. Michael’s extensive experience and proven track record in leading building and scaling companies in the blockchain industry makes him a great leader for Ankex. With Michael’s leadership, I am confident that Ankex will continue to innovate and deliver cutting-edge trading solutions for clients. I look forward to working closely with Michael and

the Ankex team to achieve our shared vision for the future of decentralized finance.” With his proven track record of success and commitment to innovation, Moro is poised to lead Ankex to new heights in the rapidly evolving landscape of digital assets.

About Ankex

Ankex is a high performance non-custodial exchange for crypto derivatives. Designed for investors of every size, Ankex is a hybrid exchange that combines the speed, liquidity and low fees of centralized trading, with the security, control, and transparency offered by non-custodial, decentralized exchanges.

Ankex



About Qredo


Qredo is a leading provider of institutional-grade digital asset self-custody solutions. The company’s distributed multi-party computing (dMPC) technology provides a secure and regulated environment for customers to store, transfer, and manage their digital assets.

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