Silvergate plie face à la FED – Un plan de liquidation prévu sous 10 jours

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Sortie par la petite porte – Début mars dernier, en un éclair, Silvergate avait annoncé qu’elle procéderait à la liquidation volontaire de ses activités bancaires. Peu après, un orage de faillites s’est abattu sur la sphère financière. Désormais, dans le cadre de ce processus dicté par la FED, toute velléité de démocratisation crypto paraît soudain bien secondaire.

Silvergate, pieds et poings liés, se rend à la FED

Souvenez-vous ! C’était en mars dernier. Le monde bancaire US frémissait et les banques tombaient comme des mouches après la chute de la Silicon Valley Bank. Le renflouement de justesse par le gouvernement américain a plus ou moins endigué la panique et stoppé la fuite des capitaux hors des banques. Du moins, en apparence.

Car si l’on en parle moins en ce mois de juin, en coulisse, l’argent continue de quitter les banques. En effet, l’épargne s’échappe en douce des banques régionales dont les dépôts ne sont pas couverts, et ce, afin de trouver refuge dans les banques systémiques, comme JP Morgan et les fonds monétaires aux rendements attractifs. Devant nos yeux se trouve un système bancaire rafistolé avec un peu scotch et qui serre les dents dans l’attente du prochain séisme.

Silvergate : quand l’ingérence des banques précipite le système dans les abysses

En attendant, la Silvergate Bank suit docilement les consignes de la FED. Elle doit présenter, dans les 10 prochains jours, un plan de liquidation. Ce sera aux équipes du département de Protection financière et d’Innovation de Californie d’approuver ou non ledit plan. Un rapport de la Réserve fédérale met également en exergue les liens profonds entre Silvergate et l’exchange déchu FTX. Des liens qui seraient la source même de la chute de la banque.

« [Nous avons] identifié de nombreuses défaillances [chez Silvergate], incluant un manque de respect des principes de sécurité, de solidité et de conformité aux lois et réglementations bancaires. »

Extrait du rapport de la FED

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Faillite du monde bancaire : une crise inévitable ?

La banque aurait survécu quelques mois après la chute de FTX, en demandant en urgence un prêt de plusieurs milliards de dollars. Un prêt très inhabituel et controversé, puisqu’il aurait été souscrit auprès de la Banque fédérale de Prêt Immobilier de San Francisco, selon les informations de nos collègues de The Block. Un prêt immobilier. Vous avez bien lu.

« La banque a expérimenté un déclin significatif de dépôts par ses clients affiliés aux cryptomonnaies, déclenché par l’effondrement de l’exchange FTX et les propriétaires de la société de trading Alameda Research. […] [Associé à une stratégie risquée d’investissement dans l’industrie du numérique, cela] a conduit à une crise de liquidité au sein de la banque et au déclin des activités qui lui assurait des revenus. »

Déclaration de la FED

Les récents événements, comme celui de Silvergate, nous ont prouvé que l’écosystème financier est intrinsèquement connecté, et ce, à l’échelle mondiale. Si le premier domino chute, c’est le château de cartes qui tombe. Pour retarder l’échéance, les banques centrales et organismes gouvernementaux mettent régulièrement la main au portefeuille. Ils créent de l’argent ex nihilo pour stopper chaque hémorragie. Sauf qu’à un moment donné, il pourrait y avoir beaucoup trop de trous, de trop nombreuses crises de liquidités, … Et plus assez de mains et de sparadraps en papier monnaie pour toutes les combler. Et telle la loi de Murphy, dans un système bancaire de plus en plus fragile, ce moment finira inévitablement par arriver.

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Nike et EA Sports : vos NFT bientôt sur FIFA ?

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L’idylle continue – Nike et les NFT, c’est un couple qui possède déjà une longue histoire. Passeront-ils le difficile cap des 3 ans ? Nul ne saurait le prédire. Toutefois, avec toujours plus de projets en commun sur ce territoire des nouvelles technologies, Nike semble, de manière certaine, avoir trouvé chaussure à son pied. Décryptage.

Les marques à la conquête du virtuel

Rappelez-vous, c’était en décembre 2021. Les senteurs étourdissantes du précédent bull run étaient encore dans l’air. Les NFT, ce nouveau phénomène surgit du numérique, étaient au sommet de leur gloire. Les Non Fungible Tokens étaient sur toutes les lèvres. Les marques, comprenant soudain les potentialités publicitaires de ce secteur émergent, tentaient avec plus ou moins de réussite de l’accaparer. Nike, évidemment, était de la partie, et faisait même office de tête de proue.

En effet, c’est en décembre 2021 que Nike rachète l’emblématique collection NFT RTFKT et ses Clones X. Des avatars prêts à conquérir à l’époque tous les métavers existants et à venir. Une collection sur le point de devenir l’une des plus prisées sur la blockchain Ethereum, non loin des ancestraux Cryptopunks et autres singes du prestigieux Bored Ape Yacht Club.

Depuis, Nike en a parcouru du chemin. Les NFT deviennent soudain un vecteur idéal de promotion pour les accessoires de modes. Tout à coup, il devient naturel d’obtenir une copie virtuelle pour l’achat d’un vêtement bien réel. Les paires de chaussures envahissent le métavers. Et dans cette course effrénée, la tendance ne semble pas prête de s’arrêter.

En effet, ce nouveau moyen de promotion génère des millions de dollars. De fait, oubliant tout préjugé, les marques, dotées d’un pragmatisme profond sur la question, s’y précipitent tout naturellement. Une bataille bien réelle fait ainsi rage entre les différents protagonistes au cœur de ces nouveaux univers numériques.

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Les NFT Nike à l’assaut du gaming blockchain

De fait, pour conserver sa place à la pointe de la technologie, ou plutôt au cœur des recettes, Nike redouble d’imagination. La marque semble vouloir s’associer avec un autre secteur dont la blockchainisation ne saurait tarder : le gaming. Nous apprenons en effet que la plateforme NFT de la marque, .Swoosh, révélée en novembre 2022, devrait être intégrée aux jeux EA Sports. Nous pourrions alors, un jour peut-être, constater des vêtements Nike habillant les avatars de ces jeux. Et par voie de conséquence, la publicité s’introduire donc jusque dans les tenues de nos joueurs préférés sur FIFA.

Nike annonce que sa plateforme NFT .Swoosh sera intégrée aux jeux EA Sports – Source : Twitter

Derrière EA Sports se trouve potentiellement FIFA donc, mais aussi Madden NFL ou encore NBA Live. Football, football américain, basket, des sports emblématiques réunissant chacun des communautés gigantesques. Les perspectives de développement sont étourdissantes et l’on comprend pourquoi les marques se livrent une lutte sans merci pour être la première à s’implémenter dans le secteur du gaming blockchain naissant.

Le 15 mai dernier, Nike a notamment délivré sa première collection NFT via la plateforme .Swoosh. Des baskets virtuelles nommées Our Force 1. Un nom, vous l’aurez peut-être deviné, dérivé de l’iconique sneakers Air Force One. À ce jour, le nombre de NFT vendu approche les 100 000, à environ 20$ l’unité.

Nike a sorti mi-mai sa dernière collection NFT, Our Force 1. Une collection de Sneakers qui pourrait peut-être intégrer les jeux blockchain.
La nouvelle collection de sneakers Our Force 1 de Nike est couronnée de succès – Source : Twitter

Aucun autre détail n’a été révélé pour l’instant, ni par Nike ni par Electronic Arts. Toutefois, le fait est là : la conquête de ces technologies par les marques continue de faire son chemin. Appuyées par l’avenir prometteur du gaming blockchain, les créations virtuelles ont encore de beaux jours devant elles. Et les marques aussi.

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Séisme sur Multichain : le CEO a disparu des radars

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Casse-tête chinois – La DeFi (Finance Décentralisée) est dans la tourmente depuis quelques jours, et plus particulièrement l’un de ses ponts (bridge en anglais) emblématiques : Multichain. Et il semblerait que cette histoire n’ait pas fini de nous surprendre avec ses rebondissements et péripéties. Explication.

Multichain, le pont DeFi en déroute

Le rôle d’un bridge est de faire communiquer entre elles les différentes blockchains qui peuplent le monde crypto. En pratique, il permet de transférer des cryptomonnaies d’une blockchain à une autre. Il s’agit souvent d’ailleurs d’un moment relativement stressant pour les utilisateurs. C’est comme si vous deviez poser le pied sur un pont invisible. Vous savez qu’il est là mais vous n’en êtes jamais vraiment certains tant que votre pied ne touche pas quelque chose de solide. Et dans tous les cas, on espère à chaque fois que cette manœuvre délicate durera le moins longtemps possible.

Alors, le 24 mai dernier, lorsque certains utilisateurs remarquent que leurs fonds ne sont pas arrivés à destination, c’est le début de la panique. Pour ne rien arranger, quelques heures plus tard, ce sont les équipes de la blockchain Fantom qui décident de retirer leurs fonds, soit 2,4 millions de dollars tout de même. Andre Cronje, directeur de la fondation Fantom, a fini par se justifier en expliquant qu’il avait décidé d’arrêter de fournir de la liquidité tant que l’incertitude sur cette situation durerait.

Le jeton MULTI du projet Multichain se met à dévisser de 30 %. C’est le début des retraits massifs sur fond de rumeur inquiétante qui enfle sur les réseaux sociaux. La police chinoise aurait arrêté toute l’équipe de Multichain et mis la main sur 1,5 milliard de dollars détenus dans les smart contracts.

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En mai, Multichain n’a pas fait le pont

Bien que rien ne soit confirmé, cela pourrait expliquer le récent message qui vient d’être publié par l’équipe sur Twitter.

« Ces deux derniers jours, le protocole Multichain a expérimenté plusieurs problèmes dus à des circonstances imprédictibles. L’équipe a fait tout ce qui était en son pouvoir pour continuer de faire tourner le protocole, mais nous sommes actuellement dans l’impossibilité de contacter notre CEO Zhaojun et obtenir les accès nécessaires au serveur pour y effectuer une maintenance. »

L’équipe de Multichain alerte sur la disparition de leur CEO sur les réseaux sociaux – Source : Twitter

Un rebondissement qui fait trembler un peu plus le bridge Multichain encore en proie aux défaillances. Nous apprenons que le router 5 du bridge, affecté au traitement des transactions usuelles entre blockchains, subit actuellement un problème technique. De plus, ce problème serait hors de portée de l’équipe. Pour le résoudre, il faut certains accès, dont le seul détenteur est Zhaojun, le CEO disparu.

L’équipe a donc décidé de suspendre certains services cross-chain et demande à ses partenaires concernés de stopper les appels de smart contracts vers le router 5 affecté.

Les blockchains pénalisées par la défaillance sont Kekchain, PublicMint, Dyno Chain, Red Light Chain, Dexit, Ekta, HPB, ONUS, Findora et Planq.

Les catastrophes s’accumulent pour l’équipe derrière le bridge Multichain. Entre défaillances et disparition de leur CEO, difficile à l’heure actuelle de déterminer le fin mot de toute cette histoire. La DeFi est un univers encore jeune, risqué. Et les bridges ne font pas exception, eux qui sont si souvent la cible d’attaques et de hacks d’envergure.

Sur la blockchain, comme chez le dentiste, un bridge peut faire mal. Besoin de tranquillité d’esprit pour vos cryptos ? Inscrivez-vous vite sur la plateforme Binance, LA référence absolue du secteur, et économisez 10 % sur vos frais de trading en suivant ce lien (lien commercial).

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D’Ethereum à Bitcoin : la grande migration des NFT a commencé

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Un aller sans retour – Un pont bâti entre les deux plus grandes blockchains jamais créées se tient prêt à faire voyager vos NFT. Qui l’eût cru ? L’engouement pour les Ordinals, présent depuis plusieurs mois, n’a pas l’air de vouloir retomber. Chaque semaine, des innovations voient le jour, des passerelles vers Bitcoin sont construites, des plus improbables aux plus définitives. Décryptage.

Projet Miladys : les NFT prêts à fuir Ethereum ?

Fusionner Bitcoin et Ethereum. Un rêve pour certains, un total contresens pour d’autres. Et pourtant, que ce soit hier via la DeFi (Finance Décentralisée) ou aujourd’hui via les NFT, les créations de Vitalik Buterin et de Satoshi Nakamoto ne cessent par certains égards de vouloir communiquer. Ici, en l’occurrence, plus qu’une fusion, il s’agirait plutôt d’une absorption.

En effet, le projet Bitcoin Miladys vient d’annoncer la mise en place d’un pont (bridge en anglais) entre les deux blockchains.

Le projet Bitcoin Miladys propose aux détenteurs de NFT sur Ethereum de les faire migrer sur Bitcoin, définitivement – Source : Twitter

Propulsé ces derniers mois par la hype autour des Ordinals, il faut dire que Bitcoin, longtemps délaissé, semble rattraper son retard sur le plan des NFT. À titre d’exemple, le mois de mai a vu les Bitcoin Frogs, une collection NFT sur Bitcoin, dépasser en volume d’échanges le prestigieux Bored Ape Yacht Club (BAYC), la collection la plus prisée d’Ethereum.

Bitcoin serait-il donc prêt à engloutir la blockchain restée reine des NFT jusqu’alors ? Tant s’en faut, bien sûr. Toutefois, ce nouveau bridge œuvre clairement dans ce sens. En effet, jusqu’alors nous assistions à une création désordonnée d’œuvres numériques sur Bitcoin, plus ou moins farfelues. Des essais souvent dépourvus d’autre intention que de tester ce fameux protocole Ordinals.

Aujourd’hui, toutefois, la donne pourrait changer. Via ce nouveau pont entre les deux blockchains, il est désormais possible de transférer des NFT déjà existants sur Ethereum. Potentiellement, des collections entières de NFT pourraient alors avoir envie de migrer d’Ethereum vers Bitcoin.

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D’Ethereum à Bitcoin, il n’y a qu’un pont

Décrit de cette manière, la théorie pourrait paraître alléchante. Vous allez voir qu’en pratique, toutefois, il faudrait avoir le cœur bien accroché. En effet, nous n’en sommes qu’aux prémices de cette technologie NFT. Une technologie qui a d’ailleurs plutôt l’allure de bidouillage que de réelle volonté technique permise par la blockchain mère. De fait, le panel de possibilités associées s’en ressent fortement. En effet, le piège est là : il s’agit d’un voyage sans retour. Un aller simple. Impossible pour les NFT de retourner sur Ethereum après avoir passé la tête sur la blockchain Bitcoin.

En effet, le NFT original sur Ethereum sera alors brûlé (burn en anglais) – rendu inaccessible –, au moment de la création de sa copie conforme sur Bitcoin. En pratique, Bitcoin Miladys inscrit sur Bitcoin la localisation exacte du NFT sur la blockchain Ethereum. Et ils ajoutent aussi un lien renvoyant vers l’image originelle du NFT.

Le problème du retour sur Ethereum est le suivant. D’abord, cela nécessiterait de placer le NFT sous séquestre au lieu de le brûler. Ensuite, il s’agit de tracer les différentes reventes du NFT en question sur la blockchain Bitcoin. Enfin, il faut parvenir à déterminer sur quelle adresse Ethereum retransférer le NFT acquis sur Bitcoin par le nouveau détenteur. Une complexité à s’arracher les cheveux qui rend pour l’instant impossible ce fameux voyage retour.

Certains détenteurs de NFT seront-ils donc suffisamment courageux – que dis-je, assez fous – pour abandonner définitivement Ethereum au profit de Bitcoin ? Seront-ils prêts à quitter la sécurité de la Terre juste pour apercevoir le temps d’une minute de leurs propres yeux la planète Mars, et pouvoir dire « je l’ai fait » ? Les NFT ainsi transférés conserveront-ils alors leurs privilèges sur Bitcoin ? Des questions auxquelles les différents projets derrière ces collections devront peut-être devoir répondre prochainement.

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Bitcoin et Ordinals : un mois de mai qui explose tous les records

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Ordinals, une marmite sous pression – Depuis le début d’année 2023, et à plus forte raison ce mois de mai, le mot Ordinals est sur toutes les lèvres. L’activité du réseau Bitcoin n’a pas été aussi intense depuis bien longtemps. La preuve par les chiffres. Focus sur le volcan en ébullition dissimulé derrière le calme plat du bear market.

Bitcoin sur le devant de la chaine avec les tokens BRC-20

La blockchain Bitcoin, ancêtre des cryptos, que certains jugeaient immuable, qualifiaient de vieillotte, voire dépassée, vient, en ce mois de mai, de tous les faire taire. Pour le meilleur et pour le pire, d’ailleurs. Immuable, Bitcoin l’est toujours plus ou moins. Mais, une nouveauté a fait son apparition.

Certes, la création des Ordinals était déjà possible depuis un bon moment. Que ce soit des NFT ou les fameux tokens BRC-20 récemment surgit des entrailles de la blockchain Bitcoin. La véritable nouveauté de ces derniers mois, en revanche, ce sont les outils. Leur accessibilité, surtout. Soudain, créer un token BRC-20 sur Bitcoin, clin d’œil aux tokens ERC-20 sur Ethereum, devient très simple. De fait, tout le monde veut s’y essayer.

En plus des collections NFT de ce début d’année, se mettent alors à apparaitre nombre de nouveaux tokens, plus ou moins pertinents. Souvent moins que plus, d’ailleurs. Sauf que tout ce petit monde a besoin de transactions pour exister. Utiliser la blockchain mère a un coup, et le réseau Bitcoin le fait savoir. Ceux qui sont ravis dans l’histoire, ce sont les mineurs de Bitcoin, évidemment. Eux qui n’en espéraient pas tant après une fin d’année 2022 particulièrement difficile. Les mois qui ont suivi la chute de FTX ont mis à mal les réserves en BTC de ces compagnies au bord de la faillite. On peut dire que cela valait la peine de serrer les dents jusqu’en 2023.

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Ordinals booste les frais de transaction pour le plus grand plaisir des mineurs de Bitcoin

En effet, en mai, les frais de transactions ont représenté non loin de 15% du montant total de la récompense que touche un mineur après avoir validé un block avec succès. Un pourcentage sans commune mesure avec les mois précédents, selon les données de nos confrères de The Block.

Les mineurs s’en mettent plein les poches en surfant la hype Ordinals, grâce au regain d’activité sur la blockchain Bitcoin – Source : The Block

Et lorsque l’on parle d’augmentation des frais, ce n’est pas peu dire. Il s’agit même plutôt d’un euphémisme. Explosion, serait plus juste. Ce pourcentage, qui s’est littéralement envolé au mois de mai, n’avait pas été vu depuis avril 2021. C’est-à-dire en plein pic du bull run précédent alors que Bitcoin atteignait les 60 000 dollars. Aujourd’hui, en plein calme plat crypto, rebelote. Le contraste est saisissant.

Ordinals : hype passagère ou véritable tendance de fond ?

De fait, tout au long du mois de mai, Bitcoin n’a cessé d’être la blockchain la plus utilisée en termes de transaction NFT, juste derrière Ethereum. Écrasant de ce fait des blockchains comme Solana ou Polygon. Les Bitcoin Frogs ont généré plus de 2 millions de dollars de volumes. Cette collection NFT sur Bitcoin a même dépassé le temps d’une journée le volume de transactions des singes du Bored Ape Yacht Club (BAYC), la collection phare d’Ethereum.

La blockchain Bitcoin voit son utilisation exploser en mai concernant les transactions de NFT. Elle se place seconde derrière Ethereum.
Bitcoin, seconde blockchain la plus utilisée pour les transactions NFT sur le mois de mai – Source : The Block

La preuve par Ordinals : l’accessibilité, c’est la clé

Sans avoir l’air d’y toucher, ce phénomène met en lumière la véritable clé de l’adoption crypto. Le saint Graal recherché par tous les aficionados qui tentent contre vent et marée de convaincre leurs voisins, amis, familles de jeter un œil à ce secteur si décrié par les médias, matraqués par les préjugés. La clé ? La simplicité des outils. La facilité d’accès. Lorsque la distance qui séparera le grand public du monde crypto sera une simple touche sur l’écran de son téléphone, alors le combat sera gagné. Car entre liberté et simplicité, les gens font très souvent le choix de la simplicité.

Pourtant, l’essence même de Bitcoin, et dans une moindre mesure des cryptos via l’émergence par exemple de la DeFi (Finance Decentralisée), c’est la liberté. L’absence de censure. Le retour au droit de propriété. Cette liberté doit désormais s’habiller de simplicité. Aujourd’hui, ce mariage prend la forme des tokens BRC-20 sur Bitcoin.

Certains voient cette mouvance comme une menace, d’autres comme le libre droit d’utiliser tous les moyens de création que la blockchain Bitcoin met à disposition. Techniquement, en revanche, la création de ces tokens reste plus ou moins un « bricolage » qui utilise des détours du mécanisme de Bitcoin non prévu à cet effet. L’avenir nous dira donc si cet engouement pour les tokens BRC-20 est une simple vague passagère ou un véritable raz-de-marée prêt à s’inscrire dans la durée et capable de convaincre les plus fervents détracteurs de Bitcoin tels que Peter Schiff.

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Ethereum, une security ou une comodity ? L’avenir de l’ETH menacé aux USA

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Action ou matière première : l’ETH en garde alternée  – Action (security) les semaines paires, matières premières (commodity) les semaines impaires. Voici une idée qui pourrait bien ravir les régulateurs américains que sont la SEC (Security Exchange Commission) et la CFTC (Commodity Futures Trading Commission). Ces derniers se chamaillent depuis des lustres pour faire tomber dans leur giron la seconde crypto du marché : l’ETH.

Ethereum : le beurre et l’argent du beurre pour le régulateur ?

Lequel des deux a raison ? Depuis des mois, des années mêmes, la bataille fait rage entre le patron de la SEC, Gary Gensler, et le chef de la CFTC, Rostin Behnam. Tout deux cherchent à faire rentrer un rond dans un carré, à loger l’OVNI crypto tout juste débarqué sur la planète Terre dans des cases étriquées et poussiéreuses construites depuis des dizaines d’années. Et bien évidemment, les régulateurs ont beau pousser de toutes leurs forces, cela ne veut pas rentrer. Voici donc une idée lumineuse pour faire rentrer le carré ETH dans le rond de la législation : le couper en deux. Avec un peu de chance, cela finira par passer.

Lors d’une interview menée par Laura Shin pour le média Unchained, deux invités se sont exprimés à ce sujet : Dan Berkovitz, ancien commissaire à la CFTC, et Colin Lloyd, associé du cabinet Sullivan & Cromwell. Ce cabinet d’avocats aide notamment l’exchange Coinbase dans son combat contre la régulation abusive de la SEC.

Ces dernières semaines, Gary Gensler a été sommé par la justice de s’expliquer sur son acharnement anti-crypto. Il a également été rappelé à l’ordre sur la nécessité d’établir une réglementation claire à l’égard des cryptomonnaies, et ce, afin de ne pas pénaliser plus longtemps les entreprises qui tentent de se développer aux USA et qui, il faut bien le dire, ne savent plus où donner de la tête. Interrogé sur le cas Ethereum, Gary Gensler n’a pu que bredouiller, refusant de se positionner sur la question. La cours l’a pourtant asséné : un actif ne peut pas être à la fois une security et une commodity… Ou peut-être que si, en fin de compte.

En effet, pour Dan Berkovitz, et contrairement à la pensée commune, il serait bien possible qu’Ethereum, et plus largement les actifs numériques, puissent tomber sous le coup des deux juridictions.

Les cryptos bientôt soumises aux deux corps régulatoires : SEC et CFTC ?

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Action et matière première : l’innovation crypto menacée aux USA ?

Au final, tout ceci est une affaire de définition légale. En clair, dans la loi, rien n’empêche un actif de se voir contraint de respecter les deux réglementations.

« La loi est clair. Un actif peut en effet être à la fois une action et une matière première. »

Dan Berkovitz

Nous sommes toutefois loin de la mise en application d’une telle réglementation. Cela serait une première et un préjudice pour le développement du secteur aux USA. Mais plus rien ne pourrait nous étonner désormais. Le secteur crypto n’est donc pas à l’abri d’une surprise.

En effet, les matières premières ne sont pas purement physiques, selon la loi. Cela ne s’arrête donc pas au blé ou à l’or, mais virtuellement tout ce qui tombe sous l’égide de contrats futurs. D’un autre côté, les actions incluent dans leur giron des actifs, tels que des notes ou des contrats d’investissement. Des éléments susceptibles, eux aussi, de faire l’objet de contrats futurs. De fait, les deux législations ne seraient pas totalement incompatibles. Et les cryptos pourraient donc se voir placées, à l’insu de leur plein gré, dans ce petit interstice.

Lloyd, de son côté, reste plus modéré sur la question :

« Je ne vois rien dans la loi qui puisse me dire qu’une série de chiffres qui fonctionne sur une blockchain puisse être par défaut considérée comme une security. »

Le problème de la catégorisation des cryptomonnaies est épineux. Épineux, mais primordial pour l’avenir du secteur. Un avenir qui, à mesure que la réglementation piétine, est remis en question, freinant le développement des sociétés cryptos. Ces dernières ne souhaitent pourtant qu’une seule chose : un minimum de clarté et l’arrêt des sanctions éhontées de la SEC à leur encontre. Une machinerie qui semble s’emballer ces derniers mois, poussant nombre d’entreprises cryptos à quitter les USA.

Le temps de la régulation est venu, et avec lui celui de l’incertitude. N’attendez plus pour préparer l’avenir. Inscrivez-vous vite sur la plateforme Binance, et économisez 10 % sur vos frais de trading en suivant ce lien (lien commercial).

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Enchères Sotheby’s : la collection NFT de 3AC bat tous les records

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En croisade vers la quête du Grails – Pour les Indiana Jones des temps modernes, les trésors les plus recherchés sont désormais virtuels. Ils prennent la forme de NFT (non fungible tokens) et pas n’importe lesquels : ceux de la collection « GRAILS » de Sotheby’s, spécialiste des ventes aux enchères. Et, les prix explosent les prédictions.

Les NFT : un art moderne prêt à marquer l’Histoire ?

La collection GRAILS de la maison Sotheby’s défraie la chronique ces derniers jours dans le monde des collections d’art numériques, les fameux NFT. En effet, les NFT qui la composent sont particuliers à deux titres.

D’abord, parce qu’ils sont issus de la collection personnelle de Three Arrows Capital (3AC). Le fonds d’investissement en faillite a mis la clé sous la porte en juillet 2022 après avoir accumulé les risques, piégé par la catastrophe Terra (LUNA).

Ensuite, car ces œuvres numériques mises aux enchères par Sotheby’s ont été créées par des artistes renommés. Des œuvres incrustées dans l’histoire même de cet art numérique si récent que l’on appelle NFT. Parmi elles, nous retrouvons notamment :

  • Ringers #879 (The Goose), Dmitri Cherniak ;
  • Fidenza #216, Tyler Hobbs ;
  • Cryptopunk #6649, Larva Labs ;
  • Archetype #397, Kjetil Golid.
Œuvres iconiques de la collection GRAILS de la maison Sotheby’s, issues de la collection personnelle du fonds 3AC en faillite

Toutefois, celles qui ont fait le plus parler d’elles ces jours-ci sont Fidenza #725 de Tyler Hobbs et Autoglyph #187 de Larva Labs. Les deux œuvres ont été mises aux enchères le 20 mai dernier, avec un prix de vente initialement estimé entre 120 000 et 180 000 dollars chacune.

Les ventes de NFT lors de la mise aux enchères par Sotheby's ont dépassé toutes les espérances.
Sotheby’s a organisé une mise aux enchères d’œuvres NFT qui a dépassé de loin toutes les espérances concernant les prix de vente

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Œuvres d’art numériques : le virtuel à un prix et celui-ci est élevé

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le prix de vente définitif de ces NFT a largement dépassé les attentes et déjoué tous les pronostiques.

« Impressionnant par son rythme et son mouvement, l’œuvre ‘Fidenza #725’ Tyler Hobbs vient juste d’être vendue pour 1 016 000 dollars, soit presque 5 fois la plus haute estimation de prix. »

Le prix de l'œuvre NFT Fidenza #725 de Tyler Hobbs a dépassé toutes les prévisions.
Sotheby’s s’exprime sur la vente juste achevée de l’œuvre Fidenza #725 – Source : Twitter

L’œuvre Autoglyph #187 de Larva Labs s’est, quant à elle, vendue pour 571 500 dollars, soit tout de même 3 fois la valeur de l’estimation la plus élevée. Le Cryptopunk #1326 s’est vendu pour 165 000 dollars, tandis que Ringers #194 de Dmitri Cherniak est parti pour 152 400 dollars.

D’autre part, l’œuvre emblématique Ringer #879 de Dmitri Cherniak, plus connue sous le nom « The Goose », sera mise aux enchères le 15 juin prochain à New York. Le futur prix d’acquisition promet déjà de dépasser les plafonds.

Sotheby’s a d’ores et déjà récolté non loin de 2,5 millions de dollars via ces mises aux enchères successives. De quoi récupérer une partie des fonds perdus des créanciers de Three Arrows Capital à travers cette liquidation. De manière certaine, cette nouvelle vente aux enchères démontre que les œuvres NFT emblématiques de cet élan d’art moderne, ancré dans la blockchain, figé dans le numérique, ont un prix. Un prix très élevé. Une tendance dans laquelle plonge toute entière la maison Sotheby’s. Celle-ci a, en effet, récemment créé sa branche dédiée aux NFT : Sotheby’s Metaverse.

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Mister Pizza, une collection NFT prête à dévorer le web 3

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Une envie de pizza pepperoni saupoudrée de web 3 ? – Un monde nouveau, inconnu, libre, dans lequel tout reste à bâtir. Non, je ne parle pas de l’Amérique de 1492 alors que Christophe Colomb posait à peine le pied dessus. Mais bien du web3, un monde virtuel, même si dans un sens, nous pourrions y trouver un parallèle. En tant qu’explorateur des temps modernes, la société de livraison Mister Pizza vient de planter sa pelle dans le monde des NFT. De nouvelles senteurs aux accents du numérique sont prêtes à s’échapper d’une collection que le pizzaïolo a cuite à feu doux, spécialement pour vous. On vous explique tout.

Mister Pizza, un avant-goût de la société web 3 ?

Les marques s’y précipitent, les géants du web 2 tentent de l’accaparer, le grand public peu à peu s’y accoutume et les curieux de la Tech y sont déjà enlisés jusqu’au cou. Je parle bien sûr du web 3. Un monde décentralisé où les échanges vont croissants et les pépites technologiques en devenir s’y multiplient. Parmi elles, les NFT (Non Fungible Token), des possessions numériques qui peuvent être artistiques, utilitaires, communautaires, voire tout cela en même temps.

Mister Pizza, en ce sens, fait figure de précurseur. Le livreur se met aux fourneaux pour vous concocter une recette qui ne manque pas de piquant. En effet, le leader de la livraison de pizzas dans les Alpes Maritimes (06) et dans le Var (83) sort sa toute première collection NFT. Et celle-ci promet de nombreux avantages à ses futurs détenteurs.

1000 NFT qui sont en réalité 1000 cartes de membres VIP, associées à des privilèges uniques. La vente aura lieu le 22 mai 2023, fête annuelle de l’emblématique Pizza Day, la date du premier échange en bitcoins. 2 pizzas contre 10 000 bitcoins, aux premières heures de l’existence de la blockchain Bitcoin en 2010.

Les détails de la collection NFT de Mister Pizza

Cette collection sera la première d’une série de 3 qui seront lancées chaque année entre 2023 et 2025 sur la blockchain Ethereum. L’objectif pour l’enseigne est ambitieux : l’ouverture d’un magasin Mister Pizza en plein cœur de New York grâce aux fonds récoltés.

Ces 1000 NFT seront divisés en 3 catégories :

  • 580 NFT « Pizza’stronautes » vendus à 200€ l’unité
  • 399 NFT « Vaisseaux Millénium » vendus au prix de 300€ l’unité
  • 20 NFT « Le Pirate » vendus au prix de 490€ l’unité

Et 1 NFT « Pizza d’Or » mis aux enchères sur le site nft.mister-pizza.com à partir du 22 mai, et ce, durant 30 jours.

Mister Pizza lance sa collection NFT le 22 mai 2023 et propulse ses pizza au cœur du web 3

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Pizza et NFT, le bon mariage de saveurs ?

Au-delà de leur côté artistique, ces NFT auront avant tout de nombreuses utilités. Devenir l’heureux détenteur du NFT Pizza d’Or c’est se voir offert la livraison d’une pizza par semaine pendant 10 ans, rien que ça. Soit 520 pizzas au prix de 12,50 € la pizza, cela fait un beau petit cadeau de 6 500 €.

Une collection NFT remplie d’avantages pour ses VIP

Quant aux détenteurs des 999 autres NFT de la collection, les avantages seront multiples :

  • Sur chaque pizza achetée, à partir de 12€ d’achat, il y aura 2€ de réduction pour les détenteurs de NFT
  • L’accès à toutes les nouveautés en avant-première
  • Vos pizzas seront livrées dans une boîte VIP noire, en contraste avec la couleur jaune des boîtes de livraison standards
Une boite à pizza VIP pour les détenteurs de NFT de Mister Pizza.
Une boite à pizza VIP pour les détenteurs de NFT de Mister Pizza
  • Accès à la nouvelle pizza « Pizz’NFT » concoctée par le chef spécialement pour les VIP
  • Inscription automatique des VIP NFT aux différents jeux-concours organisés
  • Une représentation physique de l’œuvre NFT
  • Comme tout NFT, celui-ci peut se revendre et dans ce cas, le nouveau détenteur récupère l’entièreté des avantages

De plus, à la fin de la vente, un tirage au sort aura lieu entre les détenteurs d’un VIP NFT. Les 11 gagnants auront le droit à 1 Pizza offerte par semaine pendant 1 an.

Amoureux de numérique et de saveurs, cette collection NFT est faite pour vous. Parmi tous ceux qui tentent de dompter cet univers web 3, les enseignes de restaurations, elles aussi, veulent leur part de pizza. Avec sa collection NFT, Mister Pizza fait figure de précurseur, de porte-étendard. Un test grandeur nature afin de paver le chemin, on l’espère, à de nombreuses initiatives similaires. Les marques et sociétés tentent de se rapprocher de leur communauté via le web 3 et, grâce à leur soutien, de développer leurs ambitieux projets. En l’occurrence ici, il s’agit pour Mister Pizza de partir à la conquête de l’Amérique, comme Christophe Colomb l’avait fait en son temps.

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Bitcoin interdit : le projet de loi d’Elizabeth Warren menace l’écosystème crypto

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Une armée anti-crypto – Décidément, les « Warren » ont une dent contre le monde crypto, que ce soit le multimilliardaire Warren Buffett ou la sénatrice Elizabeth Warren. Cette dernière s’est même donnée une mission d’envergure : détruire l’écosystème crypto. Pour cela, elle conduit un projet de loi qui menace purement et simplement le développement du web 3. Et celui-ci pourrait bien aboutir.

Bitcoin, arme des criminels ? Des préjugés qui ont la vie dure

La guerre de préjugés d’Elizabeth Warren contre Bitcoin

Ce n’est pas la première fois que la sénatrice US s’attaque à Bitcoin. En juin 2021, Elizabeth Warren s’en était déjà prise violemment aux cryptos. Pour cela, les mêmes clichés sont inlassablement répétés :

« Les cryptomonnaies ont créé des opportunités pour escroquer les investisseurs, aider les criminels et aggraver la crise climatique. »

Des assertions toutes plus fausses les unes que les autres et que nous pouvons démonter en deux lignes.

Non, Bitcoin n’est pas utilisé par les criminels : ces derniers préfèrent le dollar

Tout d’abord, le rapport de Chainalysis a montré que les activités criminelles représentent moins de 1 % des transactions cryptos. Ce niveau descend même à 0,15 % en 2021, dont 80 % liées à des arnaques ou des fonds volés, non à du blanchiment à proprement parler.

Part de transactions illicites en crypto selon les années – Source : Chainalysis

Évidemment, la blockchain permettant de suivre à la trace l’entièreté des transactions, ce n’est vraiment pas le meilleur outil lorsque l’on cherche à se faire discret. Les criminels le savent bien. Même le Hamas ne veut plus passer par Bitcoin pour recevoir des dons. Et la CIA reconnaît que Bitcoin n’est qu’une goutte d’eau comparé au blanchiment d’argent qui passe par les monnaies traditionnelles. Pour mener des activités illicites, rien de tel que ce bon vieux dollar. Malheureusement, les préjugés ont la vie dure.

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Non, Bitcoin n’est pas la cause du dérèglement climatique, mais plutôt une solution

Il en est de même pour la fameuse crise climatique. À entendre ses détracteurs, Bitcoin serait l’ultime cause du réchauffement climatique, une abomination à bannir de toute urgence. Pourtant, l’industrie du minage a la plus renouvelable de toutes, et de loin, basée à 50 % sur des énergies vertes et renouvelables. En réalité, Bitcoin n’est responsable que de 0,08 % des émissions de CO₂, selon le rapport Coinshares.

Il serait même, au contraire, le maillon manquant qui pourrait permettre la démocratisation des énergies renouvelables. Il peut apporter une source de consommation d’énergie aisément pilotable, une solution au torchage et à l’électrification des territoires. Pour tout comprendre, je vous invite à lire le dernier écrit d’Alexandre Stachtchenko sur le sujet.

La menace de la loi US contre le blanchiment d’argent en crypto

Un projet de loi liberticide pour l’innovation et inutile contre le blanchiment

Cette fois, Elizabeth Warren conduit un projet de loi mettant en avant la lutte contre le blanchiment d’argent en crypto : « The Digital Asset Anti-Money Laundering Act ». Si ce projet de loi est voté, il pourrait bien aboutir à la disparition pure et simple des boîtes cryptos aux États-Unis. On vous explique pourquoi.

Tout d’abord, les porteurs de cette loi veulent faire croire que les cryptos sont seules porteuses de cette malédiction d’attirer les adeptes du blanchiment d’argent. Or, comme nous l’avons vu, leur responsabilité dans ces trafics est infime.

Et ils font croire également que les règles déjà établies sont dans l’incapacité d’agir contre ces abus, ce qui n’est pas non plus prouvé. Avant d’établir une loi, il est nécessaire de monter que celle-ci apporte plus de bien que de mal. Détruire l’innovation crypto pour supprimer le blanchiment d’argent lié au cryptomonnaies ne peut pas être une solution. Et c’est pourtant la stratégie qui semble être adoptée via ce projet de loi : bannir la crypto sous couvert d’une loi contre le blanchiment d’argent.

Un projet de loi bâti pour détruire l’industrie crypto

En effet, cette loi forcerait les sociétés cryptos à s’enregistrer en tant qu’établissement bancaire. Cela concerne :

  • Les entreprises développant des logiciels liés de près ou de loin à la technologie crypto ;
  • Les entreprises validant des transactions sur une blockchain.

Toutefois, ces sociétés sont, en l’état de la réglementation actuelle, dans l’incapacité totale de répondre aux normes imposées à de tels établissements. Sans compter que la plupart sont encore des startups dans un écosystème émergent. Elles sont donc dans l’impossibilité de souscrire à ces règles de compliance qui nécessitent plusieurs millions de dollars d’investissement afin de s’y conformer.

Un cheval de Troie prêt à s’introduire au cœur de l’écosystème crypto

Les cryptos sont en réalité au cœur d’un conflit d’intérêts avec le dollar américain. De nombreux députés et dirigeants font semblant de ne pas voir les qualités intrinsèques de Bitcoin, car son adoption par le grand public n’est absolument pas dans leur intérêt. Le concept de crypto, et surtout ses mécaniques internes, étant nouveau et peu connu, il est aisé de biaiser l’avis de la population à grands renforts de matraquage médiatique.

Pour John Rizzo, ancien porte-parole du département du Trésor américain, cet loi Warren-Marshall constitue l’équivalent d’un cheval de Troie pour le monde des cryptomonnaies. Elle provoquerait en définitive le ban pur et simple des activités cryptos, sans lutter contre le blanchiment d’argent, ce dernier étant principalement libellé en dollar. Une énième réglementation donc, contre laquelle l’écosystème crypto devra lutter s’il veut pouvoir survivre… Pour enfin un jour démontrer au grand public, espérons-le, l’étendue de ses capacités à révolutionner notre monde et protéger nos libertés.

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Faillite de Voyager : fin de l’aventure pour les victimes de la plateforme crypto ?

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La fin du voyage ? – Des rebondissements dignes d’un blockbuster hollywoodien. L’intrigue de la saga Voyager était telle qu’on ne serait même pas surpris de voir une série Netflix retraçant son histoire débarquer l’année prochaine sur nos écrans. Toutefois, aujourd’hui, il semblerait que l’aventure soit belle et bien terminée. Tous les détails.

Voyager : les victimes récupèreront 37,5% des fonds

Touchée de plein fouet par la catastrophe Terra Luna il y a un an de cela, la plateforme de prêts crypto Voyager s’est déclarée en faillite en juillet dernier. La société avait bon espoir de se faire racheter par le mastodonte qu’était alors l’exchange FTX avant que celui-ci… ne fasse faillite à son tour. Qu’à cela ne tienne, si le mastodonte en second tire la langue, autant s’allier au mastodonte en chef, Binance.

Ainsi, depuis novembre 2022, Binance.US, filiale américaine de Binance, s’était engagé à son tour dans une procédure de rachat de la capsule Voyager à la dérive. Un processus qui semblait sur la bonne voie lui aussi, du moins au départ. C’était bien sûr sans compter sur l’œil suspicieux du régulateur américain. En mars dernier, la justice américaine s’est opposée catégoriquement au rachat de Voyager par Binance.US.

Binance.US contraint par le gouvernement US d’abandonner son projet de rachat de la plateforme Voyager

Contrainte d’abandonner son rachat, Binance a finalement jeté l’éponge. La société crypto Voyager se retrouvait de nouveau à la dérive au sein d’un univers plutôt hostile aux cryptos. De fait, aujourd’hui, le couperet est tombé. Nous apprenons que seulement 35,7% des fonds des victimes de la faillite de la plateforme devraient pouvoir être récupérés.

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Une résolution crypto malheureuse dans le chaos ambiant aux US

Faute d’acquéreur, le plan de liquidation de la plateforme Voyager, proposé le 5 mai dernier, a été finalement accepté. Ce qu’il reste d’actifs sera donc vendu et retourné à l’ensemble des créanciers.

Il faut dire qu’en ce qui concerne la réglementation crypto, c’est le flou le plus total qui règne aux États-Unis. La SEC (Securities Exchange Commission) comme la CFTC (Commodity Futures Trading Commission) se battent pour faire appliquer leurs propres lois sur la crypto. L’associant, selon leur bon vouloir, tantôt à un actif numérique, tantôt à une matière première. Le bon sens voudrait que la crypto, en ovni récemment surgit du numérique, se voit attribué un cadre spécifique. Un cadre flambant neuf et non poussiéreux. Ou du moins, que ce secteur émergent ne soit pas doublement contraint de respecter les codes de classes d’actifs différentes. Oui, mais non.

De fait, de nombreuses entreprises crypto, comme Coinbase notamment, menacent désormais de quitter le pays. Après des années à s’être conformés autant que possible à la régulation, ils se disent prêts à fuir les États-Unis en quête de territoires plus ouverts, à la réglementation plus claire. Est-ce que les USA, par peur du développement de cette économie alternative, seraient en train de passer à côté de la révolution crypto ? L’avenir nous le dira, mais ils semblent en effet sur la bonne voie.

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Des NFT en 2010 ? L’incroyable histoire de ce jpeg à 500 BTC

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Le premier NFT de l’histoire – Alors que la commémoration du Pizza Day approche, le 22 mai prochain, l’occasion est trop belle de replonger dans les entrailles du forum BitcoinTalk. À une époque où seulement quelques initiés discutaient de Bitcoin, un ovni encore inconnu de la majorité d’entre nous. Et si, à la genèse de Bitcoin, le concept de NFT avait déjà fait surface ? Enquête.

Un NFT en vente avant même les célèbres pizzas

Nous sommes en janvier 2010. Ce n’est que 5 mois plus tard que le programmeur Laszlo Hanyecz demandera à échanger deux pizzas contre 50 000 bitcoins. Une requête qui semble farfelue aujourd’hui tant le montant est énorme. Mais à l’époque, cette étrange créature nommée bitcoin ne vaut pas grand-chose. Ce n’est donc pas son prix qui était alors inédit, mais bien l’échange en lui-même, le premier du genre. La toute première transaction permettant d’acheter un bien de consommation avec des bitcoins… La toute première, vraiment ? Pas si sûr…

En effet, dans les méandres du forum Bitcoin Talk, tanière des développeurs de Bitcoin et des premiers curieux, il semblerait qu’une autre transaction ait été enclenchée avant. Nous sommes en janvier 2010, donc. Un anonyme sous le pseudo « Sabunir » se décrit comme un débutant sur Bitcoin. Tout le monde l’était un peu à cette époque d’ailleurs, sauf le cerveau derrière l’œuvre, Satoshi Nakamoto.

Sabunir veut alors faire la chose la plus simple qui soit lorsque l’on tombe sur un nouveau système de transaction. L’utiliser. Sauf qu’il ne veut pas se contenter d’une banale transaction. Non. Il souhaite vendre une image, de dimensions 1280×960 pour être précis, créée par ses soins. Il s’agit, selon ses dires, d’une image parfaite pour un fond d’écran d’ordinateur. Il souhaite donc l’échanger contre 1$ symbolique, payé en bitcoins. Soit l’équivalent d’un montant aujourd’hui astronomique, mais à l’époque ridiculement faible, de 500 bitcoins.

Un internaute propose d’échanger une image .jpeg contre 500 bitcoins – Source : BitcoinTalk.org

« Salut tout le monde. J’ai décidé d’essayer Bitcoin. Pour tester, je veux voir si j’arrive à me faire 1 dollar en vendant une image. […] 500 bitcoins devraient grossièrement équivaloir à 1 dollar (retranché des frais PayPal), n’est-ce pas ? »

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Le premier NFT de l’histoire a failli être sur Bitcoin dès 2010

Sabunir se questionne alors sur la possibilité, déjà à l’époque, d’associer un message à sa transaction Bitcoin. Il souhaite transmettre via sa transaction un lien de téléchargement renvoyant vers son image, auquel n’aurait accès que le destinataire.

Bien sûr, nous savons aujourd’hui que tout message transmis via la blockchain est visible par n’importe qui, mais à l’époque où Bitcoin émergeait à peine, il n’y avait rien d’évident à cela. Il s’en est ensuivi de nombreux échanges auxquels Satoshi en personne a participé.

Satoshi s'exprime sur le sujet de l'inclusion de texte dans les transactions Bitcoin.
Satoshi intervient pour expliquer que la transaction en l’état n’est pas possible – Source : BitcoinTalk.org

« Oui, il s’agit d’une limitation technique. […] Je voudrais vraiment que l’on trouve un moyen d’inclure de courts messages [dans les transactions], mais le problème est que le monde entier serait en mesure de voir le message. »

Une image qui aurait pu faire partie de l’Histoire de Bitcoin

Sabunir s’est finalement résigné à modifier sa transaction, demandant à quelqu’un de lui envoyer les 500 bitcoins. En échange, il promettait d’envoyer le lien de téléchargement par message privé. Seulement voilà, le 9 février 2010, pas le moindre candidat à l’échange ne s’est fait connaitre. Sabunir est resté bredouille et exprime sa frustration sur le forum. L’internaute « SmokeTooMuch » lui répond à juste titre :

« Il y a des sources gratuites avec de très bons fonds d’écrans, pourquoi dépenser de l’argent pour cela ? »

Ce à quoi Sabunir aurait dû lui répondre : « Pour entrer dans la légende, tout simplement. » Mais il ne l’a pas fait, ce qui est bien normal à une époque où tout le monde était très loin de se douter que Bitcoin aurait un tel destin. L’échange de messages s’est arrêté là. Quelques mois plus tard, ce sont finalement deux pizzas qui seront échangées contre des bitcoins et non une image.

Une image qui a failli être le « tout premier NFT » de l’histoire, sur la première des blockchains. Une image qui, pour un malheureux dollar investi, aurait rendu célèbre autant le vendeur que l’acquéreur. Et aurait probablement mis à l’abri ce dernier pour le restant de sa vie. Mais ceci est une histoire que nous ne connaitrons pas. Toutefois, la genèse de Bitcoin est parsemée de nombreux récits, tout aussi passionnants.

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Bitcoin, crypto et cybercriminalité : les Services Secrets répondent aux questions sur Reddit

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My name is Bond. Bitcoin Bond – Non, rien à voir avec les Bitcoin bonds du Salvador. Aujourd’hui, nous nous intéressons à des personnes adeptes du mystère, les Services Secrets des États-Unis. En effet, ces derniers ont plongé, et pas qu’un peu, au cœur d’un monde tout aussi mystérieux, celui de la crypto. Tous les détails.

Des unités spécialisées crypto qui livrent leurs secrets

De manière assez inédite, une session de questions réponses (AMA, Ask Me Anything en anglais) s’est tenue sur le célèbre forum Reddit ce 15 mai. Une discussion qui a permis de découvrir quelques pépites à propos de cette agence qui sait si bien cultiver le mystère. Deux corps de métiers de l’agence étaient présents :

  • La division crypto des Services Secrets du bureau de San Francisco
  • La Bay Area Regional Enforcement Allied Computer Team (REACT)

La première, unité spécialisée crypto des Services Secrets, a été officiellement mise sur pieds en mars 2022. La task force REACT, quant à elle, possède un champ d’action plus global, qui concerne le cyber crime.

Les Services Secrets spécialisés en cyber crime répondent aux questions des internautes sur Reddit

Première nouvelle : la majorité d’entre eux affirment être « holders de cryptos ». Pour comprendre une technologie, passer par la pratique est en effet une méthode judicieuse voir même nécessaire. Ainsi, les différents membres de ces unités sont spécialistes dans les mécanismes blockchain, le plus dur étant d’expliquer ce qui se passe à leurs autres collègues ou leurs chefs.

« La plupart des affaires nécessitent un certain niveau de pédagogie ELI5 [Explique moi comme si j’avais 5 ans]. Ce qui est même devenu un running gag ici. »

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Les Services Secrets fans de crypto

REACT reconnait également que la technologie blockchain est un formidable outil de traçabilité et une « opportunité incroyable » de suivre l’argent.

« La beauté de la blockchain nous aide à tracer les fonds mais connecter les wallets à l’identité d’individus reste une toute autre histoire. »

La blockchain est pseudonyme. Il faut donc à un moment donné que le criminel associe son identité à l’adresse de son wallet, sur une plateforme d’exchange par exemple. Un passage souvent obligatoire pour pouvoir convertir des fonds en grandes quantités en dollars ou dans une autre monnaie.

Les internautes de Reddit n’ont pas manqué non plus d’interroger les Services Secret sur la véritable identité de Satoshi Nakamoto. Leur réponse est à l’image de leur aura : mystérieuse.

« Il est possible que nous connaissions Satoshi, mais tout cela est classifié. »

A mesure de son développement, la blockchain s’introduit peu à peu dans les entreprises et les infrastructures gouvernementales. Les Services Secrets, eux-mêmes, montent désormais des équipes spécialisées pour lutter contre les malfaiteurs qui tentent de profiter de chaque faille de cet écosystème en construction. Une chose est certaine : ces spécialistes ne manquent pas de reconnaitre les qualités de ce nouvel outil. Des qualités que s’évertuent à ignorer certains médias qui ont la critique aisée, mais n’ont jamais pratiqué cet art difficile.

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Marre du Play2Earn ? Entrainez votre IA avec le Chat2Earn

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Le jeu du Chat et de la souris – Attrape mon argent si tu peux. Move2Earn, Sleep2Earn, Brosse-toi-les-dents2Earn… Depuis l’avènement de la tendance Play2Earn, toutes les subtilités ont été explorées. Toutes ? Non. Une irréductible idée surfe sur la hype de ce début d’année, les intelligences artificielles. Le Chat2Earn. Présentation.

BlockGPT, le chatGPT de la crypto ?

Cette récente initiative web 3 cherche bien sûr à jouer sur l’engouement du public pour notre partenaire de conversation préféré ChatGPT. De fait, l’entreprise BlockGPT vient de surgir dans l’univers crypto avec une lumineuse idée : proposer un service de chat dans l’univers décentralisé de la blockchain. Un service assorti bien sûr du lancement de tokens mème, c’est-à-dire des cryptos dépourvues de fondamental. L’entreprise ne s’en cache pas d’ailleurs sur ses publications Twitter.

La société BlockGPT lance un service de chat IA et crypto – Source : Twitter

L’entreprise déploie sur la BNB Chain, la blockchain de l’exchange Binance, deux tokens. Le token de gouvernance BGPT et le token meme AIBGPT. Pour ce dernier, le ton humoristique est clairement affiché. En effet, ses différentes caractéristiques cochent toutes les cases du meme token par excellence :

  • Quantité totale de 10 000 milliards de jetons
  • Surfant la hype de l’IA et du Chat2Earn
  • Lancé sur la BNB Chain

Ce système de Chat2Earn s’associe à un système de récompenses pour les utilisateurs qui viendront tester le service. Ces prix seront de deux natures : des NFT (Non Fungible Token) et des tokens.

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Combiner IA et crypto, Chat fait même pas peur

Selon nos confrères de Cointelegraph, l’entreprise emploierait 6 systèmes d’IA préentrainés, bien que les différents paramètres et caractéristiques ne soient pas mentionnés.

« BlockGPT a été entrainé en utilisant un large panel d’informations relatives au monde de la blockchain, des ressources et des papiers de recherches. […] De cette manière, BlockGPT est désormais capable de comprendre et de répondre à une grande variété de questions relatives à la technologie blockchain. »

Combiner plusieurs tendances, crypto, IA, Play2Earn, est un jeu dangereux. Car l’attractivité gagnée par le cumul des tendances est souvent perdue en sérieux et en confiance des futurs utilisateurs dans le devenir du projet. Que l’on soit débutant ou aguerri, il est toujours primordial de bien étudier ses investissements, au risque de perdre sa mise si la société sur laquelle on a parié ne tient pas ses promesses.

Nul ne sait si BlockGPT est promis ou non à un avenir radieux. Cette initiative est une vaguelette de plus dans le tumultueux océan de projets qui peuplent le web 3. Et dont jailliront sans nul doute les perles du monde de demain.

Après le Play2Earn et le Chat2Earn, voici le Spend2Earn ! Gagner du bitcoin tout en dépensant, c’est possible en vous inscrivant sur Coinmiles, l’application qui vous reverse un cashback en BTC pour vos achats. De plus, vous recevrez 25 000 satoshis dès votre première commande (lien commercial).

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La macroéconomie influence-t-elle la crypto ?

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Une goutte d’eau dans un océan – C’est souvent l’expression employée pour qualifier la crypto dans ce gigantesque flot continu de billets qui abreuve les marchés. La crypto ne pèse pas bien lourd face à la finance traditionnelle. Mais ce n’est pas pour autant que cette goutte d’eau ne suit pas le courant, emportée malgré elle par le remous des vagues. Un rapport d’analyse publié par S&P Global tente justement de découvrir les liens existants entre ces deux univers. Tous les détails.

Étudier la macro pour comprendre la crypto

Finance traditionnelle et marché crypto semblent en apparence différents dans de nombreux aspects. L’un à la merci des banquiers, l’autre décentralisé. Mais ces deux mondes sont en réalité reliés par un système de vases communicants par lesquels circulent la monnaie et les investissements. Toutefois, en sommes-nous certains ? De quelle manière le marché crypto est-il réellement influencé ? Le comportement de cet écosystème un peu à part est-il vraiment dicté par des évènements de macro-économie ?

Nous prêtons différents rôles à Bitcoin et aux cryptos. Tantôt un rempart contre l’inflation, tantôt une échappatoire en temps de crise, au même titre que l’or. Et selon certains aussi, un simple marché plus risqué permettant de faire du levier sur ses investissements. Ce qui est sûr, c’est ce que peu d’entre nous savent vraiment à quoi correspond réellement Bitcoin. La manière dont il s’insèrera dans notre société, notre économie, reste encore floue. Tout simplement parce que cette histoire s’écrit jour après jour, et que l’avenir est, plus que tout, incertain.

Toutefois, rien ne nous empêche d’effectuer des corrélations, des associations, d’étudier le passé pour tenter de prédire le futur. C’est ce qu’ont fait les analystes de S&P Global. Et voici leurs conclusions.

Tout d’abord, les performances crypto se retrouvent inévitablement associées au risque sur les marchés. Et donc inversement corrélées au resserrement de liquidités, représenté par le taux d’intérêt à 2 ans sur le graphique ci-dessous. Et ce, avec une précision de 63% depuis mai 2017 et même 75% depuis le crack Covid de 2020.

S&P Global étudie la corrélation entre le risque sur les marchés et les performances d’un panier de cryptos parmi les plus capitalisées – Source : Twitter

En clair, lorsque les taux sont faibles et que l’argent coule à flots, les cryptos en profitent pleinement.

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La véritable raison d’être de Bitcoin reste-elle encore un mystère ?

Bitcoin, un edge face à l’inflation ?

Les cryptos sont considérées comme un rempart face à l’inflation. Pour S&P Global, leur historique est trop court cependant pour pouvoir le démontrer avec certitude. D’autre part, si cette hypothèse pourrait un jour se révéler vraie pour Bitcoin, ou d’autres cryptos dotées d’un modèle économique déflationniste comme Ethereum, ce n’est certainement pas le cas de la majorité des cryptos.

D’autre part, on ne peut nier que dans de nombreux pays, en Afrique ou en Amérique du Sud par exemple, Bitcoin agit comme une valeur refuge. Un refuge pour des populations en proie à une hyperinflation sauvage et qui tentent de sauver leur épargne. C’est le cas en Argentine ou au Nigeria.

Par ailleurs, en ayant investi en 2012 dans Bitcoin et en ayant conservé la somme jusqu’à aujourd’hui, il est vrai qu’un tel investissement bat sans conteste l’inflation durant cette même période, et de très loin. Mais cette explosion de prix n’était-elle pas plutôt due à l’émergence d’une technologie nouvelle qu’à une véritable raison d’être de Bitcoin comme rempart à l’inflation ? Cela reste à démontrer.

Bitcoin, le miroir du dollar ?

Le rapport de S&P Global affirme également que l’évolution du dollar est inversement proportionnelle à celle du cours des cryptomonnaies. Et il est vrai que les bull run de Bitcoin se produisent plutôt lorsque le dollar stagne ou baisse. Tandis que les bear market crypto sont souvent associés à une hausse de ce dernier. C’est-à-dire à des périodes de resserrement monétaire où l’argent se fait rare. Là encore, le nombre d’occurrences étant de 3 bull run et autant de bear markets, difficile d’en tirer une véritable tendance.

Le précédent bull run toutefois s’est effectivement produit post-Covid, après un afflux sans précédent de liquidités sur le marché et durant une période faste de taux zéro.

Quand l'argent se déverse sur les marchés, il envahit aussi évidemment le secteur crypto.
Le bilan de la FED augmente drastiquement durant le Covid19, cet argent doit bien se déverser quelque part. Il afflue sur les marchés, crypto inclus

Dès que la Fed a rehaussé ses taux, avec une vigueur jamais connue précédemment d’ailleurs, cela a signé le début du bear market pour Bitcoin.

Graphique d’évolution de la hausse de taux aux USA – le bull run de Bitcoin s’est produit en période favorable de taux faibles

Crypto et macro, entre corrélation et indépendance

Les analystes de S&P Global notent toutefois que Bitcoin et les cryptos semblent moins affectés par des facteurs macroéconomiques que les marchés traditionnels. En revanche, ce micro marché possède ses propres facteurs de variation. À titre d’exemple, nous pouvons citer le crash de Terra Luna ou la faillite de l’exchange FTX. Ces derniers ont provoqué des cataclysmes restreints en majeure partie au secteur crypto.

Dans le monde de la finance, rien n’est totalement dissocié ni jamais intrinsèquement lié. Du moment que les passerelles financières existent, la macroéconomie influence dans une certaine mesure la crypto. En revanche, rien ne dit qu’à l’avenir ces deux mondes suivront pour la vie des chemins similaires.

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Loi « influenceurs » au Sénat : vers un compromis ?

https://journalducoin.com/actualites/loi-influenceurs-senat-compromis/

Une lueur d’espoir pour les médias crypto ? – Souvenez-vous, c’était le 30 mars dernier. L’Assemblée Nationale, dans le cadre de la loi « influenceurs », votait l’interdiction pour les entreprises du secteur crypto de recourir aux services d’« influenceurs ». Une catégorie très large englobant notamment des médias à vocation informative et éducative comme votre serviteur, le Journal du Coin. Il semblerait désormais qu’après un passage au Sénat, le cadre très restrictif de cette loi puisse évoluer dans le bon sens. Décryptage.

Loi « influenceurs », la menace fantôme

Plus précisément, la loi dans sa forme initiale n’autorisait les partenariats rémunérés des influenceurs et médias crypto qu’avec les entreprises agréées PSAN (Prestataire de Services sur Actifs Numériques). Or, le nombre d’entreprises répondant à ce critère en France est de… zéro. La majorité des entreprises exerçant une activité qui a trait aux services crypto n’ont pu obtenir jusqu’à présent qu’un enregistrement PSAN, faute de cadre adapté pour pouvoir prétendre au fameux agrément.

D’autre part, la loi « influenceur » interdisait également tout partenariat pour la promotion d’acteurs non concernés par la réglementation PSAN. À titre d’exemple, notre licorne française Ledger n’a nullement besoin de se doter d’un enregistrement PSAN, ou même d’un agrément, pour exercer son activité. Toutefois, l’entreprise se voyait elle aussi exclue de tout partenariat promotionnel puisque ne disposant pas dudit agrément.

Par ailleurs, pour de nombreux médias comme le Journal du Coin, qui proposent chaque jour du contenu gratuit, ces partenariats sont bien souvent l’un des seuls moyens de financement. Cette loi mettait donc soudain en péril un grand nombre d’emplois. Un véritable coup d’arrêt pour ces activités d’information et d’éducation de la population française. Des activités qui militent pourtant au quotidien contre les arnaques et les scams, l’objectif même de ce pourquoi cette loi a été initiée au tout départ. Vous pouvez d’ailleurs retrouver à ce sujet une discussion entre notre président Grégory Guittard et le député Éric Bothorel.

Loi « influenceurs », un nouvel espoir

Ce mardi 9 mai, le Sénat vient toutefois de proposer un amendement qui permettrait sans doute de trouver un compromis.

L’Adan relaie l’ajout par le Sénat d’un amendement au texte initial de projet de loi « influenceurs » – Source : Twitter

« Est interdite pour les personnes exerçant l’activité d’influence commerciale par voie électronique la promotion, directe ou indirecte, des services, offres et produits suivants : […] les actifs numériques, à l’exception soit de ceux liés à des services pour la fourniture desquels l’annonceur est enregistré dans les conditions prévues à l’article L.54-10-3 ou agrée dans les conditions prévues à l’article L. 54-10-5 dudit code, soit dans le cas où l’annonceur n’entre pas dans le champ des articles L. 54-10-3 et L. 54-10-5 précités. »

En clair, la promotion de services crypto serait autorisée pour toute entreprise disposant de l’enregistrement PSAN. Cela représente environ 70 entreprises en France. Mais aussi pour toutes celles qui n’ont rien à voir avec la réglementation PSAN. Des entreprises comme Sorare ou Ledger typiquement. Par ailleurs, cet amendement forcerait tout exchange crypto offrant des services en France à s’enregistrer PSAN avant de pouvoir faire de la promotion. Ce qui est une bonne chose, car cela signifie plus de protection pour les particuliers.

Enfin, cet amendement permettrait dans le même temps aux médias crypto de continuer à exister et de poursuivre leur activité d’éducation et d’information. Car c’est tous ensemble, politiques et médias spécialisés, que nous parviendrons à offrir aux Français une éducation, une protection et un écosystème crypto plus sain. Écosystème qui se développera de toute façon dans le monde entier, avec ou sans nous, qu’on le veuille ou non.

Rien n’est joué pour autant aujourd’hui. L’ensemble du texte de loi doit désormais passer en commission mixte paritaire, commission composée de 7 députés et 7 sénateurs, d’ici fin mai. Avant un vote final à l’Assemblée nationale autour de fin juin. Nous serons alors fixé sur cette réglementation susceptible de bouleverser tout l’écosystème crypto français, pour le meilleur comme pour le pire.

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Le Lightning Network de Bitcoin sera t-il bientôt sur Binance ?

https://journalducoin.com/bitcoin/lightning-network-bitcoin-bientot-binance/

Eclair de génie dans la tempête de frais ? – Quand l’orage gronde sur Bitcoin, Binance coupe le réseau. Ces derniers jours, l’engouement pour les BRC-20, ces nouveaux tokens sur la blockchain Bitcoin, ont créé une immense congestion sur le réseau. Pour éviter une telle déconvenue à l’avenir, Binance pourrait bien apprendre à dompter les éclairs du Lightning Network.

Après un arrêt temporaire, Binance rouvre les retraits en bitcoins

Depuis début mars 2023, et à plus forte raison ces derniers jours, la création de tokens BRC-20 est plébiscitée sur Bitcoin. Si la technologie était déjà présente, les outils pour la mettre en œuvre sont désormais plus accessibles. Par l’intermédiaire des Ordinals, les NFT avaient déjà surgi sur le réseau Bitcoin en début d’année. Aujourd’hui, c’est au tour des tokens.

Bien évidemment, les utilisateurs se sont rué sur cette nouvelle opportunité de créer leurs propres pièces numériques, pour la plupart dépourvues de sens et de but, hormis peut être pécuniaire. Spéculation oblige. Sauf que cette génération soudaine d’un grand nombre de données prend de la place, occupe le réseau et crée des embouteillages. Bitcoin, soudain surchargé de transactions, voit ses frais d’utilisation drastiquement boostés. Or, payer 20 dollars au lieu d’1 dollar pour une transaction, cela ne fait évidemment pas plaisir. Si cela fait le bonheur des mineurs, les utilisateurs et les opérateurs comme Binance, eux, font la grimace.

De fait, Binance avait interrompu tous les retraits en BTC hier, lundi 8 mai, mais vient d’annoncer les avoir désormais rouverts :

« Les retraits en BTC sont de nouveau possibles sur Binance. Les transactions en attentes sont en train d’être traitées, en leur attribuant un niveau plus élevé de frais [afin de les faire passer sur le réseau]. »

Binance annonce se pencher sur la possibilité d’autoriser l’utilisation du Lightning Network sur sa plateforme pour les retrait en BTC – Source : Twitter

« Afin d’empêcher une situation similaire à l’avenir, nos frais ont été ajustés. Nous allons continuer de monitorer l’activité on-chain et ajuster [les frais] en conséquence.

Notre équipe est également en train de travailler sur l’implémentation des retraits via le Lightning Network [le réseau de seconde couche de Bitcoin], ce qui serait d’une grande aide dans ce type de situation. »

Annonce de Binance

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Les Ordinals : un cas d’usage tout trouvé pour le Lightning de Bitcoin ?

L’augmentation des frais sur Bitcoin est la réaction immunitaire naturelle à la sur-utilisation du réseau. Un soudain sursaut d’activité que certains qualifie de spam. D’autres, d’un cas d’usage inévitable. D’autres encore anticipent déjà les tokens BRC-20 comme la preuve par A+B que la blockchain Bitcoin survivra lorsque tous les bitcoins auront été minés. En effet, cette semaine a vu se produire la validation d’un bloc dont la récompense en frais de réseau dépassait pour la première fois la récompense en bitcoins minés.

Cette hype est accentuée par la nouveauté du processus découvert. Il est probable toutefois que cette intensité sur le réseau ne soit que passagère. Les tokens BRC-20 ainsi créés n’ont que peu de valeur. Il n’est donc pas certain que l’engouement se maintienne dans le temps. En revanche, la surcharge du réseau mère Bitcoin pourrait bien fournir une raison toute trouvée à l’émancipation du Lightning Network. En effet, ce réseau de seconde couche possède des frais d’utilisation ridiculement faibles. Il est donc bien plus adapté à ce type d’activité.

Comme le dit Binance, chaque nouveauté permet d’en apprendre un peu plus sur le fonctionnement de Bitcoin. La technologie évolue d’elle-même et s’adapte aux cas d’usage. Là-dessus, l’horloge Bitcoin est redoutable d’efficacité. Nul doute que tokens BRC-20 ou NFT Ordinals cohabiteront bientôt en toute tranquillité avec nos transactions, le tout à moindre frais.

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Alibaba lance Cloudverse, son metaverse sur Avalanche

https://journalducoin.com/actualites/alibaba-avalanche-cloudverse/

Le web 2 déboule dans le web 3 – Leur partenariat a débuté en décembre dernier avec le déploiement d’un service de nœuds validateurs sur la blockchain. Désormais, Alibaba et Avalanche passent à la vitesse supérieure et s’élancent en plein cœur du métavers. Une rampe de lancement pour un second sursaut des mondes virtuels au cœur de notre quotidien ? C’est que nous allons voir dans cet article.

Avalanche de partenariats blockchain en Asie

Si la blockchain Avalanche peut sembler plus silencieuse de notre côté du monde, sachez qu’en Asie, c’est tout le contraire. La blockchain d’Emin Gün Sirer se développe, fait du bruit et noue des alliances. La preuve en est encore aujourd’hui. Le géant du web et la pépite blockchain lancent leur nouveau service : Cloudverse. Les clients d’Alibaba vont ainsi pouvoir générer à partir de rien leur propre métavers afin de créer de toutes nouvelles dimensions au sein desquelles pourront évoluer leurs consommateurs.

« Aujourd’hui, Alibaba Cloud a annoncé qu’elle entrait dans le métavers sur Avalanche.

Avec Cloudverse, les millions de clients d »Alibaba Cloud pourront aisément déployer leurs métavers personnalisés et débloquer de nouvelles dimensions pour leurs consommateurs.

Avalanche fournira l’ensemble des éléments blockchains nécessaires à Cloudverse. »

Tweet d’Avalanche

Avalanche et Alibaba sur la voie du métavers avec Cloudverse – Source : Twitter

« Alibaba Cloud et Avalanche continuent de faire évoluer la manière dont les entreprises peuvent créer de la valeur et saisissent les opportunités du web 3. Cloudverse, implémenté sur Avalanche, offre aux entreprises qui font face à des millions de consommateurs un guichet unique, rapide et peu coûteux dans le web 3. Nous attendons avec impatience de voir comment ce type de projet se développera au sein de Cloudverse, et nous continuerons de bâtir le futur avec Alibaba cloud. »

John Wu, président d’Ava Labs

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Alibaba et les 40… mondes virtuels du web 3

Pour mener à bien Cloudverse, Alibaba Cloud fournira, de son côté, toute l’infrastructure Cloud. Une infrastructure sécurisée, scalable et efficiente appuyée par un arsenal de puissance de calcul, de serveurs et d’importantes capacités de stockage de données. De son côté, Avalanche apportera son expertise afin de bâtir ces futurs métavers au cœur de sa blockchain. Pour cela, ils seront aidés par MUA DAO, un spécialiste de l’infrastructure de métavers qui assurera le rôle d’intermédiaire dans la gestion de ces mondes virtuels en devenir.

« Avec la popularité croissante de la technologie blockchain et du métavers, il y a une forte demande de business dans la région de l’Asie-Pacifique qui prévoient d’entrer dans les mondes du web 3. À travers la création de ce launchpad pour métavers via Cloudverse sur Avalanche, nous sommes enthousiastes à l’idée d’offrir à ces entreprises une manière de débuter leur voyage à travers le métavers […] tout en améliorant l’expérience utilisateur. »

Raymond Xiao, chef des Solutions web 3 à l’international chez Alibaba Cloud Intelligence

Avec ce partenariat entre Avalanche et Alibaba, le web 2 et le web 3 s’associent afin de bâtir les technologies du futur… Afin, peut-être, de nous faire entrer pour de bon dans le métavers.

Dans un monde de plus en plus numérique, les innovations technologiques semblent s’accélérer. Bien que cet emballement puisse rendre méfiant, voire faire peur, personne – et surtout pas les entreprises qui ont un business à faire tourner – ne souhaite être laissé derrière… Sous peine de voir disparaître son activité, comme avec internet. Enfilerons-nous demain notre casque virtuel pour faire nos courses dans le métavers ? Seul l’avenir nous le dira. Espérons simplement que nous aurons le temps de profiter de ces avancées technologiques avant de nous faire dévorer par l’IA.

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Le silence des cryptos : quand les projets web 3 sombrent dans l’oubli

https://journalducoin.com/actualites/abanbon-projets-cryptos-etude-guerrilla-buzz/

$BOB jette l’éponge – Distraits par la tumultueuse ascension de l’écosystème crypto dans son ensemble, nous oublions parfois que celle-ci est parsemée de squelettes de projets à l’abandon. Et le bearmarket actuel ne fait pas exception. Nombreux sont les cadavres de projets tombés dans l’oubli, repartis aussi vite qu’ils sont venus. Tour d’horizon dans le cimetière du Père Lacrypto.

Un lancement de token, puis les projets s’en vont

Privilégier un gros gain court terme plutôt qu’un projet long terme. Il ne faut pas se leurrer. C’est souvent la voix de facilité empruntée par de nombreux projets. L’étude menée par les équipes de recherche de Guerrilla Buzz est, sur ce sujet, accablante. La croissance organique est bien plus difficile à générer qu’un token pas fini que l’on vend en profitant d’un élan de folie : celui qui s’empare du marché crypto à intervalles réguliers durant le fameux bull run. Et lorsque l’on fait les comptes en 2023, peu de projets sont encore vraiment debout.

Sur l’image de gauche, un marketing concentré sur une hype temporaire / Sur l’image de droite, la croissance saine d’un projet – Source : Guerrilla Buzz

Les équipes de Guerrilla Buzz ont analysé les 1 000 premières entreprises cryptos du secteur. Ils ont étudié notamment plusieurs paramètres caractéristiques de l’activité du projet :

  • La présence ou non d’un blog ;
  • La récurrence des publications sur les avancées du projet ;
  • Le nombre d’articles publiés chaque année.
Ce tableau comparatif établit le rythme de publication des projets du top 10 du classement crypto.
Analyse de la fréquence de publication des top projets du classement crypto – Source : Guerrilla Buzz

Le moins que l’on puisse dire, c’est que leurs résultats sont accablants. Sur ces 1 000 premiers projets, 35,8 % n’ont pas publié un seul article en 2023. Et seulement 49,7 % d’entre eux ont publié plus de 2 articles cette année.

Le clair leader marketing parmi tous les projets du top 10 est Binance, avec 59 articles publiés en relation avec la BNB Chain, et ce, seulement sur le début d’année 2023. Vient ensuite Polygon (MATIC) avec 36 articles, puis Tether (USDT), Cardano (ADA) et Ethereum (ETH) avec 13, 12 et 11 articles respectivement.

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Faire grandir son projet crypto : une lutte féroce ?

Par ailleurs, seulement 10,4 % possèdent leur propre blog. La plupart des projets (84,8 %) postent leurs actualités notamment via l’interface Medium. Néanmoins, ils passent par un intermédiaire, renforçant le trafic et la croissance de Medium plutôt que la leur. Selon les analystes de Guerrilla Buzz, c’est une stratégie qui peut s’entendre aux prémices d’un projet. Toutefois, sur la durée, celle-ci pourrait s’avérer pénalisante pour l’entreprise en question.

Selon le cabinet d’audit Deloitte, la durée de vie moyenne d’un projet crypto est d’un an. Et le taux de mortalité le plus élevé se produit durant les 6 premiers mois. De fait, le marketing n’est peut-être pas la priorité numéro un de ces projets qui tentent tout simplement de survivre à la dure réalité du marché crypto. Mais peut-être à tort, car ce faisant, ils n’investissent pas dans leur croissance future. Ils n’établissent pas la confiance nécessaire à la durabilité d’un projet via une communication marketing efficace.

Faire vivre son projet à travers un blog et partager les avancées avec sa communauté sont essentiels pour la stabilité d’un projet, surtout si celui-ci doit encore faire ses preuves. Cette communication récurrente permet de bâtir la confiance, participe à l’attractivité et donc aux potentiels investissements futurs. L’analyse fouillée de Guerrilla Buzz nous donne d’ores et déjà des indices sur les projets qui ont le plus de probabilités d’être encore là demain et de profiter pleinement des phases d’adoption à venir.

Face à la prolifération des scams tokens, restez sur des valeurs sûres : Bitcoin, Ethereum et vos cryptomonnaies favorites sélectionnées avec soin, le tout, mis précieusement à l’abri dans votre portefeuille Ledger (lien commercial).

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NFT RACING SHOE5 : Renault au pas de course en direction du web 3

https://journalducoin.com/nft/nft-racing-shoe5-renault-au-pas-de-course-en-direction-du-web-3/

Trouvez enfin le NFT à votre pied – Souvenez-vous, c’était en décembre dernier. Renault dévoilait sa première collection NFT genR5, un clin d’œil à la mythique Renault 5 des années 70. Aujourd’hui, c’est officiel, la célèbre marque automobile ne compte pas brider ses ambitions blockchain tout de suite. Renault repart pied au plancher sur la route du web3, mais avec style ! En effet, la marque présente une toute nouvelle collection NFT qui associe le design R5 Turbo à la popularité de la chaussure “sneaker”. En quoi ces chaussures seront-elles si prisées ? On vous dit tout.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Renault.

Renault, une entreprise tech en plein virage NFT

Depuis quelques mois, Renault s’est donné comme objectif de renouer avec sa communauté, et de faire plaisir à ses fans. Quoi de mieux pour cela que d’adopter cette nouvelle pépite technologique que sont les NFT. Mais qu’est-ce donc que cela ? Pour résumer, un « Token Non Fongible » est un certificat d’authenticité émis sur la blockchain. Il peut être associé à littéralement tout type de produit, de format numérique, de projet, de passion. Un avatar numérique qui pourra vous suivre toute votre vie, trace indélébile que vous étiez là, aux prémices d’une histoire dont il reste de nombreuses pages à écrire.

L’histoire de Renault et du web 3 prend racine en décembre 2022 avec la collection NFT « genR5 ». Une collection qui rend hommage à la légendaire Renault 5. Le fleuron français de l’automobile, loin de se reposer sur ses acquis, cherche sans cesse à se renouveler. Sur le chemin caillouteux des challenges de demain, Renault met un coup d’accélérateur, direction la tech, la blockchain, le web 3 et les NFT.

« Le groupe se transforme en une entreprise green, tech, centrée sur les business de l’énergie, des données et des services. »

Luca de Meo, directeur général de Renault Group

Après une première collection NFT couronnée de succès, l’entreprise ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et repart pour un tour de circuit. Aujourd’hui, Renault s’apprête à lancer une seconde collection NFT. Dans un style totalement nouveau, différent, tout aussi design. Au cœur de ce web 3 en devenir, Renault avance, explore, accélère. En prenant le virage NFT, l’entreprise a à cœur de faire plaisir à ses fans. Son tout nouveau projet, le voici en avant-première.

Une Sneaker Renault pour vous propulser dans le web 3

RACING SHOE5, le nouveau projet NFT de Renault. Cette seconde pépite du programme R3NLT est ni plus ni moins qu’une édition collector de Sneakers, inspirée par la Renault 5 Turbo. 960 sneakers, des paires de chaussures tout ce qu’il y a de plus réelles, associées à leur pendant NFT.

RACING SHOE5 , le web3 par Renault, pour la communauté R3NLT

Les 960 exemplaires de cette édition limitée de NFT sont tous accompagnés de :  

  • La paire de sneakers physique !
  • Un second NFT “certificat d’authenticité”. Un passeport qui contient littéralement la carte d’identité de la chaussure : composition, matériaux, parcours de fabrication. Ce NFT s’obtient via une puce NFC (Near Field Communication) située à l’intérieur de la languette de la paire de chaussure qui vous sera délivrée.

Cette paire de sneakers se décline en 5 designs créés sur-mesure et imaginés à partir de 5 modèles phares de R5 Turbo. Selon nos sources, un 6ème modèle, plus mystérieux, serait en passe d’être co-créé avec l’aide la communauté R3NLT en hommage à la R5 Turbo 3E.

En clair, toutes les caractéristiques faisant la particularité de l’emblématique R5 Turbo ont été transposées dans cette chaussure inédite :

  • L’inclinaison arrière du modèle fait référence au châssis de la voiture
  • L’intérieur de la sneakers est inspiré de la sellerie
  • Même les lacets sont à l’image des ceintures de sécurité

Il s’agit donc d’un véritable hommage, un mariage innovant de l’industrie de l’automobile avec l’univers de la mode, le tout supporté par une technologie de pointe. Celle de l’authentification au cœur du numérique, via la technologie blockchain et les NFT.

Sneakers et NFT Racing Shoe5 Renault, où, quand, comment ?

Impatients de mettre la main, ou plutôt le clic de votre souris, sur l’une de ces précieuses paires ? Oui ! Mais comment faire ? Pas de panique ! On vous explique tout.

Ce NFT, ainsi que la paire de sneakers physiques et le passeport numérique qui l’accompagnent, seront bientôt commercialisés dans la première boutique virtuelle de la marque. Un univers futuriste en 3D où les utilisateurs pourront se déplacer grâce à un avatar !

La paire sera disponible au prix de 265€.

Mais pour les fans de la première heure, détenteurs d’un NFT de la première collection genR5 et membres de la communauté R3NLT, l’accès à l’espace de vente se fera dès le 15 mai prochain.

Ensuite, les personnes inscrites en amont à l’avant-première pourront accéder à la vente dès le lendemain, le 16 mai.

Enfin, la vente publique s’effectuera le 17 mai sur le site nft.renault.com.

Après la première génération de NFT genR5, Racing shoe5 vient à son tour célébrer le mythe de la R5 sous la forme de chaussures sneakers
Racing Shoe5, la seconde collection NFT de Renault en hommage à la R5 Turbo arrive mi-mai

« RACING SHOE5 apporte la preuve que rejoindre le programme R3NLT, c’est faire le choix d’une relation unique avec Renault ! Vivre l’expérience RACING SHOE5, c’est franchir les portes de notre première boutique immersive dédiée à notre première édition collector de sneakers, c’est aussi pouvoir posséder le premier digital twin ainsi que le premier passeport numérique de Renault. »

L’équipe Racing Shoe5 R3NLT

Renforcer ses liens avec Renault tout en profitant d’une expérience immersive totalement inédite, et d’une paire de sneakers en édition limitée. Voici une perspective plus que réjouissante pour les fans de la marque. Le géant français de l’automobile accélère vers le web 3 et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Lancé à toute allure sur cette nouvelle route de la tech, au cœur de l’univers NFT et web 3, il est probable que Renault ait décidé d’oublier où se trouve la pédale de frein pour ne pas risquer de ternir ses toutes nouvelles sneakers Racing Shoe5.

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Les LANDs de The Sandbox (SAND) en staking NFT chez Binance

https://journalducoin.com/nft/lands-sandbox-sand-staking-nft-binance/

Retour en force du staking NFT chez Binance ? – En juin 2021, l’exchange Binance lançait sa plateforme NFT. Depuis, la première bourse crypto au monde en a fait du chemin. En mars dernier, Binance ouvrait ses portes aux NFT sur Polygon. Et aujourd’hui, la plateforme s’allie à un partenaire de choix, leader du métavers, The Sandbox. Décryptage.

Stakez votre terrain virtuel pour toucher des intérêts biens réels

The Sandbox, terres de mystères et d’inconnues, des territoires à peine défrichés. Des terres virtuelles qui font travailler l’imaginaire au sein de ce nouvel écosystème, ce métavers en construction. En épine dorsale de The Sandbox, les LANDs sont des parcelles de territoire en friche. Un nid d’abeille qui fourmille d’activités en devenir. Et, des propriétaires soucieux de faire fructifier leur investissement, acquis à grand renfort de SAND, le token de la plateforme The Sandbox.

La solution ? Le staking. Si le mécanisme n’est pas nouveau et était déjà en place via The Sandbox, l’initiative de Binance a le mérite d’en simplifier l’accès. Voir même carrément d’inciter la manœuvre à coup de promotion. Et pourquoi pas créer un retour de flamme pour le secteur du métavers ?

L’exchange Binance lance son programme de staking de NFT The Sandbox, les LANDs, sur la blockchain Polygon

Binance annonce le lancement de The Sandbox NFT Staking Program. Il s’agit ni plus ni moins que de permettre le staking des LANDs, les NFT de terrain de The Sandbox, directement depuis sa propre interface. Une interface utilisée quotidiennement par des millions d’utilisateurs. Cela se passe, en revanche, uniquement sur Polygon et non sur Ethereum. Pour avoir accès, il faut donc détenir ou transférer son NFT sur le réseau Polygon au préalable.

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Binance et The Sandbox, métavers l’infini et l’au-delà

Les utilisateurs n’ont même pas besoin de détenir de SAND, le token de The Sandbox, pour accéder au service de staking. De plus, les frais de transaction nécessaires à la manœuvre, staking et déstaking, via Binance, seront inexistants. Chaque jour, le staking rapportera bien sûr des intérêts aux détenteurs de LANDs. L’exchange n’agit ici qu’en intermédiaire entre le grand public et le service déjà existant de The Sandbox.

Ce programme de staking est accessible depuis le 28 avril dernier et durera jusqu’au 5 juillet 2023. Par ailleurs, Binance met en place une promotion jusqu’au 25 mai prochain pour les premiers utilisateurs du service. Les utilisateurs qui auront staké leurs NFT LANDs plus de 14 jours avant le terme de cette phase de promotion seront qualifiés pour partager un prix de 20 000 SAND en bons d’achat. En clair, en stakant ses LANDs avant le jeudi 11 mai via Binance, les utilisateurs pourraient se partager environ 10 000 dollars au cours actuel du SAND selon les règles de la promotion de Binance.

Ce nouveau partenariat de Binance avec The Sandbox est peut-être une tentative des métavers pour renouer avec leur public. Ce dernier ayant, en effet, quelque peu déserté les lieux durant le terrible bearmarket de 2022. Après la phase explosive liée à l’émergence de ce nouveau concept, cette innovation technologique que sont les métavers, le temps est désormais à la construction. Un temps long nécessaire afin de bâtir des fondations solides qui seront peut-être, dans quelques années, chargées de supporter un raz-de-marée d’adoption.

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Avalanche, Solana, Polygon : Mastercard veut attraper toutes les blockchains

https://journalducoin.com/economie/avalanche-solana-polygon-mastercard-attraper-toutes-blockchains/

Un petit pas pour Mastercard, un grand pas vers l’adoption ? – L’attrait de Mastercard pour les cryptos n’est pas nouveau. Et en même temps, lorsqu’un adversaire potentiel émerge, il vaut mieux chercher à l’étudier plutôt que de l’ignorer. Se faire de la blockchain une alliée, c’est exactement ce que tente d’entreprendre Mastercard qui noue un partenariat d’envergure avec de nombreux acteurs autour de son nouveau projet, Mastercard Crypto Credential. Tous les détails.

Mastercard dans le train blockchain sur la route de l’adoption web 3

Le business modèle des services de paiement comme Visa et Mastercard est directement questionné par l’arrivée de concurrents crypto. En effet, nul besoin d’intermédiaire pour un transfert sur la blockchain. Or, être un intermédiaire, c’est la raison de vivre de sociétés comme Visa ou Mastercard. Leur solution ? Se placer à l’intersection de ce web 3 émergent et de la finance traditionnelle, tant que celle-ci est encore massivement utilisée par le grand public.

Pour cela, le géant des paiements lance Mastercard Crypto Credential, l’union de la crypto et de la finance traditionnelle.

« A la conférence Consensus23, nous avons annoncé notre volonté d’introduire la confiance au sein de l’écosystème blockchain via Mastercard Crypto Credential. En partenariat avec les fournisseurs de wallet Bit2Me, LiriumAG, MercadoBitcoin, UpHold et les organisations associées aux réseaux blockchain Aptos, Avalabs, PolygonLabs, Solana Fondation, nous collaborons afin d’améliorer les vérifications au sein des NFT, de la billetterie, des entreprises et autres solutions de paiement. »

Mastercard lance un partenariat d’envergure avec les différents acteurs blockchain autour des services de paiement – Source : Twitter

Si cette union est probablement vitale à long terme pour Mastercard, elle reste aussi pour l’instant essentielle pour le secteur blockchain. Et ce, pour une bonne raison : instaurer un climat de confiance avec le grand public au gré de leurs usages de services blockchain. Il est probable qu’à terme, le mot « blockchain » disparaisse pour devenir le socle transparent des futurs services de paiement. Comme tout le monde utilise Internet aujourd’hui sans vraiment savoir comment, au fond, tout cela fonctionne.

S’allier aux bâtisseurs de ce socle qui, dans un avenir proche, pourrait supporter la démocratisation des services de paiement de demain est donc très malin de la part de Mastercard. L’entreprise annonce d’ailleurs la couleur : il s’agit de construire l’infrastructure qui assurera des échanges de confiance entre les utilisateurs et les entreprises sur la blockchain.

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Le web 3, terreau de la finance de demain

Que ce soit Mastercard ou ses partenaires blockchain, chaque partie est enthousiaste à l’idée de concilier ces deux mondes. Les adversaires d’hier feraient mieux, en effet, de devenir les alliés d’aujourd’hui. Et ce, afin de tirer le meilleur parti des apports de cette nouvelle technologie.

« Mastercard est depuis longtemps un leader en ce qui concerne la création de services financiers accessibles et de confiance. Afin d’améliorer les capacités de vérification d’une manière qui conduise la blockchain vers l’adoption de masse, ils ont choisi Avalanche comme partenaire pour leur nouveau projet, Mastercard Crypto Credential. »

Avalanche est l'une des blockchains choisies par Mastercard pour le développement de son projet de services de paiement.
La blockchain Avalanche est l’un des partenaires de Mastercard, tout comme le sont Solana, Polygon ou encore Aptos – Source : Twitter

L’idée derrière cette alliance est évidemment de rendre plus accessible les solutions blockchain au grand public, mais aussi aux institutions financières, gouvernements, grosses marques… Et pour cela, il n’y a pas quatre chemins. Il faut une expertise poussée dans les systèmes de sécurité et de compliance. Et cela, Mastercard est en mesure de l’apporter aux startups blockchain.

Se positionner très tôt sur un secteur en plein développement et dont on ressent le boom à venir est une stratégie pleine de bon sens adoptée par Mastercard. Et ce faisant, cela conduit inévitablement aussi à une plus grande adoption des solutions blockchain. Des solutions porteuses d’innovations, autant technologiques que financières, capables de modifier notre société en profondeur. Via des projets lancés récemment comme Immersve, Mastercard compte bien faire des cryptos notre moyen de paiement quotidien.

En crypto, ne faites pas l’économie de la prudence ! Ainsi, pour conserver vos avoirs cryptographiques à l’abri, la meilleure solution est encore un wallet hardware personnel. Chez Ledger, il y en a pour tous les profils et toutes les cryptos. N’attendez pas pour mettre vos capitaux en sécurité (lien commercial) !

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114 meme coins créés en deux mois : les scams crypto ont la forme 

https://journalducoin.com/actualites/scam-crypto-meme-coin/

Arnaques en série avec les meme coins – Le fourmillement d’activité au cœur du secteur crypto a plusieurs visages. Tandis que certains s’échinent à bâtir le monde de demain, d’autres ont des ambitions beaucoup plus modestes, mais tout aussi chronophages : s’enrichir. Et ce, sur le dos des débutants tant qu’à faire. Ces derniers, attirés par la lumière d’une crypto sortie de nulle part qui semble s’envoler, se font prendre au piège. Plongeons dans l’univers des meme coins.

Les meme coins, pièces maitresses des scammers ?

Les meme coins, c’est une catégorie à part entière de la crypto. Les plus connues prennent l’apparence de simples blagues, souvent canines d’ailleurs, et sont parvenues contre vents et marées à rassembler d’énormes communautés. Leur leader s’appelle DOGE, la crypto préférée d’Elon Musk, à l’effigie d’un petit chien japonais, le Shiba Inu. Conçue pour se moquer des créateurs de tokens dépourvus de sens à une époque où les altcoins se faisaient encore rares, DOGE a fini par être dépassé par sa propre popularité. Ce token canin qui ne demandait rien à personne a fini par atteindre les plus hautes sphères du classement crypto sur Coinmarketcap. Et ce n’est pas tellement redescendu durant le bear market, puisqu’il reste 8e en termes de capitalisation totale.

Toutefois, nombreuses sont les « fausses crypto » qui sont créées en un claquement de doigts et hantent les tréfonds du classement crypto. Ces dernières n’ont d’autre objectif que de vous dérober votre argent. Ces « meme coins » sont souvent bâtis autour de blagues populaires sur internet ou « memes » relayés sur nos réseaux sociaux préférés. L’idée est simple : attirer les communautés dans un piège par l’intermédiaire de la popularité d’une idée, d’un personnage. Et s’enfuir illico presto avec l’argent investi dans ces projets sans fondamentaux.

Et on peut dire que dans le domaine, certains excellent et sont très loin de faire du zèle. L’expert en analyse on-chain ZachXBT a partagé sur Twitter sa récente découverte. Une adresse Ethereum serait liée de près ou de loin à la création de 114 meme coins au cours des 45 derniers jours. Soit plus de deux par jours. Pour chacun de ces scams, les fonds volés ont tous été déposés sur l’adresse 0x739c58807B99Cb274f6FD96B10194202b8EEfB47.

ZachXBT, expert en analyse on-chain, alerte sur une adresse crypto reliée à de nombreux scam via les meme coins – Source : Twitter

« Au cours du dernier mois et demi, une personne a créé 114 scams avec des meme coins. À chaque fois, les fonds volés ont été envoyés sur une même adresse de dépôt : 0x739c58807B99Cb274f6FD96B10194202b8EEfB47. »

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Quand votre argent disparaît dans un nuage de fumée numérique

Et cela, c’est seulement ce que ZachXBT a pu découvrir avec ses propres moyens d’analyse.

« Je suspecte qu’il y en a bien plus que ça. Ceux-là sont juste ceux envoyés à cette adresse de dépôt bien précise. »

ZachXBT

Difficile par ailleurs d’identifier le montant exact des fonds dérobés, car l’auteur des différents scams a fait transiter ces derniers via différents portefeuilles numériques, rendant très complexe le suivi de l’argent. L’auteur aurait par ailleurs envoyé une partie des fonds volés sur Coinbase. Une manœuvre très étonnante, car la plateforme impose à ses utilisateurs une vérification d’identité obligatoire, un KYC (Know Your Customer). Il n’y a donc pas de meilleure méthode pour se faire attraper. Et ça, les scammers le savent, normalement. Pour l’instant, l’auteur de ces méfaits serait passé inaperçu. ZachXBT l’explique par la faible valeur des montants transférés, qui n’attirent de fait pas l’œil des analystes de l’exchange.

« Il s’agit de petits montants, envoyés un par un [sur Coinbase]. Donc j’imagine que c’est plus difficile à détecter.

Je ne suis pas sûr des raisons qui l’ont poussé à utiliser Coinbase [un exchange hautement régulé aux procédures de contrôles renforcées] alors qu’il existe d’autres exchanges [beaucoup moins regardant] sur lesquels blanchir [l’argent dérobé]. »

ZachXBT

Les scams sont légion, entre arnaques et fausses cryptos. Les cryptos sont un investissement financier qu’il faut étudier en profondeur avant d’y investir son argent. Tout comme l’on n’achète pas une action d’entreprise sur un coup de tête. De nombreux projets sont porteurs de valeurs prometteuses, révolutionnaires tandis que d’autres n’ont simplement aucun sens, aucun but, voire sont de véritables arnaques comme la majorité des meme coins. Il faut donc redoubler de prudence et apprendre, en crypto comme ailleurs, à distinguer le bon grain de l’ivraie.

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Une V3 pour le web3 : la plateforme DeFi Feel Mining fait peau neuve

https://journalducoin.com/defi/feel-mining-lance-v3-defi-web3/

Prêts à relever le DeFi et dompter le web 3 ? – Feel Mining se dote aujourd’hui d’une toute nouvelle interface afin de vous permettre d’apprivoiser la technologie web 3. La variété de services proposés n’a désormais d’égal que leur simplicité d’accès. Le site offre une navigation fluide au cœur des services crypto et DeFi (Finance Décentralisée) de Feel Mining et met à l’honneur la création d’automatismes. On vous explique tout.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Feel Mining.

Feel Mining, le DeFi du web3 simplifié

Une nouvelle enveloppe plus intuitive, une passion inchangée

Simplifier jusqu’à rendre intuitif le monde complexe de la finance décentralisée, le challenge est de taille. Et pourtant, il semblerait que Feel Mining et sa plateforme DeFi qui vous permet d’ores et déjà de surfer la vague web 3 soit en passe de réussir le pari. Feel Mining, ce sont plus de 20 000 utilisateurs, 50 millions d’euros d’actifs sous gestion et plus de 2500 machines de minages en service.

Cette pépite française crypto et DeFi, enregistrée PSAN auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), revient aujourd’hui avec une plateforme au design épuré. Le site qui propose toujours l’achat crypto, le staking et les masternodes vient tout juste de se refaire une beauté. Une version 3 flambant neuve qui vous permet d’ajouter une couche d’automatisation à toutes vos activités habituelles.

Le monde des cryptomonnaies est très loin d’être un jeu d’enfant. Le travail de sociétés comme Feel Mining est justement de faciliter les interactions avec cet écosystème parfois obscur, pour les experts comme pour les plus débutants. Finies les séries de procédures complexes, l’efficacité devient la priorité. 

Révolution de l’interface : un condensé de Feel Mining en trois étapes

Qui dit v3 dit regroupement de fonctionnalités en 3 grandes rubriques. Pour 3 fois plus d’efficacité, qui sait ? Bien que cette concordance de chiffre soit fortuite, la stratégie, elle, est très réfléchie. Acheter, Placer, Miner. 3 services clairs. En tant qu’utilisateur, plus aucune hésitation sur la direction à emprunter.

  • Acheter – un service simple et rapide, pour les débutants comme des experts

Ce volet vous donne accès à un large choix de cryptomonnaies que vous pouvez vous procurer en achat simple ou via une stratégie DCA (Dollar Cost Averaging). Cette dernière permet de lisser le prix de vos achats au fil des semaines ou des mois.

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  • Placer – le repère de l’investisseur prévoyant qui vise le long terme

En tant qu’investisseur long terme, plutôt que de « hold » – détenir – vos cryptos en attendant que les prix montent, autant les faire fructifier, non ? Pour cela, la rubrique « Placer » vous permet de toucher des intérêts dessus afin de démultiplier vos gains. Via le staking ou le staking DeFi, accumuler sans effort Bitcoin (BTC), Ethereum (ETH) et vos autres cryptos préférées.

Avec Feel Mining, achetez vos cryptos préférées et faites les fructifier dans la DeFi et le Web3
  • Miner – le royaume des chercheurs d’or et utilisateurs de pioches

Dans ce volet, vous avez accès à l’achat de machines de minages ainsi qu’à l’hébergement au sein de fermes déjà en fonctionnement. Pour les amateurs de virtuel, l’option Cloud Mining permet de louer directement la puissance des machines de Feel Mining et d’en tirer un bénéfice.

Feel Mining: automatiser la DeFi pour tous grâce au web3

Votre tableau de bord fait “Spot” neuve

Pour avoir l’œil sur l’ensemble de vos activités en un regard, chaque détail a son importance. Désormais, l’interface Feel Mining affiche sur votre tableau de bord votre balance Spot, c’est-à-dire les cryptomonnaies que vous détenez, mais également celles placées sur les offres de staking et staking DeFi. Avec des montants dissociés, vous savez en un coup d’œil où vous en êtes de vos activités crypto.

Vous disposez aussi depuis votre balance d’un accès direct à un tas de fonctions de gestion.

Le nouveau tableau de bord Feel Mining vous propose une multitude de nouvelles fonctionnalités pour acheter efficacement des cryptomonnaies et profiter à plein de la DeFi
Votre tableau de bord Feel Mining vous offre de nombreuses fonctions accessibles en un clic

Quand la DeFi devient un automatisme

Feel Mining vous propose également de paramétrer de nombreux automatismes. Ceci afin qu’une fois votre routine mise en place, vous n’ayez plus à vous en soucier.

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  • Réinvestissement automatique : les intérêts générés par vos placements dans la DeFi sont systématiquement réinvestis de sorte à booster vos gains futurs.
  • Règles de retrait : si la balance Spot sur l’une de vos cryptomonnaies dépasse un certain seuil, fixé à l’avance par vos soins, celles-ci sont automatiquement envoyées vers l’un de vos wallets personnels (ledger, metamask…)
  • Abonnement : la mise en place d’une stratégie DCA afin d’acheter chaque mois par exemple une certaine somme de Bitcoin, ou toute autre crypto, en euros
  • Une combinaison d’automatismes :
    • Abonnement (DCA) + retrait de la somme sur votre wallet personnel
    • Abonnement (DCA) + réinvestissement automatique pour booster vos placements dans la DeFi
    • Minage + réinvestissement automatique des gains dans la DeFi
Avec sa V3, Feel Mining fait progresser l'automatisation de vos investissements en cryptomonnaie
Avec Feel Mining, automatisez vos investissements crypto

Feel Mining met à votre disposition un tutoriel pas à pas qui détaille toutes ces nouvelles fonctions.

Une v3 qui dissimule d’autres surprises sous son chapeau web 3

  • Le processus d’inscription (KYC) a été revu et simplifié. Il ne faut désormais pas plus d’une dizaine de minutes pour créer votre compte Feel Mining. Vous ne pourrez plus louper aucune opportunité !
  • Une politique de frais unique : 1,5% pour les membres classiques et 1% pour les membres Platinum, sur l’achat de cryptomonnaies
  • Des retraits de cryptos sans délai, même si ces dernières étaient placées en staking une minute plus tôt

Toutefois, pour les habitués qui n’aiment pas casser leurs routines, sachez que certains produits ne sont pas affectés par ces évolutions :

  • les services de mining et de cloud mining
  • les différents packs d’investissement proposés en fonction de votre profil, bien qu’une prochaine amélioration semble prévue cette année.

Au gré de l’évolution du secteur DeFi, les services comme ceux de Feel Mining dévoilent leur plein potentiel. Les usages se simplifient et rendent accessible cette nouvelle finance au plus grand nombre. Ce sont des entreprises comme Feel Mining qui bâtissent les innovations économiques de demain en exploitant au mieux les capacités de la technologie blockchain pour participer à la reconquête de notre liberté monétaire

Pour fêter la lancement de sa nouvelle plateforme, Feel Mining vous offre les frais de courtage jusqu’au 08 mai 2023. De quoi profiter pour recharger vos bags de cryptos sans frais !

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The Sandbox et Ledger, partenaires contre les hackers du metaverse

https://journalducoin.com/nft/sandbox-ledger-partenaires-hackers-metaverse/

Quand le hardware s’allie au métavers – Après un premier partenariat centré sur l’éducation l’année dernière, les deux fleurons du numérique, The Sandbox et Ledger, remettent le couvert. Les entreprises du secteur crypto grandissent main dans la main et ce n’est pas pour nous déplaire. Plongeons dans le monde de demain, un monde aux accents virtuels du métavers.

Ledger, le nouveau shérif des mondes virtuels

Ne pas se faire dérober son portefeuille lors d’une ballade dans le métavers. Si l’idée peut paraitre incongrue aujourd’hui, cela ne sera peut-être pas le cas demain. L’objectif de Ledger est clair. Sécuriser le fourmillement d’activités qui se déroule en coulisses sur un territoire en pleine construction, mais très prometteur : le métavers. Et quel meilleur partenaire pour cela que The Sandbox, le fleuron du secteur. Si les voleurs ne courent pas les rues dans ces univers virtuels, les hackeurs, eux, sont bien présents, et rappliquent dès qu’ils sentent une bonne affaire.

Or, sécuriser le métavers dès aujourd’hui, c’est sans doute permettre demain, son expansion auprès du grand public. Pour se faire, cela passe bien sûr par l’éducation, savoir protéger ses cryptos, mais aussi par des partenariats d’ampleur. Comme celui entre The Sandbox et Ledger.

Un nouveau partenariat entre The Sandbox et Ledger pour sécuriser le métavers

L’idée est, en premier lieu, de sécuriser les actifs crypto des entreprises et professionnels qui développent leur activité. Nous savons tous le mal que peut faire un hack, voire plusieurs, s’abattant sans prévenir sur un secteur. Détruisant au passage sa réputation et les prémices d’une confiance qu’il faut encore bâtir. Au sein de l’écosystème crypto, de nombreux acteurs sont encore émergents, fragiles, mais aussi très prometteurs. Ledger promet donc l’intégration de sa technologie de pointe pour tous les partenaires de The Sandbox, afin que ceux-ci puissent sécuriser leurs activités. Wallets, terrains virtuels (LANDs) et précieux NFT. Une extension de plus du répertoire client de notre licorne française, Ledger.

« Chaque marque qui créé ou stocke des actifs numériques est vulnérable à une tendance croissante de hacks, scams et aux erreurs de gestions que nous constatons sur l’ensemble du marché au sens large. The Sandbox travaille avec d’innombrables marques et aide à bâtir une relation de confiance […] avec les nouveaux utilisateurs. […] Ledger est fier d’offrir la tranquillité d’esprit que ces entreprises et consommateurs méritent. »

Alex Zinder, responsable de Ledger Enterprise

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Metaverse The Sandbox, bâtir la confiance pour préparer l’adoption

Pour The Sandbox également, c’est un partenariat gagnant-gagnant :

  • L’application décentralisée (dApp) de The Sandbox sera intégrée à Ledger Enterprise et facilitera l’accès au métavers pour les clients passionnés par le virtuel ;
  • De même, l’intégration d’un widget The Sandbox sera ajoutée à l’application Ledger Live.

En contrepartie, The Sandbox recommandera donc Ledger à sa communauté et ses détenteurs de LANDs. De plus, les NFT actuellement présents sur les wallets de The Sandbox seront migrés sur les portefeuilles sécurisés de Ledger afin d’en renforcer la protection.

« Nous avons une relation de longue date avec Ledger et nous sommes heureux de renforcer notre partenariat afin de fournir une sécurité renforcée aux marques faisant leur entrée au sein du métavers. Nous facilitons l’accès à Ledger pour nos utilisateurs et, du côté de Ledger, l’accès à The Sandbox pour leurs clients. Cela rendra plus simple et plus sécurisée pour les individus et les marques leur plongée au sein du métavers. »

Sébastien Borget, COO et cofondateur de The Sandbox

Parmi les précurseurs, passionnés et curieux, ceux qui s’intéressent fortement aux nouvelles technologies sont aussi bien sûr les hackers. Attirés par les failles, synonymes d’autant de profits, les incidents sont légion dans ces écosystèmes en développement. Le métavers, tout comme les autres secteurs, n’est pas épargné. Que l’un des leaders, The Sandbox, s’allie à un partenaire de choix, Ledger, afin de pérenniser le développement des mondes virtuels, est très bon signe. Et prometteur pour un secteur grandissant qui a encore de nombreux challenges devant lui avant de hacker à son tour le cœur de gens.

Pour dormir l’esprit tranquille, équipez-vous d’un wallet hardware sécurisé Ledger, il y en a pour toutes les bourses. Votre sécurité n’a pas de prix (lien commercial).

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Rhapsody, quand la photographie s’invite en NFT sur la blockchain

https://journalducoin.com/nft/rhapsody-photographie-nft-blockchain/

NFT, éclat de lumière en chambre noire ? – Loin de l’improvisation qui habite parfois son pendant musical, la société Rhapsody œuvre pour que l’art de la photographie se fasse une place sous le soleil du web 3. Aujourd’hui, l’entreprise ouvre les portes du monde exaltant des NFT (Non Fungible Token) à trois prestigieux photographes : Yann Arthus-Bertrand, Namsa Leuba et Nicolas Henry. Zoomons sur les détails, déroulons ensemble la pellicule.

NFT, le pouvoir d’une photo blockchain entre les doigts des artistes

Par delà la spéculation, inhérente à la jeunesse de toute innovation, les NFT sont un formidable outil d’authentification, de numérisation, de certification. L’exemple typique sont les Soulbound Token. Des NFT non transférables qui pourraient devenir dans les prochaines années nos futurs passeports, cartes, certificats, diplômes… En bref, tout document qui, à l’ère du numérique, demeure aujourd’hui une réminiscence d’un monde papier.

Les NFT, c’est également un nouveau mode d’expression, une forme d’art inédite et un vecteur de communication inégalable à destination d’une jeunesse fan de nouvelles technologies. Un outil plébiscité par les marques bien sûr, mais aussi une rampe d’accès pour toute industrie souhaitant profiter des bienfaits de la technologie. La société Rhapsody, en ce sens, se place au croisement de deux mondes. Celui de la blockchain, dernier né d’une technologie de plus en plus virtuelle. Et celui de la photographie, à la beauté très réelle mise au service de causes fortes par les artistes précédemment cités.

« Ces trois photographes talentueux témoignent des problèmes environnementaux et sociaux actuels, chaque style exprimant les préoccupations qui nous émeuvent et nous rassemblent. Cette collection spéciale a pour vocation de sensibiliser, inspirer et provoquer un dialogue constructif sur les questions cruciales qui façonnent le monde d’aujourd’hui. »

Pierre-Elie de Pibrac, cofondateur de Rhapsody

La galerie Rhapsody ouvre les portes du monde NFT aux photographes

Désormais, via la blockchain, les photographes disposent d’un formidable outil d’authentification de leurs œuvres, de certification de leur provenance. Des éléments déterminants dans leur valorisation. Le 4 mai prochain, à 18h, sur la galerie d’art de Rhapsody, seront proposées aux collectionneurs des œuvres de prestigieux artistes, alliant photographie et technologie NFT :

  • Yann Arthus-Bertrand : photographe, cinéaste et écologiste français devenu célèbre pour ses photographies aériennes publiées dans le non moins connu « La Terre vue du ciel ». En effet, il s’agit du livre photographique le plus vendu de l’histoire. Trois de ses œuvres seront en vente.
Earth From Above, Yann Arthus-Bertrand – Vaste série de photographies dévoilant d’impressionnantes images aériennes de la Terre
  • Namsa Leuba : photographe suisso-guinéenne, dont le travail cherche à mettre en valeur la diversité de l’Afrique à travers le scope de la culture occidentale. Cette artiste a reçu de nombreuses distinctions et a collaboré avec les maisons Dior, Christian Lacroix ou encore Nike. Cinq de ses œuvres seront en vente.
L'artiste Namsa Leuba explore la culture des Vahinés à travers la photographie et met en vente ses œuvres sous la forme de NFT grâce à Rhapsody.
Illusions, Namsa Leuba – Exploration du mythe de la Vahiné
  • Nicolas Henry : artiste plasticien, producteur et réalisateur qui possède un style unique associant photographie, sculpture et performance artistique. Son objectif ? Plonger le spectateur dans son univers onirique. Six de ses œuvres seront en vente.
Nicolas Henry met en lumière via la photo des populations locales. Les photos seront vendu sur Rhapsody sous la forme de NFT.
Worlds in the Making, Nicolas Henry – Une vision utopique de l’humanité et de la nature

Les œuvres seront mises en vente à un prix de départ de 2 ETH. Plus de 50% des recettes seront reversées à Photoclimat. Cette dernière, biennale sociale et environnementale de photographie à Paris, a pour but de sensibiliser sur l’urgence climatique.

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Le web 3, nouveau terrain d’expression des créateurs ?

La start-up française Rhapsody se donne pour mission d’accompagner photographes, collectionneurs et institutions tout au long de leur parcours créatif, de la curation à la vente de pièces photographiques uniques. La technologie NFT est un outil au service des artistes afin de révolutionner le monde de l’art contemporain. Yann Arthus-Bertrand, Namsa Leuba et Nicolas Henry font partie de ceux qui l’ont bien compris.

« Nous espérons que d’autres grands artistes nous rejoindront dans ce fascinant voyage utilisant la technologie web 3. Notre objectif est de leur permettre de redevenir propriétaires de leurs photographies sous format numérique, et d’enfin pouvoir les valoriser, tout en donnant aux collectionneurs la possibilité d’aborder les questions climatiques de manière unique. »

Julien Zanet, cofondateur de Rhapsody

Raconter une histoire, défendre une cause, les œuvres photographiques marquent les esprits. Un ancrage dans le réel, une excursion vers l’imaginaire, un lien fort aussi avec la technologie. Et un art qui s’ancre désormais dans la blockchain grâce à l’utilisation fort à propos des NFT, et ce grâce à l’initiative de l’entreprise Rhapsody. Qui sait, un jour peut-être, la création de cette passerelle entre art et technologie sera immortalisée via la photographie.

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Visa et les cryptos, tout un programme pour le web 3

https://journalducoin.com/defi/visa-cryptos-programme-web-3/

Travailler dans les cryptos – Porte vers les métiers du futur, comme Internet en son temps, les cryptos sont sur le point de révolutionner le marché du travail. Les services de paiements tels que Visa tentent d’embrayer le pas de cette nouvelle technologie. Mais pour ce faire, il faut recruter des experts. Analyse d’une tendance long terme qui promet de transformer le monde de l’entreprise ces prochaines années.

Visa ambitionne de bâtir le crypto-monde du futur

DeFi (Finance Decentralisée), services de paiements, de gestion, d’investissement, NFT (Non Fungible Token), métavers, gaming blockchain, mais aussi formateur, rédacteur média, juriste… et bien sûr programmeur… Nombreux sont les métiers qui subissent une véritable révolution dans ce secteur crypto en plein boom. Et nombre d’entre eux restent encore à inventer. Les besoins des entreprises sont aussi vastes que le pluralisme des professions pouvant être exercées. En clair, il y a tout un monde à bâtir. Cela se ressent dans l’émulation présente au sein de l’écosystème. Et ce, malgré les barrières réglementaires érigées par les instances gouvernementales effrayées par ce soudain bouleversement du statu quo. Des barrières qui finiront inévitablement par être balayées par ce vent d’innovation qui souffle si fort dans ce nouvel univers web 3.

Pour Visa, les ambitions sont un peu moins poétiques, plus terre-à-terre, mais tout aussi concrètes sur le marché de l’emploi. Pour ne pas se faire distancer par la concurrence dans un secteur bancaire remis en question par ce nouvel ovni financier du web 3, l’entreprise doit recruter. Et si possible des experts du secteur. L’objectif ? Bâtir les services de demain et répondre aux exigences d’une clientèle de plus en plus encline à plonger au cœur de ce nouvel écosystème crypto.

Visa a fait paraitre tout récemment plusieurs offres d’emploi pour des programmeurs informatiques et logiciels au sein de sa division crypto. Et ce, dans le but bien sûr de développer de tout nouveaux produits.

Visa lance de nouvelles offres d’emplois dans le secteur crypto – Source : Twitter

« Nous avons un programme de développement de produits crypto Visa ambitieux et nous venons juste d’ouvrir quelques recrutements pour des ingénieurs logiciels expérimentés afin de nous aider à conduire l’adoption du grand public vers les réseaux blockchain et les paiements en stablecoins. »

Cuy Sheffield, chef du département crypto chez Visa

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Travailler chez Visa, un métier fait pour vous ?

La fiche demande avant tout une chose : être passionné de web 3. Il faut idéalement posséder au choix :

  • Plus de 5 ans d’expérience en programmation et une licence ;
  • Plus de 4 ans d’expérience et un diplôme de master.

Le poste exige aussi une bonne compréhension des réseaux de type layer 1 et layer 2 ainsi qu’une expérience en écriture de smart contracts dans le langage Solidity. Il s’agit ni plus ni moins que du langage de programmation utilisée pour bâtir les dApps, les applications décentralisées, sur Ethereum.

Les services comme Visa ambitionnent de se positionner à la frontière de deux mondes, celui de la finance traditionnelle et celui de la crypto et du web 3. En servant de passerelle, ces services pourraient bien tenter de connecter deux secteurs aux ambitions opposées : contrôle total d’un côté, liberté totale de l’autre. Espérons que ces entreprises qui cherchent à se placer à la croisée des chemins parviendront à réunir deux univers qui semblent pourtant se repousser. Car il n’est pas certain que la célèbre maxime « les opposés s’attirent » fonctionne très bien dans ce cas précis.

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Open Campus (EDU), l’éducation au cœur du prochain launchpad de Binance

https://journalducoin.com/exchanges/open-campus-edu-education-launchpad-binance/

20/20 en web 3 pour Binance – Portée par la récente embellie des marchés, la saison des launchpad repart de plus belle sur Binance. Après le succès de Space ID en mars dernier, un nouveau launchpad débarque sur le premier exchange mondial, Binance. Il s’agit du projet Open Campus (EDU). Tous les détails.

Open Campus, la révolution de l’éducation par le web 3

Quand « un campus à ciel ouvert » n’est plus une simple formule. Le projet Open Campus est soudain mis en lumière par le célèbre exchange Binance via son launchpad. Car depuis le 23 avril, il est possible de bloquer ses précieux BNB pour récolter le tout nouveau jeton EDU, le token du projet Open Campus. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Les adresses mail .edu sont généralement fournies aux étudiants de collèges et universités américaines. Pour l’anecdote, le site Facebook à sa genèse n’autorisait l’inscription qu’aux élèves disposant d’une adresse email « harvard.edu ».

De fait, avec cette appellation EDU qui ne doit rien au hasard, le projet Open Campus annonce la couleur. Sa vision se concentre sur l’éducation. Une éducation libre et partagée, une éducation décentralisée. Éducateurs, créateurs de contenus éducatifs, parents, étudiants, professeurs… Open Campus propose une solution de création et de partage de contenus éducatifs propulsés par la technologie blockchain. En regroupant une immense communauté autour du libre partage de contenu, Open Campus veut créer une éducation plus juste tout en rémunérant mieux les enseignants.

La décentralisation du web 3 au service de l’éducation avec le projet Open Campus

L’idée est simple :

  • Élèves, étudiants et professeurs ont soudain accès à une large diversité de contenus éducatifs.
  • Les créateurs proposent leurs contenus, en détiennent la pleine propriété, certifiée par la blockchain, et peuvent vendre les droits promotionnels de copublication aux annonceurs via un « Publisher NFT ».
  • Les annonceurs peuvent ainsi gagner des revenus basés sur leur contribution.
  • Les philanthropes, quant à eux, ont la possibilité de soutenir les créateurs via des donations on-chain.

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Token EDU : la nouvelle pépite du launchpad Binance

Le protocole Open Campus a notamment été adopté par TinyTaps. Cette dernière est une plateforme de création de jeux éducatifs et interactifs dont le but est d’apprendre en s’amusant. Via le modèle Open Campus, 12 NFT de droits de co-publication ont ainsi été vendus pour une somme totale dépassant les 200 ETH en 2022.

Le projet Open Campus propose ni plus ni moins que de tokeniser l’éducation. Le tout cimenté par le token du protocole, le jeton EDU.

C’est ce jeton et donc l’avenir du projet sur lequel Binance vous permet aujourd’hui de parier, à plus ou moins long terme selon votre conviction. Et ce, en bloquant vos jetons BNB jusqu’à vendredi 28 avril. Il y a en tout en pour tout 1 milliard de tokens EDU. 50 millions seront distribués par Binance au cours de ce launchpad, soit 5% de la quantité totale pour un prix de 0,05$ par jeton EDU.

La portion de jetons EDU reçue dépendra de la quantité moyenne de tokens BNB que vous aurez bloqués entre le 23 et le 28 avril. Ce vendredi 28 avril, entre 8h et 11h du matin, il faudra alors ne pas oublier de souscrire au launchpad. Un simple clic, mais qu’il faut penser à faire pour recevoir les précieux jetons EDU à partir de 12h sur votre compte Binance, moment où le token EDU sera officiellement listé sur la plateforme.

Les launchpad Binance sont très souvent couronnés de succès. L’exchange passe à la loupe de nombreux candidats avant de choisir l’heureux élu. Une mise en lumière par la machinerie Binance souvent vue comme un accélérateur pour le projet sélectionné, en l’occurrence ici Open Campus. Et une opportunité aussi pour les fans de BNB de profiter à moindres frais d’un nouvel engouement.

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L’article Open Campus (EDU), l’éducation au cœur du prochain launchpad de Binance est apparu en premier sur Journal du Coin.

Starbucks : un café au goût de NFT torréfié pour réveiller vos sens web 3

https://journalducoin.com/nft/starbucks-cafe-nft-web-3/

NFT, what else ? – Si de notre côté, nous pouvons nous amuser à intervertir deux publicités, Starbucks, quant à eux, ne plaisantent pas avec la technologie. Couché dans le virage de l’innovation, frôlant le bitume, Starbucks fonce à toute berzingue en direction du web 3. Depuis quelques mois, les NFT sont à l’honneur chez Starbucks. Et aujourd’hui encore, la célèbre chaine de restauration, connue pour ses délicieux cafés, remet le couvert. Décryptage.

Starbucks, torréfaction du web 3 pour une note onctueuse de NFT

En septembre dernier, Starbucks annonçait fièrement la sortie officielle de sa toute nouvelle plateforme NFT Odyssey. Les objectifs étaient alors multiples :

  • rassembler sa communauté de fans autour de ces nouveaux concepts du web3 ;
  • fidéliser ses clients ;
  • afficher une image proche de la jeunesse ;
  • accessoirement, faire un peu d’argent sans doute.

Une tentative qui fait suite à de nombreuses incursions récentes des marques dans le milieu du web 3, que ce soit au sein des NFT ou même du métavers.

« Nous sommes en train de créer un 3e univers au sein du numérique. Pour y parvenir, nous allons élargir notre conception de ce que signifie pour les gens d’être membre de la communauté Starbucks, en ajoutant de nouveaux concepts comme la propriété et les modèles d’affiliation basés sur les communautés que nous voyons se développer au sein de l’écosystème web 3. »

Brady Brewer, directeur marketing de Starbucks

Les marques comme Starbucks à l’assaut des NFT et du web 3

Déployé sur la blockchain Polygon, le constat quelques mois plus tard est sans appel. Le programme Odyssey de Starbucks est un véritable carton. Sur la plateforme d’achat et de vente NFT Nifty Gateway, la première collection NFT de la marque, « Journey Stamps », a remporté un franc succès. Et ce, en ayant pourtant été délivrée gratuitement à des fidèles de la marque. La revente sur le marché secondaire a généré près de 360 ventes et plus de 143 000 dollars de recettes. De quoi donner envie à la célèbre marque de café de poursuivre leur aventure, que dis-je, leur odyssée NFT. Et c’est exactement ce qu’ils ont fait.

Starbucks vient d’annoncer en effet la sortie de sa seconde collection NFT « The Starbucks First Store Collection ». Ces NFT mettent en lumière les premières heures de la célèbre chaine, et surtout sa première demeure : le tout premier Starbucks implanté en 1971 au Pike Place Market de Seattle.

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Starbucks chante les louanges des NFT à s’en café la voix

« Les gens partout dans le monde viennent voir ce monument historique par eux-mêmes, afin d’expérimenter un sentiment de nostalgie et faire partie de quelque chose de plus grand. Avec la collection « Starbucks First Store », vous pouvez détenir une partie de cette histoire. »

Starbucks, lors du discours d’introduction sur la place de marché NFT Nifty Gateway

Il y aura en tout et pour tout 5000 NFT pour cette nouvelle collection. Ces derniers seront en vente à partir de mercredi prochain à un prix de 100 dollars chacun. Les heureux détenteurs d’au moins deux exemplaires de la première collection NFT « Journey Stamps » de Starbucks pourront accéder en avance à la vente de la seconde collection. Dès 9h du matin (PDT, heure du Pacifique) pour être exact, tandis que le public n’y aura accès qu’à partir de midi.

Fidélisation, rapprochement avec la communauté, renforcement de l’image innovante de la marque, créations de nouveaux types de revenus… Les atouts de l’adoption des NFT pour les enseignes comme Starbucks sont multiples. Il est donc logique que toutes se précipitent pour s’essayer à ce nouveau vecteur de diffusion, avec plus ou moins de succès d’ailleurs. Les personnalités ne s’en privent pas non plus. L’exemple typique est celui du lancement par l’ex-président des USA Donald Trump de sa seconde collection NFT, écoulée auprès de ses fans en un temps record.

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La Roumanie à l’assaut du web 3 et des NFT sur MultiversX

https://journalducoin.com/nft/roumanie-assaut-web-3-nft-multiversx/

Quand la Roumanie ouvre les portes du MultiversX – Aveuglés par la folie spéculative dont ils font si souvent l’objet, on en oublie que les NFT (Non Fungible Tokens) sont avant tout un formidable outil technologique. Une petite révolution dont la Roumanie a bien compris l’ampleur. Le pays, boosté par les équipes derrière la blockchain MultiversX, part à la conquête de ce nouveau monde 3.0.

La Roumanie et MultiversX : la nouvelle alliance du web 3

En France, l’idée de hub européen du web 3 et des « crypto-actifs » se cantonnera au mythe, tant que les actes de nos politiques resteront aux antipodes de leurs discours. En Roumanie en revanche, c’est une toute autre histoire. Les actions sont bien là et sont le signe irréfutable de leur avance dans le domaine. L’initiative dont nous allons parler ici est conduite par le National Institute for Research and Development in Informatics, aussi appelé ICI Bucharest. L’institut lance le ICI D|SERVICES, un service décentralisé de gestion et de trading de NFT.

En l’occurrence, ce projet est tout sauf anodin, car il s’agit ni plus ni moins que de la première plateforme institutionnelle européenne de ce type. La plateforme opérera sur la blockchain MultiversX, le projet de Beniamin Mincu et son équipe. Ces derniers étant eux-mêmes roumains, le partenariat est somme toute logique.

« La capacité de toute sorte de valeur (certificats d’authenticité, registres immobiliers, certificats de propriété) à devenir numérique, liquide, immédiate et marchandable à l’échelle planétaire donnera à l’économie mondiale des super pouvoirs. Cela réduira drastiquement les démarches bureaucratiques et garantira la propriété des actifs pour tout le monde, partout. »

Beniamin Mincu, CEO de MultiversX

MultiversX : une passerelle vers le web 3 et les NFT pour la Roumanie

Qui plus est, la plateforme ouvrira ses portes incessamment sous peu, le 26 avril prochain exactement, et ce, lors du Critical Infrastructure Protection Forum ou CIP Forum 2023. Tout un symbole, puisque le thème de l’événement est justement le focus sur la cyber-sécurité et les infrastructures critiques de protection. Des domaines clés que la technologie blockchain et NFT révolutionne. Des atouts trop souvent masqués aux yeux de nos politiciens par le voile spéculatif dont ils l’affublent en premier lieu.

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Les NFT au service de la prochaine révolution technologique

La technologie web 3 doit devenir l’allié des Etats, non être considérée en ennemi. Cela, la Roumanie semble l’avoir compris. Plusieurs collections NFT institutionnelles seront lancées en parallèle sur la plateforme ; six pour être exact :

  • La collection « Memories of Future Self » : des photographies de rares moments historiques issues des archives de l’AGERPES National News Agency ;
  • Le début de la collection « The Generational Circle » : relatant l’évolution de la participation de la Roumanie aux Jeux olympiques à travers l’histoire ;
  • « ICONS of the Generational Circle » : la première collection NFT du champion du monde roumain de natation, David Popovici ;
  • « A World in a Stamp », une collection de 15 NFT lancée par Romfilatelia, l’unique autorité nommée par le gouvernement pour émettre les timbres postaux roumains ;
  • « Our A.I. Story – Central University Library Reimagined » : une collection NFT générée par l’intelligence artificielle. Celle-ci met en lumière l’importance culturelle de la librairie universitaire « Carol I », nom du roi de Roumanie entre 1881 et 1914 ;
  • Enfin, « Past | Present | Future » : la propre collection de l’ICI Bucharest qui revient sur les innovations marquantes et progrès scientifiques des 50 dernières années.

Le ICI D|SERVICES déployé par le ICI Bucharest met la technologie NFT au service des citoyens et des institutions. Cette révolution web 3 apporte en ce sens des avancées majeures en termes d’infrastructures de conformité, de transparence et de sécurité. C’est également une passerelle vers une autre révolution en devenir : la tokenisation des actifs. De tous nouveaux moyens à disposition des entreprises et des Etats afin de transformer radicalement notre société. Cela notamment dans le secteur de l’éducation, de la propriété intellectuelle, de l’assurance, des registres immobiliers, des titres de propriété, des certificats d’authenticité, des chaînes d’approvisionnement, …

Désormais, tout bien ou toute propriété peut être gravé dans le marbre de la blockchain, et ce, sans le moindre intermédiaire. Qui plus est, en un laps de temps incommensurablement réduit par rapport à la lenteur des processus actuels, manuels. La blockchain sert alors d’horloge, de tiers de confiance incorruptible, de registre inaltérable, irréfutable. Un outil web 3 révolutionnaire que la Roumanie met à profit. Un exemple que la France ferait bien de suivre plutôt que de freiner des quatre fers.

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Intel ne produira plus de puces pour mineurs de Bitcoin

https://journalducoin.com/bitcoin/intel-puces-mineurs-bitcoin/

Une puce un égal zéro – C’est une course au minage qui s’arrête prématurément pour Intel. Le géant de l’électronique avait annoncé en grande pompe en avril 2022 se lancer dans l’aventure du minage de Bitcoin. Une ruée vers l’or 2.0 qui aura tourné court. Explications.

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Intel crée une machine de minage Bitcoin et puis s’en va

En avril 2022, l’entreprise Intel débarquait dans la course au minage Bitcoin. Leur objectif ? Récupérer leur part du gâteau crypto en marchant sur les plates-bandes du leader Bitmain. La firme mettait alors en avant les performances de sa puce « Intel Blockscale ASIC » dotée d’un taux de hachage de 580 GH/s. Regroupée avec 255 de ses consœurs, la puce d’Intel permettait ainsi de fournir une puissance de 148 TH/s aux ASICs, ces appareils dédiés au minage de Bitcoin. Une belle performance lorsque l’on sait que l’Antminer de Bitmain était alors quant à lui bloqué à 140 TH/s.

Toutefois, ceci est désormais une période révolue. Intel a décidé de couper les ponts, larguer les amarres, rendre le tablier… Bref, point de côté, la course est terminée. Selon un rapport de Reuters paru ce mardi 18 avril, le géant Intel stoppe ses prises de commandes. Et ce, dès le mois d’octobre prochain. L’entreprise devrait également arrêter les envois de produits d’ici avril 2024. Un délai probablement nécessaire afin d’honorer toutes les commandes.

Minage de Bitcoin : Intel arrête les frais et stoppe la fabrication de ses puces pour ASICs

Parmi les clients, des fermes de minages bien connues comme Argo Blockchain, Block, Hive Blockchain Technologies ou encore GRIID Infrastructure.

La source de cet arrêt ? Selon son CEO, Pat Gelsinger, il s’agirait de réduire les coûts dans cette période difficile. L’entreprise a annoncé un objectif de réduction des dépenses de 10 milliards de dollars pour la société d’ici à 2026. Leur activité de fabrication de puces pour minage de Bitcoin, figurant parmi les plus récents projets lancés, en fait directement les frais.

Intel précise toutefois conserver un grand intérêt pour le secteur et continuer à monitorer son évolution dans les prochaines années. Pas sûr toutefois que la concurrence attend bien sagement Intel à une période où la technologie ne cesse d’évoluer à vitesse grand V.

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